Paris Fernand Nathan 1980 192 pages in-4. 1980. cartonné. 192 pages. In-4 (332x247 mm) 192 pages. Cartonnage toilé sous jaquette illustrée. Nombreuses illustrations en noir et en couleurs. Très bon état général. Poids : 1530 gr
Reference : 5564
Bouquiniste
M. Thibault Hairion
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La Jeune Parque, 1947. Grand in-8 carré broché, couverture rempliée illustrée, 82 pages, illustré de planches hors-texte par Ingres. Ce volume, le quatrième de la collection "Ecrits d'artistes", a été tiré à 3000 exemplaires numérotés, celui-ci sur Vélin. Bon exemplaire, sans rousseurs.
Editions Atlas, collection "Les cent chefs-d'oeuvre", in-4, reliure cartonnée et illustrée, nombreuses reproductions couleurs pleine page + 1 puzzle sous pochette plastique, l'ensemble sous étui illustré de l'éditeur. EXEMPLAIRE NEUF SOUS BLISTER.
Chez J.-E. Bulloz, à Paris 1903, 37x48cm, en feuilles sous chemise.
Les Portraits dessinés de J.-A.-D. Ingres [Ingres's portraits] Très rare édition originale tirée à seulement 100 exemplaires numérotés, texte sur Arches accompagné de 100 portraits réalisés au charbon et encollés sur papier fort gris-bleu, aux marges légèrement passées, listel doré en encadrement de chaque portrait, cachet de Bulloz en bas à droite. Notre exemplaire est présenté sous chemise à rabats en demi maroquin à coins bordeaux, dos lisse muet passé, double filet doré sur les plats, titre estampé à l'or sur le premier plat, rabats de percaline et papier fortement endommagés (rabat inférieur manquant), coiffes frottées avec manques en tête et en pied des mors, coins émoussés, rubans de fermeture manquants. Portraits des personnalités politiques et intellectuelles du XIXème siècle. La majorité des planches sont datées et signées dans la planche. Ces reproductions ont pour la plupart été exécutées d'après des uvres détenues par des collectionneurs privés. Spécialiste reconnu d'Ingres, Henry Lapauze (1867-1925) note dans l'introduction «Ainsi ces portraits merveilleux, dont la plupart sont jalousement gardés comme des monuments de famille, ou font l'orgueil de collections privées, deviennent un trésor national, que tous pourront contempler». L'objectif principal de Lapauze est de permettre aux uvres d'Ingres d'être mieux connues du grand public à une époque où la culture est érigée au rang de patrimoine national par la Troisième République. C'est ainsi que l'uvre de Jean-Auguste-Dominique Ingres (1780-1867) éveille à nouveau l'intérêt des historiens d'art et du public au début du XXème siècle: ces cent portraits offrent une galerie visuelle de l'entourage de Dominique Ingres; que les personnalités portraiturées soient connues ou non des lecteurs, Lapauze considère que cela importe peu dans la mesure où le génie du peintre suffit à «la gloire du maître» et à la «délectation des gens de goût». Ingres est ainsi érigé en génie de la peinture française du XIXème siècle. Rarissime exemplaire en édition originale compilant cent portraits dessinés par Ingres. - Photos sur www.Edition-originale.com -
P., Réunion des Musées Nationaux, 1967, gr. in-8° carré, xxxi-[1]-360 pp, texte sur deux ou trois colonnes, nombreuses illustrations en noir, bibliographie pages 346-352, broché, couv. illustrée, bon état
Catalogue édité à l'occasion de l'exposition "Ingres", présentée au Petit Palais, du 27 octobre 1967 au 29 janvier 1968. Présentation Adeline Cacan, avant-propos Michel Laclotte, biographie par Françoise Nora. Catalogue de l'exposition : 264 numéros décrits. Avec en début de volume, "Ingres et sa méthode" par Daniel Ternois, et "Ingres, dessinateur de portraits" par Hans Naef. — "Ce sera l'honneur de Jean-Dominique Ingres, dont on célèbre le centième anniversaire de la mort, de n'avoir jamais laissé indifférents les peintres et les critiques. Toute sa vie il fut attaqué ou loué à l'extrême. Dans sa jeunesse ses œuvres sont si peu goûtées que, durant son séjour à Florence, il est quasiment réduit à la misère. Puis revirement : il a de grandes commandes officielles et son Vœu de Louis XIII est reçu avec enthousiasme. Mais, au Salon de 1834, le Saint Symphorien obtient un accueil si froid qu'il demande à repartir pour l'Italie. Il en revient triomphalement en 1842 et là, pendant vingt-cinq ans, directement ou par l'intermédiaire de ses élèves, il règne sur la peinture française..." (Georges Charensol, Revue des Deux-Mondes, 1967) — "Ingres est grand, irritant et stable comme une institution. Il y a eu cent ans en février dernier qu'on annonçait son décès à quatre-vingt-sept ans. Mais Ingres n'est jamais mort. Il a toujours été au zénith de la gloire, admiré à la fois par la droite et la gauche, les mornes académiques et les révolutionnaires, et curieusement défendu par les uns contre les autres. Tout le monde passe par Ingres, comme si son art n'était fait que d'évidences. Même Delacroix, qui avait toutes les raisons de détester cet art pointu, ces tons acides ou pôles, Delacroix, grand seigneur, tirait, comme on dit, son chapeau à l'adversaire..." (André Chastel, Le Monde, 27 octobre 1967)
Bulletin spécial des Amis du musée Ingres, Montauban, 1986. In-4, broché sous jaquette illustrée en couleurs, 145 pp. La première rencontre d'Ingres avec Rome : la naissance de l'ingrisme, par René Jullian - Une amitié romaine : lettres d'Ingres à Edouard Gatteaux, par Daniel Ternois - Ingres et la Fornarina, par Hélène Toussaint - Ingres et la mode ...
Illustrations en noir et blanc in texte. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
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