Payot, Lausanne 10.1962. Broché, couverture crème imprimée rempliée. Édition originale. L'un des 20 exemplaires de tête numérotés sur vélin blanc, seul tirage en grand papier.
Reference : YG00593
Le prix des écrivains genevois 1962 attribué à ce recueil nous semble bien mérité; la poésie distille une rare et précieuse émotion à l'égard des petites gens, pauvres et petits vieux des villes. Une réussite inspirée par le lyrisme urbain.Notre exemplaire est gratifié d'une envoi autographe signé de l'auteur, strictement d' époque. > En cas de problème de commande, veuillez nous contacter par notre page d'accueil / If you have any problems with your order please contact us via our homepage <
Librairie Oh 7e Ciel
M. Yves Gindrat
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1690 1 volume comprenant 6 plaquettes brochées ensemble (1 volume composed of 6 booklets linked together), reliure plein veau brun moucheté in-douze (binding full calfskin duodecimo), dos 5 nerfs - roulettes sur les nerfs - manque de dorure (spine with 5 raised bands with fillets - miss gilding) - entre-nerfs à fleuron au fer évidé et rinceaux aux angles avec des petits fers en remplissage (between the raised bands with floweret with hollowed out blocking stamp - with foliages executed in the curved lines in angles - with small blocking stamp in filling) - pièce de titre sur fond grenat avec filet or - portant la mention pasquinades en référence à l'un des personnages de la première plaquette (label of title with gilt line) - 1 entre-nerfs abîmé, coiffe supérieure manquante (is missing head of the spine) - coiffe inférieure accidentée (tail of the spine damaged), coins de tête émoussés (top corners blunt), roulettes sur les coupes (fillets on the cuts), toutes tranches jaspées rouges (all red marbled edges), ex-libris (book-plate), illustrations : page de titre - marque à la sphère - sauf pour "la fable du renard février 1690" marque à la tortue (engraved title page : Mark in the sphere except for "la fable du renard February 1690" mark to the tortoise), 47+45+48+46+48 et48 pages, même année pour toutes les plaquettes mais des Editeurs différents (The same year for all the booklets but different Editors ) : 1690 à Londres Chez Jean Benn - à Leyde Chez William Newking - à Vienne Chez Peter Hansgood - à Basle Chez Eugène Tyrannomastix - à Oxford Chez James Goodking - à Amsterdam Chez Eugène Philalethe,
sommaire (contents) : La pierre de touche politique janvier 1690 la bibliotèque du Roy Guillemot sixième dialogue, La pierre de touche politique février 1690 la fable du renard, La pierre de touche politique mars 1690 la diète d'Ausbourg VIII dialogue, La pierre de touche politique avril 1690 la (sic) lotterie de Pasquin IX dialogue, La pierre de touche politique may 1690 l'ombre de Montmouth dixième dialogue, La pierre de touche politique juin 1690 onzième dialogue - bon état général malgré les petits défauts signalés (good condition in spite of the smalls defects indicated)
Edition originale rare de cet ouvrage scientifique rédigé par le « Prince des chronologues ». Bel exemplaire conservé dans son vélin souple de l’époque. Paris, chez Gervais Alliot, 1638. Avec Privilège du roi.In-folio de (1) f.bl., (26) pp., 346, (6), (1) f.bl. Interversion de 2 cahiers, qq. ff. un peu brunis. Exemplaire bien complet. Relié en plein vélin souple de l’époque, dos lisse avec le titre manuscrit.350 x 230 mm.
