Sans date (vers 1950 ?). Grand portrait photographique original 65 x 52, monté sur carton, autrefois accroché dans mon entrée.
Reference : YG01816
J'en ai un second, pratiquement de mêmes caractéristiques et dimensions, figurant un tableau abstrait sur chevalet dans son atelier. La composition exposée rappelle les "Voiles" de la collection Chaplin de Corsier, mais ce pourrait tout aussi bien être un sarment stylisé – Voir également celui croqué pour le livre de Gilbert Trolliet.Duo à prix adouci...:-) > En cas de problème de commande, veuillez nous contacter par notre page d'accueil / If you have any problems with your order please contact us via our homepage <
Librairie Oh 7e Ciel
M. Yves Gindrat
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Librairie Nouvelle. 9 Mai 1908. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 24 pages, paginé de 295 à 318 .Illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc dans le texte et hors texte. Texte sur 3 colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
"Journal hebdomadaire. Sommaire : Société Nationale des Beaux-Arts. La Gandara : Portrait de Mlle Dolley. Lhermitte : La Famille.J.-E. Blanche : Les enfants de M. Saxton Noble. Jean-Jacques Rousseau : Passage du bac à Tywrow (Russie). Léon Couturier : Vieux marin breton. Damoye : Le moulin de Presle. Guillaume : Plaisir austère. Dauchez : Kérambleis. Alphonse Stengelin : Le bain des vaches en Hollande. Jean Béraud : Au Cercle. Brown : Avant la course. Falcou : La vallée de la Seine. Caro-Delvaille : ""Le Paon Blanc"". A. Berthon : Portrait de M. Jules Gauthier. P. Carrier-Belleuse : Cigale. Société des Artistes Français. H. Jacquier : Glorieux bûcher (30 Mars 1814). Aston Knight : Rivière Normande. Georges Lavergne : Portrait de Mme P. M. Cecil Jay : La Cruche de faïence de Delft. De Joncières : Les feuilles d'Automne. Maxime Faivre - Mort de Madame de Lamballe. Frédéric Lauth : Le voile gris. Maxence : Méditation. Albert Maignan : Sous le cèdre. Tony Robert-Fleury : ""Sous la révolution"". Charles Manciet : Portrait de Mme F. M. ... Edmond Petitjean : L'entrée du port à Honfleur. Albert Matigton : ""Rêve de Cigale"". G. Patricot : Portrait de fillette. Depalézieux : Bateau à la côte. Albert Plauzeau : La Pologne. Mascré : Crépuscule d'Automne dans les Alpes. Zwiller : Les Arts vaincus par la Science. Pascau : Les officiants. Galliau : Portrait de Mme J. Ernest Bordes : Portrait de Mlle M de S. Saint Pierre : Au-devant de l'aimé. Joseph Bail : Le Repas du Soir. Mlle Hélène Lavergne : Portrait de Mme P. L... M. Henri Zo : L'arrivée à la Plazza. Marcel Baschet : Portrait de M. Rochefort. Benoit-Lévy : Sur la digue à Volendam. Paul Saïn : Paysage. E. Bourgeois : La Ruine. Edouard Zier : Portrait de la princesse de T... . Maurice Toussaint : Aquarelle. Mlle Lecomte : A la fontaine. Jules Cayron : Portrait de Mme K. R... . A. Guillemet : Le soir. Didier-Pouget : Bruyères en fleurs. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique"
EMAP FRANCE. Novembre 2012. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 186 pages. Nombreuses illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 770-Photographie
Sommaire : Dossier : les secrets du portrait, Paolo Verzone, Quelle focale pour le portrait ?, Le portrait en profitant des opportunités, Le portrait de Sartre par Cartier-Bresson, Quatre leçons par Jean Turco, Un portrait retouché par un labo pro, Comment je suis devenu strobiste Classification Dewey : 770-Photographie
Musée-Galerie de la Seita. 1985. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 96 pages - nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et quelques unes en couleurs dans et hors texte. Texte sur deux colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Edito par Frédéric Edelmann - Autoportraits par André Fermigier - Faces cachées : la question du portrait en Islam par Gérald Duverdier - Un jeu littéraire : le portrait au XVIIe siècle par Maurice Lever - Morceaux choisis : anthologie poétique de la femme par Jean Baudry - Carnet mondain : portraitistes et littérateurs à la fin du XIXe siècle par Jean Adhémar - Les Jeanne : les mille et un portraits de la pucelle par Régine Pernoud, Véronique Clin - Traits pour traits : portraits et caractères par Jacques Renoux, Pierre Renaud - Entre poire et visage : la caricature par Michel Jouve - Mise en pli : l'art de la grimace par Gérard Mouizel - Identité : portrait de l'individu au XXe siècle par Philippe Boucher - Refaire son portrait par Dr Gilbert Aiach - Sosies par Julie Mily - Portrait robot par Laurent Greilsamer - Joindre portrait : prémices matrimoniales par Nicolas Brasart... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
<p><meta charset="utf-8"><span>Qu’est-ce qu’un portrait ? S’il s’agit bien de la représentation d’une personne, la ressemblance physique avec le modèle n’est pas toujours le critère le plus pertinent pour le définir. Cet art a évolué au fil du temps, en particulier les conventions régissant sa réalisation.</span><br><span>Son origine est rapportée par des mythes ou des légendes. Parce qu’ils se réfèrent à l’absence d’une personne ou à sa disparition, ces récits soulignent une fonction essentielle du portrait : garder le souvenir de celui qui n’est plus là, à commencer, pour les chrétiens, par le Christ ou des saints. Ils mettent aussi en avant des croyances, notamment sur son rôle de substitut. L’art funéraire et l’art religieux, relié aux notions de mémoire et célébration, éclairent sur les usages et fonctions du portrait, de la dévotion à la propagande, au désir de pérenniser le souvenir d’un ancêtre. La figure du collectionneur et les théories du portrait complètent cette présentation.</span><br><span>Tous les types de portrait sont déclinés, mais aussi les costumes, accessoires et attributs, la grande variété des techniques, matériaux et supports, ou les sujets, de même que « l’envers » du portrait, envisagé comme punition, ou utilisé pour critiquer, avec la caricature.</span><br><span>Cet ouvrage présente le portrait dans sa diversité, sans se limiter aux œuvres peintes, avec quelques exemples du Proche-Orient antique ou de l’Afrique actuelle. Il est complété par deux index et une bibliographie.</span></p> Paris, 2018 Hazan 333 p., nombreuses illustrations et photographies couleur, broché. 13,5 x 20
Neuf
s.l. 9 janvier 1809, 11,7x18,3cm, deux pages sur un bifeuillet.
Lettre autographe signée de Germaine de Staël, datée de sa main du 9 janvier 1809 adressée à Julie Nigris, fille d'Elisabeth Vigée-Lebrun. Deux pages à l'encre noire sur un bifeuillet. Adresse autographe au verso et traces de cachet portant ses armes, ainsi que des tampons postaux. Plis inhérents à l'envoidéchirure avec manque, sans atteinte au texte, sur le feuillet d'adresse, dû à l'ouverture du cachet. Publiée en addendum dans les Souvenirs de Madame Vigée Lebrun, 1837, t. III, pp. 264-265. Germaine de Staël s'impatiente de recevoir son portrait sous les traits de son héroïne Corinne, commandée à la célèbre portraitiste Elisabeth Vigée-Lebrun. La lettre est le maillon de la longue et fascinante histoire de ce portrait, que la baronne découvrira quelques mois plus tard. "J'ai renoncé Madame, à la gravure du portrait de Madame votre mère, c'est trop cher pour ma fantaisie et je viens d'éprouver un procès considérable qui m'oblige à des ménagements de fortune. Mais avez-vous la bonté de me dire quand le portrait de Corinne me sera remis par Mad. Le Brun ? Mon intention était de lui envoyer mille écus en le recevant mais n'ayant pas de ses nouvelles je ne sais pas du tout ce que je dois faire. Soyez assez bonne pour vous en mêler, et me négocier à cet égard ce que je désire. Une négociation qui me serait bien douce aussi c'est celle qui vous amènerait en Suisse cet été. Prosper dit qu'il y viendra. M. de Maleteste ne se laisserait-il pas séduire par cette réunion de tous ses amis ? J'ose me mettre du nombre. En le voyant une fois il m'a semblé que je rencontrais une ancienne connaissance" Germaine de Staël s'adresse à la fille de Vigée-Lebrun, Julie, en l'invitant ainsi que sa mère à égayer son exil. Elle tente également de rassembler à Coppet son propre amant ainsi que celui de Julie - Prosper de Barante et le marquis de Maleteste. Abhorrant la solitude, elle était résolue à inviter une foule de personnalités intéressantes. Deux ans plus tôt, Vigée-Lebrun avait commencé chez la baronne le portrait d'après nature de cette dernière sous les traits de l'héroïne de son dernier roman Corinne. L'artiste y avait rencontré les célèbres protagonistes du fameux groupe de Coppet : Frédéric de Prusse, Benjamin Constant et Juliette Récamier. Germaine avait déjà requis un changement auprès de Vigée Le Brun à peine la toile commencée et demandé un différent paysage de fond. Consciente de l'aspect ingrat de son modèle - ni elle ni la baronne ne s'en cachent - Vigée-Lebrun livrera un portrait ambitieux, à l'antique certes, mais à l'allure furieusement romantique, capturant le regard inspiré de la baronne au détriment de l'aspect néo-classique attendu.Malgré ses enthousiastes premières réactions, Germaine de Staël en commandera un autre à l'artiste local Firmin Massot. Ce dernier réalisera une piètre quoique fidèle copie de la composition originale, à l'exception du visage, et tout particulièrement du regard qu'il fait vide de toute émotion. La réaction de la baronne illustre le dilemme irréconciliable dont souffraient les femmes de lettres en ce début de XIXe siècle : tiraillées entre l'exercice d'un art intellectuel que Vigée-Lebrun avait magnifiquement capturé dans ce portrait, etles critères normatifs de la féminité auxquels Germaine de Staël voulait ressembler. Précieux feuillet de correspondance, quiréunit deux femmes illustres, la commanditaire et l'artiste dont les visions de la féminité s'affronteront bientôt de part et d'autre du chevalet. - Photos sur www.Edition-originale.com -