‎BOUVIER Nicolas :‎
‎ Correspondance autographe *‎

‎Cologny, 12.10.1983 - 10.6.1986. 3 pièces autographes signées et datées, dont deux billets sous enveloppes adressées et une pièce comptable sur son fameux papier à en-tête de jongleur de mots. ‎

Reference : YG15573


‎Petite correspondance amicale d'un écrivain à un (autre) libre hère, qu'il côtoya à l'occasion de diverses tractations, entre demande de recherche de livre pour un tiers et réalisation d'un lot des siens, une quittance au montant non négligeable en témoignant. > En cas de problème de commande, veuillez nous contacter par notre page d'accueil / If you have any problems with your order please contact us via our homepage < ‎

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‎Serstevens, Albert t'‎

Reference : 7633

(1920)

‎Correspondance autographe signée‎

‎ 1920 1920-1924, 1949. 18 pages. Encre noire. CORRESPONDANCE AUTOGRAPHE SIGNÉE COMPOSÉE DE 11 LETTRES. - 7 lettres sont adressées à l'historien et bibliographe Louis-Raymond Lefèvre et traitent du travail d'écrivain de t'Sertevens, inspiration, écriture, publication - 4 sont adressées à un couple très proche de l'auteur, Joachim et Marcelle (Lefèvre ?). Deux longues missives datant de l'été 1924, traitent d'une virulente brouille au sujet d'une maison de vacances dans laquelle t'Serstevens avait fait d'importants travaux. La dernière lettre, écrite de Tahiti en 1949, montre un écrivain apaisé, très détaché du milieu littéraire et éprît de voyages. - Lettre autographe signée, Lerici, 15 juin 1920, 2 pages et demi, in 8 : "Votre lettre me fait cher confère le plus grand plaisir. Jaurais tort, nest-ce pas ? De dissimuler sous des phrases conventionnelles la joie que jéprouve à sentir que mon travail et mon désintéressement matériel mapportent tout de même une récompense morale et que je commence à avoir des amis inconnus. Mais ne me parlez pas trop didéal. Cest un point que nous atteignons que par hasard, à condition que nous ne le cherchions pas. Je me le suis souvent dit en étudiant, à Sienne, les uvres de Duccio, qui fut le plus Gand peintre de la Toscane : il fait des chefs duvre et des des médiocres avec la même inconscience. Certes, lorsquil a crée cette sublime descente de croix, dont je vous montrerai un jour la photographie, il ignorait absolument la valeur incomparable de son uvre et lui préférait peut-être son Hérode qui ne vaut rien. Nous navons, de plus, contre nous, nétant pas religieux ni moines, la vie âpre et tenace daujourdhui. Il nous faut quelquefois - en dehors de livre qui est notre rituel - écrire des choses que nous nécririons pet-être pas si nous nen tirions de quoi écrire dans la paix les pages que nous aimons. Cest mon cas du moins, étant pauvre et nayant que ma plume pour vivre. Il faut donc me pardonner quelques pages qui ne paraîtront jamais en volume ; jessaie de men tirer par le style, la bonne humeur et la méchanceté. Ce sont évidemment ces pages-là de ma main que le public préfère. Elles me coûtent malheureusement un temps considérable, jusquà 20 et 30 heures de travail, car je ne leur donne pas moins de soins quà celles que jaime et que jécris en toute piété. [] Un apostolat qui vient de paraitre dans la Revue de Paris, sortira, en volume, en septembre, chez Albin Michel. Je publierai le même moi, chez Camille Bloch, «Les Petites Trilogie» recueil de poèmes en prose qui ont paru à droite et à gauche. Jaurai grand plaisir à vous envoyer des deux volumes, avec le rappel de mon amitié. [] -Lettre autographe signée, Mercredi soir, une page et demi in-8 : Je suis rentré depuis quelques jours et me voilà déjà pris dans lengrenage littéraire. Je vous est fait ce matin la dédicace et lenvoi de Un Apostolat qui vous recevrez bientôt. Cest un livre sur lequel je compte beaucoup. Écrit de front avec Les Sept à partir de janvier 1913, il en diffère