Emile-Paul Frères, Paris 10.1915. Broché, couverture imprimée en rouge. Menus défauts et manque en queue. Édition originale. L'un des exemplaires numérotés sur Arches et tiré spécialement pour l'auteur.
Reference : YG12857
Un volume in-18 de "Commentaires sur la guerre des boches" n'est-ce pas le comble ? Envoi d'époque de l'auteur à un (probable) helvête dont le nom a été (mal) gommé mais encore devinable, peut-être pour les quelques pages de début évoquant la neutralité suisse... > En cas de problème de commande, veuillez nous contacter par notre page d'accueil / If you have any problems with your order please contact us via our homepage <
Librairie Oh 7e Ciel
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État : Bon état - Année : 1976 - Format : in 8° - Pages : 264pp - Editeur : Gallimard NRF - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché - Collection : L'Air du Temps - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/pierre-chaunu-et-georges-suffert/5960-la-peste-blanche-comment-eviter-le-suicide-de-l-occident?lrb
Les auteurs, historien et journaliste, partent d'un constat: l'occident est atteint d'une peste indolore, invisible qui le conduit au suicide démographique et à la résignation face à toutes les idéologies et les utopies qui se présentent. Ils ont mené une véritable enquête dans l'histoire et dans le quotidien des gens pour définir les causes et proposer des remèdes. Un livre écrit en 1976 mais qui reste (peut-être de moins en moins) d'actualité si l'on veut sortir de la spirale infernale dans laquelle l'Occident semble prise.
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Le Monde/La vie. 2016. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 186 pages - nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte. Texte sur plusieurs colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : L'Occident, un mot, un imaginaire : De quoi parle-t-on ? - Introduction - Cartes - L'antiquité, matrice de l'Occident : Introduction - Un héritage gréco-romain - L'Empire romain choisit la partition - La figure, Dioclétien, créateur du droit divin - L'empreinte, les jeux olympiques - L'Occident chrétien, l'unité introuvable - L'occident à la conquête du monde - L'Occident de la guerre froide - Entre fascination et répulsion - Le déclin de l'Occident ?... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Le Monde. 2016. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 186 pages - nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte. Texte sur plusieurs colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : L'Occident, un mot, un imaginaire : De quoi parle-t-on ? - Introduction - Cartes - L'antiquité, matrice de l'Occident : Introduction - Un héritage gréco-romain - L'Empire romain choisit la partition - La figure, Dioclétien, créateur du droit divin - L'empreinte, les jeux olympiques - L'Occident chrétien, l'unité introuvable - L'occident à la conquête du monde - L'Occident de la guerre froide - Entre fascination et répulsion - Le déclin de l'Occident ?... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
JC Lattès, 2011, in-8°, 382 pp, traduit de l'anglais, notes, sources, broché, bon état
En recrutant les musulmans soviétiques pour combattre Staline, Hitler n'imaginait pas que cette alliance se répercuterait jusqu'aux événements du 11 Septembre. Car, après la guerre, les services secrets américains et ouest-allemands vont à leur tour s'appuyer sur les mêmes réseaux et les mêmes hommes pour lutter contre le communisme durant la guerre froide. A travers cette enquête passionnante, Ian Johnson reconstitue l'accumulation de maladresses stratégiques et politiques qui permit à l'islam radical d'installer sa première tête de pont en Occident. Et comment de la paisible mosquée de Munich, une communauté musulmane influente et impénétrable a pu organiser ses futures actions. Ian Johnson dresse le portrait des principaux acteurs de cette histoire méconnue, notamment celui de Gerhard Von Mende, ancien nazi qui dirigea un bureau de propagande ouest-allemand et celui de Said Ramadan – le père de Tariq –, principal dirigeant en exil des Frères musulmans, lié de près aux services secrets occidentaux. "Une mosquée à Munich", qui analyse avec une