Edition originale rare de cet ouvrage scientifique consacré à la chronologie. (Brunet, I, 577). « Ce dernier opuscule est une réplique à la ‘Pierre de touche chronologique’ du P. Petau (Paris, 1636), dans laquelle ce jésuite avait justement critiqué les ‘Eclaircissements chronologiques’ que d’Auzoles venait de faire paraître (Paris, 1635) » (Brunet). Le chronologiste auvergnat Jacques d’Auzoles (1571-1642) « avait proposé de réduire l’année à 364 jours, afin qu’elle pût commencer par un dimanche et finir par un samedi, et se mit dans une grande colère quand on lui eut objecté que cette réforme du calendrier avait l’inconvénient de faire coïncider les différentes saisons successivement avec tous les mois de l’année. Tout cela n’empêcha pas ses amis et admirateurs (car il en avait) de lui décerner le titre de Prince des chronologistes, et de lui faire graver des médailles et son portrait ». (Biographie générale, III, 802). « Jacques d’Auzoles, sieur de La Peyre, auteur d’écrits nombreux naquit le 14 mai 1571 au château de la Peyre […]. Amené jeune à Paris pour y terminer ses études, il entra depuis comme secrétaire chez le duc de Montpensier, qui l’honora de toute sa confiance. Dans ses loisirs, il voulut s’occuper de débrouiller la chronologie, science qui, malgré les travaux estimables de Scaliger, présentait encore beaucoup de difficultés […]. D’Auzoles publia en 1633 ses ‘Eclaircissements chronologiques’. Ce fut alors que, fatigué de cette lutte, et cessant de garder des ménagements avec son adversaire, Petau publia la ‘Pierre de touche chronologique’, qu’il termine en déclarant à d’Auzoles qu’il lui laisse le champ libre, et que désormais il ne perdra plus son temps à lui répondre. A cet ouvrage, fait pour mettre hors de combat un champion plus vigoureux, d’Auzoles opposa le ‘Mercure charitable, ou contre-touche pour désempierrer le P. Petau’, 1638, in-folio. Mais cette dernière attaque fut en pure perte ; Petau ne répondit plus […] ». « Sa bonhomie lui faisait accepter le titre de ‘Prince des chronologues’, que lui donnèrent des admirateurs en assez grand nombre […]. D’Auzoles a eu des partisans qu’on ne peut dédaigner, entre autres le P. Mersenne, minime, qui l’estimait beaucoup, le savant Niceron, du même ordre, le carme Thomas d’Aquin de Saint-Joseph, les jésuites Mambrun et Labbé […]. Le P. Niceron fit graver, en 1636, le portrait de d’Auzoles, ‘lequel semblait plutôt un monstre qu’un homme ; mais y appliquant un cylindre, et le mettant sur le rond qui y est marqué, cela le représentait naïvement bien, suivant ses expressions ». (Biographie universelle, pp. 585-586). La présente édition est ornée de 6 figures gravées en taille-douce par Jean Picart dont le fameux portrait de l’auteur en anamorphose réalisé à la demande du P. Niceron et un autre portrait de d’Auzoles en médaillon. Le texte est en outre illustré de figures et schémas explicatifs. Bel exemplaire de ce livre rare conservé dans son vélin souple de l’époque. Provenance : ancien cachet d’une communauté religieuse sur le titre : Collegium Angiense Societatis Jesu. Un seul exemplaire de cet ouvrage rare est passé sur le marché public international ces trente dernières années. OCLC n’en répertorie aucun, et celui conservé à la British Library est incomplet du feuillet de titre.
Leipzig Friedrich Landischens Erben. 1748 1 vol. in-8 ( 18 x10,5 cm ) T. , (3) ff. n. ch. , 326 pp. , (1) ff. n. ch. + T. , (7) ff. n. ch. , 224 pp. . En allemand et français . Titre en rouge et noir . Bandeaux , lettrines , culs-de-lampe . Plein vélin de l' époque . Dos lisse et muet . Toutes tranches rouges . Qqs mots sur la première contregarde ( illisibles ) et sur la dernière ( " si fortune me tourmente l' espérance me contante ") . Vélin taché avec qqs petits manques . Des cahiers décalés . Des taches d' encre sur la gouttière et sur certaines pages ,cachant qqs lettres . ( Collat. complet ).