totalement par le style, le décor et la méthode. Cette antithèse- je nai pas besoin de vous le dire - est voulue, dautant plus quil sagit de deux livres écrits en même temps. Jespère montrer par là ce que peut la volonté portée dans des sens différents, à la même époque. Un Apostolat nest , au surplus, quune autre face du problème des Sept, lindividu contre la société. Mais ici cest la société qui triomphe, tandis que dans les Sept cest lindividu qui triomphait. [] -Lettre autographe signée, 8 novembre 1920, une page et demi in-4 : "Au milieu des articles certes toujours aimables mais pas toujours compréhensifs que ma valu «un Apostolat», je me palis à relire le vôtre, mon cher ami, et tout ce quil renferme de sympathique et debien vu. Car il ny a pasde plus grande voie pour un écrivain dont le faible est de philosopher un peu, que celle de se sentir compris comme mon livre lest pas vous. Votre conclusion surtout «Dans les Sept lindividu triomphait. Mais à côté de la société et non contre elle ! Marcel chante surtout « jai tuer mon amour de lhomme» , Pascal pourrait dire : LHomme à tuer mon amour pour lui. Voilà bien la différence morale des deux livres, et vous êtes mon cher ami, le premier à le voir. [] Jai été très ému aussi de ce que vous dites au commencement de votre belle étude. Nous nous retrouverons sur le terrain de la détresse, car cest évidemment de là que tout le livre est parti.[] -Lettre autographe signée, 1er Mars 1921, une page et demi in-8 : - Votre article ma été au coeur, mon cher oui , parce que vous êtes un vrai poète, avec la sensibilité et les moyens de lexprimer, et je suis heureux que mon petit livre ait été loccasion de très beau poèmes que vous nous donnez sous forme de critique. Certes, il ne sera jamais parlé de mes poèmes en prose avec lindispensable grâce que vous y avez mise ! Je dis indispensable parce que jaime mieux le silence quune forme différente de la votre. Singez aussi que presque personne nest capable de discerner la poésie de la prose française, et tout ce quelle renferme de musique délicieuse, en sorte que jamais instrument plus parfait ne fut donné à un artiste. Vraiment, jai aimé les minutes qui ont suivi laccomplissement de ces petits morceaux dont certains mont couté des semaines de travail (La Sirène à 47 pages de brouillon) et peut-être y a-t-il là plus de moi-même que dans tout ce que jai écrit dautre part.[] - Lettre autographe signée, Rovello 13 août 1921, deux pages in-8: Je suis très touché, mon cher ami, du bel article que vous mavez consacré à propos de mes soliloques. Cela va, vous pensez bien, au delà de la satisfaction damour propre, car le bien ou le mal que lon dit de moi ne change rien à la manière de penser que jai à mon propre sujet, et qui est une complète ataraxie. Je suis, en ce qui me concerne, plus pyrrhonien que Trouillogan lui-même. Cest ainsi, comme cous le dites si bien, que jai trouvé la paix. Mais je suis touché bien plus vivement pas votre amitié qui ne perd jamais une occasion de sexprimer, et par la générosité de votre esprit qui vous porte à savoir faire une étude sur un poème de 15 lignes aussi bien que sur un roman de 400 pages. Cela est beaucoup plus curieux que vous ne le pensez. [] - Lettre autographe signée, Bonassola - 16 mai 24, deux pages in-4: Pour Joachim,Mon cher Vieux, Comme nous ne voulions plus retourner à Lerici, parce que la terre est belle à découvrir, nous avons dû chercher misérablement. Je vous assure que trois ou quatre fois nous avons failli rentrer à Paris : nous ne trouvions jamais ce que nous cherchions. [] Eh bien, nous avons trouvé, ou pour mieux dire, Marcelle a trouvé, []. Cest un grand Palazzo dont nous occupons tout un étage. Tout autour sétend un jardin de citronniers chargés comme des lustres. Je pense que le paese na jamais vu un étranger. Nous avons la plus belle bonne qui soit au monde, une ragazza de dix-sept ans, fraîche comme un abricot et aussi blonde de chair : cest aussi Marcelle qui la trouvée. Mes yeux len remercient, car pour le reste, je nai pas lintention de gâter mon séjour en courant le jupon. Je me contente de regarder vivre ce bel animal coloré par le soleil, et dune grâce un peu lourde, et je vous assure que cest aussi délicieux que si je la caressais. -Lettre autographe signée, Paris 9 juillet 1924, deux pages et demi in-4 : Faits moi, mon cher Joachim, le crédit de penser que je nai adressé à Marcelle que la juste part des reproches que je métais proposé de lui faire, et que je vous en réservais un bonne partie. Ne vous ayant pas trouvé à Paris, je nai parlé de vous quincidemment, me proposant de vous prendre à partie quand vous rentreriez. Vous devancez cette entrevue. Je vous laisserai donc mémoire de ce que jai à vous dire à lun et à lautre.Il y a eu dans votre conduite à notre égard (aussi bien à légard de Marcelle Sch.) un ensemble de petits mensonges, réticences, dhypocrisies, dont je ne consentira jamais à maccommoder. Si vous aviez quelques reproche à me faire, il est de la plus simple amitié de men faire part : nous ne sommes pas parfait. Au lieu de cela, cest étonnant ce quil y a eu de lettres perdues, doccupation accablantes, de contre temps fâcheux, de retards postaux, de sais-je ! Toute la kyrielle de petits prétextes est rentrée en jeu. Enfin, il y a laffaire des Chaumettes, dont je vous rends responsables lun et lautre, par défaut de connaître le véritable.[] Tout cela me navre au tréfonds de moi-même. Cest misérable et petit bourgeois. Cela me ramène aux considérations dune misanthropie qui nest nullement maladive mais le résultat de quelques incursions dans le domaine saharien de lamitié. Puisque vous tenez tout à «compter pour quelque chose» prenez de ces reproches la part qui vous revient. - Lettre autographe signée, Paris 11 juillet 1924, un page in-4 : Je suis très heureux de vous avoir amené à baisser le masque et à me dévoiler la vieille rancune que vous aviez contre moi. []Cest un peu le sentiment que Rousseau devait avoir pour lErmitage. Vous ne lavez pas compris. Vous avez été pris de je ne sais quelle peur panique, comme si je voulais vous dépouiller de cette propriété : cest ce sentiment que jai le droit dappeler vil et petit bourgeois. [] - Lettre autographe signée, Tahiti, Février 1949, 2 pages in-4 : [] Jai terminé le 26 janvier le livre sur les îles qui à 900 pages-machine. Jy ai travaillé 9 mois et qqs courtes évasions aux Australes jusquà Rapa et aux atolls du centre des Tuamotu, ce dernier voyage en cotre. Toujours avec Amandine, bien entendu, car elle est une voyageuse parfaite. Il est bien amusant le destin de cette parisienne, née à Paris de toute une ascendance de Parisiens de Paris, qui navaient quasiment pas quittés la France (Baleares, Londres) et qui devient du premier coup globe-trotter, navigue sur des sabots, partout à cheval Moorea, les Marquises, vit familièrement avec les indigènes et va rendre visite au cannibales de Malicolo. Elle a bien de la chance davoir encore de nombreuses années à vivre pour se délecter dincomparables souvenirs. Il est evident que la rencontre du monde tropical et des races primitives modifient profondément nos manières denvisager lexistence. Cest une inimaginable révélation et un complément indispensable à la compréhension de lêtre humain. Il devient impossible de considérer comme essentielles toutes les choses qui, en Europe, occupent les esprits.[] Je ne crois pas rentrer à Paris allégresse. Je me suis terriblement détaché de tout ce qui mappartient, y compris des livres. Je rentre parce quil faut bien mais ce ne sera que pour préparer un nouveau voyage.[] Tse, dit Tetvini Toato papa parau, cela veut dire Homme qui écrit des mots, belle définition de lécrivain. Bel ensemble. ‎


‎ Signé par l'auteur ‎

Phone number : 09 88 40 55 75

EUR400.00 (€400.00 )

‎Sand, George‎

Reference : 14988

(1849)

‎Belle correspondance autographe adressée à Charles et Eugénie Duvernet‎

‎Paris, Nohant 1849 Paris, Nohant, 1850. 14 ff. de formats divers. . 11 LETTRES AUTOGRAPHES SIGNÉES et 2 LETTRES AUTOGRAPHES écrites à Nohant ou Paris en 1849 et 1850.Bel ensemble à son ami de jeunesse Charles Duvernet et à son épouse Eugénie, deux figures importantes du petit théâtre de Nohant. Charles Benoist Robin-Duvernet (1807-1874) connaissait George Sand depuis l'enfance : leurs pères avait ensemble fait de la musique et joué la comédie de salon. Partageant avec Sand ambitions littéraires et idées politiques, Duvernet compte parmi les fondateurs de L'Éclaireur de l'Indre, journal à tendance républicaine auquel l'auteur de La Mare au Diable contribua de nombreux articles ("Je t'envoie une lettre qui doit concerner l'Eclaireur" [Nohant, mi-mars (?) 1850]). Tous deux souffrent ainsi de la répression des idées progressistes qui suit les législatives de 1849. Au mois de janvier de cette anée, pourtant, Sand optimiste écrivait à Duvernet : "Les réactionnaires nauront pas toujours le dessus." Sand évoque ses fréquentes visites à Duvernet, qui demeurait en été au château de Coudray, voisin de Nohant : Demain si vous voulez, nous irons vous prendre à onze heures pour vous mener aux étangs de Brice.Nous y portons le déjeuner; ne vous occupez de rien que d'avoir votre cabriolet prêt.[Nohant, Ier août 1849] Elle mentionne également la dette Reignier, qui lui cause de graves soucis financiers tandis que Duvernet s'efforce de rembourser les empruns qu'il a contractés pour le cautionnement de la nièce de George Sand Augustine Bertholdi : Pour ta gouverne dans l'affaire Bertholdi, voici ma position que je dois soumettre. Jai en fait de dettes urgentes, la Veuve Reignier 10 000 f. Et au mois de Février Bargat et Maublanc 6 000 f. Si la veuve Reignier veut me donner le temps d'attendre que la rente remonte un peu, j'arriverai peut-être à faire de mon coupon de rente de 1000 f. et 18 ou 19 000 f., si on me presse trop je perdrai beaucoup. Mais il nimporte. Je vendrai pour me tirer des dettes.[Nohant, 9 janvier 1849] L'abondante correspondance entre Sand et Duvernet se fait particulièrement riche à partir de 1846 : sous l'impulsion de Maurice, fils de George Sand, un petit théâtre d'une cinquantaine de places avait été aménagé dans leur maison de Nohant. Pour monter ses "pièces-maison", expérimentations de ses créations parisiennes, George Sand fait appel à sa famille et à ses proches, dont Charles Duvernet, qui avait monté à La Châtre une troupe de comédiens amateurs. On trouve dans ces lettres l'amusant témoignage de leur collaboration : Voici une pièce superbe. Lis-la avec attention, copie ton rôle et celuid'Eugénie, en indiquant en peu de mots les scènes intermédiaires et renvoie-moimon scénario ce soir. [...]Exige dEugénie étudie son rôle car le dernier jour elle et Laure n'ont pas le temps de le lire. [Nohant, début de novembre 1849] Eugénie, qui épousa Charles Duvernet en 1832, est en effet elle aussi impliquée : Ma chère mignonne, ne viens pas tard demain. Apporte une jupe damazone pour toi et pour faire la géante, la plus longue que tu auras. On joue Meneghino en costume moderne. Il te faudrait une espèce de costume de grisette pastrop propre, vu que l'intérieur de Mme Truccagnin est un taudis. Nous manquons de bonnet ici. Apportes-enun, ainsi qu'une robe d'été, voyante et un peu étriquée, si tu as cela sous la main. [Nohant, 1er juin 1850] Manceau tenvoie ton bout de rôle, le plus simple est dapprendre cette tirage et de la dire avec feu. Cela suffit pour la situation.[Nohant, 1850.] On joint une lettre autographe signée "George", 5 février 1849, à Louis Viardot, lui recommandant Charles Duvernet, son "excellent et fidèle ami denfance" George Sand, Correspondance, textes réunis, classés et annotés par Georges Lubin, vol. IX:4132, 4136, 4149, 4272, 4275, 4330, 4373, 4390, 4443, 4527, 4576, 4722, 4723, 4729. ‎


