Pathé sans lieu 5.5.1955. Coffret de 3 disques 33 tours/30 cm DTX 5003 à 5005, pochettes à lucarne, sous coffret noir au premier plat rouge illustré d'une photographie.
Reference : YG09372
Bien complet du copieux livret illustré soigneusement imprimé en deux couleurs avec de remarquables reproductions en hélio, tirée à 500 exemplaires sur vélin de Rives. Enregistrement peu avant la disparition du comédien, en mars 1951. Préface de Giraudoux.Grand prix 1955 de l'Académie Charles Cros.Grand prix 1956 de l'Académie du disque français. > En cas de problème de commande, veuillez nous contacter par notre page d'accueil / If you have any problems with your order please contact us via our homepage <
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André Sauret Imprimerie Nationale 1953 Paris, André Sauret Editeur, Imprimerie Nationale, 1953-1955, 8 volumes, environ 245x195 mm, brochés sous couvertures rempliées et emboîtages lavande de l'éditeur. Edition numérotée 3547 (l'un des 5000 exemplaires sur vélin d'Arches), illustrations couleurs par DUBOUT. Les suites sont présentées, selon les volumes, avec ou sans leur pochette en papier. De petits défauts épars sur les emboitages (dos des chemises et bordure de l'ouverture des étuis insolés, quelques frottements d'usage sur certains étuis, traces de frottements sur dos d'une chemise). Bel état néanmoins et livres à l'intérieur des emboitages en très bon état.
Tartuffe, 194 pages dont 20 hors-textes - Le Misanthrope suivi de Sganarelle, 216 pages dont 20 hors-textes - Les Femmes savantes, 182 pages dont 21 hors-textes et 4 figures in-texte - L'Ecole des Femmes suivie des Précieuses ridicules, 213 pages avec 20 illustrations - L'Avare, 208 pages dont 21 hors-textes et 3 figures in-texte - Les Fourberies de Scapin suivies du Médecin malgré lui, 228 pages dont 20 hors-textes - Le Malade imaginaire 210 pages avec 20 illustrations - Le Bourgeois gentilhomme, 208 pages dont 22 hors-textes et 2 figures in-texte (8 volumes). Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Stéréotype d'Herhan 1805 in16. 1805. Relié. l'école des maris les facheux école es femmes la critique de l'école des femmes l'impromptu de Versailles la princesse d'Elide le mariage forcé
Etat correct couverture frottée tache coin sup. droit en début de livre
PLON. 1920. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Non coupé. 445 Pages - Frontispice en noir et blanc - Un tampon sur la page de titre. . . . Classification Dewey : 792-Théâtre
Sommaire : Sganarelle - Don garcie de Navarre - L'école des maris - Les facheux - L'école des femmes - La critique de l'école des femmes.... Classification Dewey : 792-Théâtre
1946 1946. Tirages argentiques de l’époque. Quelques frottements et défauts de tirage. Tampon au dos «Exclusivité Paris-Matin». Conservés dans une enveloppe de papier kraft portant la mention manuscrite «Préparatifs Minou pour ses débuts : 24 juin 1946». Ensemble de 4 portraits de Dominique Blanchar, capturés dans les coulisses du théâtre de l'Athénée alors que la jeune actrice s'apprêtait à débuter dans le rôle d'Agnès (L'École des femmes). Clichés pris lors de la première, le 24 juin 1946, pour la revue Paris-Matin. Sur deux photographies figure en arrière plan l'affiche de la pièce que Dominique Blanchar conservera précieusement (voir le n°X) ; Marthe Blanchar, sa mère est présente sur l'un des clichés. En 1936, Louis Jouvet, directeur du théâtre de l'Athénée, crée l'une des premières adaptations modernes de L'École des femmes. S'il nourrissait depuis près de 14 ans le projet de monter la pièce de Molière, Jouvet butait sur les décors : intervient Christian Bérard, qui dessine, en plus de costumes d'un style nouveau un décor mobile mécanique permettant de diviser l'espace scénique en deux lieux différents. C'est dans un premier temps Madeleine Ozeray qui interprète le rôle principal. Mais en 1946, Louis Jouvet repère Dominique dite "Minou" Blanchar, à laquelle il confie le rôle de l'Agnès. Elle l'endossera jusqu'à la mort du metteur en scène (qui lui continuera de jouer Arnolphe) en août 1951. Avec 675 représentations entre 1936 et 1951, la mise en scène accède rapidement au statut de mythe. En 2001-2003, le Théâtre de l'Athénée confiera à Jacques Lasalle la réalisation d'une mise en scène "hommage" de L'École des femmes reprenant le décor de Bérard.
1946 1946. Tirage argentique de l’époque. Un coin frotté. GRAND TIRAGE ARGENTIQUE DE L'ÉPOQUE. Portrait de Dominique Blanchar capturé par Brassaï dans les coulisses du Théâtre de l'Athénée lors des préparatifs pour L'École des femmes. Tampon du photographe au dos : "BRASSAÏ / 61, rue du Faubrd St-Jacques / PARIS XIVe / TÉLÉPH : PORT-ROYAL 23-41" En 1936, Louis Jouvet, directeur du théâtre de l'Athénée, crée l'une des premières adaptations modernes de L'École des femmes. S'il nourrissait depuis près de 14 ans le projet de monter la pièce de Molière, Jouvet butait sur les décors : intervient Christian Bérard, qui dessine, en plus de costumes d'un style nouveau un décor mobile mécanique permettant de diviser l'espace scénique en deux lieux différents. C'est dans un premier temps Madeleine Ozeray qui interprète le rôle principal. Mais en 1946, Louis Jouvet repère Dominique dite "Minou" Blanchar, à laquelle il confie le rôle de l'Agnès. Elle l'endossera jusqu'à la mort du metteur en scène (qui lui continuera de jouer Arnolphe) en août 1951. Avec 675 représentations entre 1936 et 1951, la mise en scène accède rapidement au statut de mythe. En 2001-2003, le Théâtre de l'Athénée confiera à Jacques Lasalle la réalisation d'une mise en scène "hommage" de L'École des femmes reprenant le décor de Bérard.