lucidité rare la rencontre désastreuse entre l'Occident et l'islam radical, se révèle aussi captivant qu'indispensable pour comprendre les erreurs commises hier et aujourd'hui vis-à-vis des islamistes. — "Lorsque la nouvelle se répandit que les pirates de l’air du 11 Septembre avaient vécu en Europe, le journaliste Ian Johnson se demanda comment des partisans d’un islam radical avaient pu s’implanter en Occident. La plupart des explications avancées jusqu’ici font état du soutien des États-Unis aux combattants islamistes d’Afghanistan, vingt ans plus tôt. Ian Johnson, lui, s’est penché sur le début de la Guerre froide en racontant l’histoire méconnue de musulmans soviétiques passés dans le camp allemand pendant la Seconde Guerre mondiale. En devenant de par la volonté des agents nazis un outil de propagande antisoviétique, ils établirent à leur insu un lien ténu, dont nul n’aurait alors imaginé les conséquences, entre l’islam politique et l’Occident. Pendant que les agents des services de renseignement ouest-allemands et américains luttaient en vue de s’assurer le contrôle de cette communauté musulmane influente mais impénétrable – dont le combat clandestin s’organisait depuis la paisible mosquée de Munich – l’islam radical installa sa première tête de pont en Occident. En s’appuyant sur un nombre impressionnant de sources (dont certaines accessibles depuis peu seulement aux chercheurs), Une Mosquée à Munich s’attache à un érudit nazi ayant pris la tête d’un réseau d’espions dans l’après-guerre, à des dirigeants musulmans du monde entier, dont certains, membres des Frères Musulmans, et à des agents de la CIA naïfs résolus à employer une nouvelle arme contre le communisme : l’islam. Une Mosquée à Munich – une analyse d’une lucidité rare de l’espionnage en temps de Guerre froide, doublée d’un récit révélateur de la rencontre désastreuse entre l’Occident et l’islam radical – s’avère aussi captivant qu’indispensable si l’on souhaite comprendre les erreurs encore commises vis-à-vis des islamistes aujourd’hui."
Grasset, 1956, in-8°, 353 pp, broché, papier jauni, bon état, envoi a.s. « à Monsieur ... en respectueux souvenir, Henri Massis – “On n'entend les prophéties que quand les choses sont arrivées” – Pascal »
Nouvelle présentation, avec de nombreux compléments, de l'ouvrage “Défense de l'Occident”, paru en 1927. La crise de la civilisation. – Défense de l'Occident. – L'Empire soviétique à la conquête du monde. – Comment l'Amérique a perdu la paix : histoire de dix ans (1945-1955). — "Nous apprenons la mort de l'écrivain Henri Massis à l'âge de 84 ans. Après avoir débuté dans le journalisme et collaboré à diverses publications (le Petit Journal, l'Eclair, l'Opinion) Henri Massis avait atteint très vite la notoriété grâce aux enquêtes qu'il mena avec Alfred de Tarde sur « l'Esprit de la Nouvelle Sorbonne » et sur « les jeunes gens d'aujourd'hui ». Il rejoint la jeune élite nationaliste littéraire de l'époque et se range aux côtés de Barrès, Maurras, Maritain, Péguy, Psichari. Il devait rester fidèle à ses idées toute sa vie et défendre après la première guerre mondiale un maurrassisme catholique en collaborant en qualité de rédacteur en chef à la Revue Universelle dirigée par Jacques Bainville auquel il succéda de 1936 à 1944. En 1927, il publiait son plus important ouvrage : « Défense de l'Occident » où est exposée la conception du génie de l'Occident reposant sur l'idée d'ordre en politique, sur le primat de la raison, sur les instincts en morale et sur la notion de responsabilité personnelle et de spiritualisme actif. A ces traits s'opposent ceux de l'Orient dont l'individualisme désorganise la morale et la société et qui dépersonnalise Dieu dans le panthéisme et l'homme dans ses instincts. L'Allemagne hitlérienne, c'est l'hérésie majeure en occident. Henri Massis se sépare de certains de ses amis, admirateurs des régimes totalitaires. En 1941, il est nommé cependant membre du Conseil National de Vichy et poursuivra après la guerre son activité littéraire en défendant un certain nombre de thèmes qui lui étaient chers « Maurras et son temps, 1951»; « l'Occident et son destin, 1956 ». Il avait été élu à l'Académie Française en 1960." (Bernard Ménager, Revue du Nord Year 1970)