‎ Signé par l'auteur ‎

Phone number : 09 88 40 55 75

EUR2,300.00 (€2,300.00 )

‎GRINDAT Henriette & YERSIN Albert-Edgar :‎

Reference : YG17972

‎ Correspondance autographe signée *‎

‎Sans lieu ni date précise entre [1953] et 1979. Chronologiquement 2 pages 21 x 15, à l'encre bleue, 1 carton d'invitation co-signé de Lasserre et Yersin (4 pages 12 x 15, la première avec un présumé linoleum gravé du premier) à la Galerie Bridel en 1958 et 1 carte "postale" autographe de 12 lignes du second illustrée d'un de ses dessins. ‎


‎Trois documents adressés à Janine Rochat, femme de Jean Rochat, bras droit de l'éditeur Mermod :1. Sur un mystérieux refus d'appendice et une expo de Yersin en septembre à Echandens.2. Avec une mention autographe "de la part d'Henriette"3. Des nouvelles d'une mésaventure de cette dernière qui, devant garder le lit, fait précier Yersin que "... de cuisinier je suis promu garde-malade".Petit ensemble touchant. > En cas de problème de commande, veuillez nous contacter par notre page d'accueil / If you have any problems with your order please contact us via our homepage < ‎

CHF440.00 (€471.62 )

‎TRÉMOIS Pierre-Yves :‎

Reference : YG17071

‎ Correspondance autographe et tapuscrite signée aux éditions Gonin *‎

‎En divers présumés lieux, entre 1969 et 1980. Ensemble de 7 cartes, dont une de voeux illustrée en 4 pages, et de 6 lettres autographes signées totalisant 7 pages, sous enveloppement ironique d'un feuillet isolé du Mamouth de son Bestiaire Solaire paru chez André Gonin. ‎


‎Correspondance aimable, pétillante et truffée de références littéraires (Rousseau, Goethe, Sénèque, Plaute, Rostand) adressée à l'éditeur précité. Y est joint un dossier complémentaire triangulaire avec Albert Oesch-Gonin au sujet d'un projet inabouti, constitué de 4 lettres tapuscrites signées (dont une de l'écrivain), soit 6 copieuses pages. Et une petite dernière pour la fin de dame Catherine, épouse de l'artiste, à André Gonin déclinant l'offre d'un projet de livre illustré, son mari étant trop occupé par des bronzes à couler.Un portrait élégant portrait photographique de ce dernier (24 x 16), en kimono devant une grande tenture asiatique, clôt ce petit fonds de 18 pièces d'une réjouissante diversité dans la Cité. En bonus offert, le minuscule volume des pensées de Goethe qui accompagnaient un envoi.Instructif et amusant ! > En cas de problème de commande, veuillez nous contacter par notre page d'accueil / If you have any problems with your order please contact us via our homepage < ‎

CHF1,650.00 (€1,768.59 )

‎BOUVIER Nicolas :‎

Reference : YG01882

‎ Correspondance autographe *‎

‎Cologny, 21.12.1990 - 8.3.1997. 3 cartes autographes signées et datées, deux sous enveloppes adressées, la troisième légendée. ‎


‎Petite correspondance amicale d'un écrivain à un libre hère, qu'il cotoya à quelques occasions; la première missive, fixant un repas à partager en janvier, contient son fameux aveu "Né lent dans un monde rapide"; la deuxième, du 2.8.1994, figurant l'auteur de profil cloppe au bec à sa machine à écrire, promet la primeur d'une dédicace, icelle et la précédente comportant des trous de perforatrice à fin de classement; la dernière, voeux de Payot pour l'an 90 (barré) au motif de blaireau magique (Hokusaï), co-signée de sa femme Eliane, témoigne d'une reconnaissance à l'égard de son correspondant "pour l'allocution si sensible et amicale et pour le talent que vous avez mis tous deux à faire de ces objets hétéroclites de petits ensembles parfaitement séduisants et convaincants"Aurons-nous réussi à rendre icelui, dans son parfum de mystère, aussi attractif ? > En cas de problème de commande, veuillez nous contacter par notre page d'accueil / If you have any problems with your order please contact us via our homepage < ‎

CHF1,980.00 (€2,122.30 )
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