" Au XVIIIe siècle, la francomanie bat son plein en Allemagne. Une grande partie des membres de la haute société parle le français, et certains, comme le roi de Prusse Frédéric le Grand (1712-1786), même mieux que lallemand. Après la révocation de lédit de Nantes (1685) il est relativement facile dapprendre le français aussi bien par les règles que par lusage, la colonie francophone en Allemagne atteignant vers la fin du siècle des Lumières les 100 000 personnes [...]Lampleur de la francomanie est attestée par ailleurs par la masse de manuels de français publiés : ils dépassent les 300 . Généralement, les élèves veulent avant tout apprendre à parler la langue. Les maîtres mettent donc laccent sur lexpression orale. La méthode privilégiée reste la conversation, souvent combinée avec la lecture. Toutefois plus le français pénètre dans le programme détudes des écoles secondaires et à luniversité, plus on enseigne la grammaire et la composition. [...] Au siècle des Lumières le nombre de femmes qui gagnent leur vie comme gouvernantes ou comme institutrices augmente rapidement. Certaines se distinguent aussi comme auteurs de manuels de langue. Une des premières et des plus réputées est Mme La Roche sur laquelle on ne sait presque rien. Sa Nouvelle méthode pour traiter la grammaire françoise (1716), un volume de 316 pages, et La Pierre de Touche, ou le secret de délier la langue par le moyen de certains entretiens courts, faciles & galants, divises en trois parties par Mme La Roche, avec une grammaire nouvellement revue et augmentée dun recueil de plusieurs histoires, de régies & de lettres sur toutes sortes de sujets (1705) connaissent un grand succès et au moins 26 éditions jusquen 1780. Comme Du Buisson et Des Pepliers, Mme La Roche met laccent sur la répétition, la mémorisation des modèles, la lecture de textes et surtout sur la conversation.[...]Le premier volume de La Pierre de Touche comprend la grammaire (202 pages), le « Recueil de plusieurs histoires fort divertissantes, pour servir dexercices à ceux qui apprennent la langue Françoise » (p. 203-281), le « Nouveau recueil de lettres & de Billets galants avec leurs réponses sur toutes sortes de sujets » (p. 282-311) et la « Copie dune lettre écrite à un homme de qualité, touchant le choix quon doit faire dun habile Maître de Langue avec quêque Règles qui concernent la prononciation de la lettre R » (p. 312-336).Le deuxième volume se compose de trois parties. La première (p. 1-95) comporte un vocabulaire bilingue (p. 1-19) : conter, la table, le jour, la tête, un chapeau, lappartement, la cuisine, un chien, un oiseau, lempereur, un cordonnier, mon père, une pomme, un brochet, etc. ; des façons de parler : Bonjour, Madame ; Entrés, Madame ; Connoissés vous Monsieur N. ? Je vais chez Madame N ; Lentendés-vous bien ? Je ne sais pas ce que vous dites.La seconde partie (p. 96-144) contient des Entretiens et la dernière (p. 145-240) dautres Entretiens et des Histoires. " ( Jean-Antoine Caravolas , Histoire de la didactique des langues au siècle des Lumières , Presses de lUniversité de Montréal , 2020 )
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Tallandier. 10 octobre 1924. In-12. Broché. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 161 à 240. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Sommaire : La flambée (IV) par Henri de Régnier, La pierre de touche par André Armandy, La bienvenue par Marcel Boulenger, Mademoiselle de la Ferté (suite) par Pierre Benoit, La Fallary par G. Lenotre, Leurs maris par André de Lorde, Un drame dans le monde (III) par Paul Bourget, Un rendez vous par Frédéric Boutet, Vengeresse par J.H. Rosny jeune, L'éventail, acte troisième par Robert de Flers et G.A. de Caillavet Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Imprimerie Artistique P.Jacques. 1984. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 112 pages - tampon sur le 1er plat.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Catéchèse : la pierre de touche - des choix à longue portée - une nouvelle crise de la catéchèse 1971-1983 par Georges Duperray - en Hollande : faits et tendances par Karl Derksen - le projet catéchétique de l'église italienne par Luigl Sartori - dans l'église réformée de France par Michel Bonneville - et les adultes ? par Marie Louis Gondal - quand les cultures nouvelles défient la catéchèse par Pierre Moltel - relais familiaux et gestion des écarts par Maïten Court - catéchisme de la vérité et vérité de la catéchèse par Gilbert Adler - catéchèse, écriture, magistère par Charles Wackenheim. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues