Paris chez Hachette (Coll. "Les caractères de ce temps") 1927 126 pages in-12. 1927. relié. 126 pages. In-12 (171x115 mm) 126 pages. Livre relié Demi-Cuir bleu Dos à quatre faux-nerfs titré en lettres dorées Couverture conservée (Plats et dos). Reliure en bon état malgré quelques frottements. Intérieur propre avec papier jauni. Poids : 280 gr
Reference : 3984
Bouquiniste
M. Thibault Hairion
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A Genève, pour Pierre Chouët, Avec Privilege de sa Maiesté Tres Chrestienne, 1670, 1 volume in-8 de 220x165x45 mm environ, 27 ff. (page de titre avec vignette, au lecteur, privilège, notices), 664 pages, (24) ff. (indice des principales matières), pleine basane fauve mouchetée de brun, dos à 4 nerfs portant titres dorés, orné de caissons à motifs dorés, tranches mouchetées de rouge. Coiffes ébréchées avec débuts de fente sur les mors, coins émoussés, épidermures, rares erreurs de pagination sans manque, notes anciennes manuscrites concernant l'achat du livre sur le premier contreplat et la page de titre, noms manuscrits des différents médecins dans la marge supérieure, galeries de ver dans les marges, des pages brunies. Texte agrémenté de bandeaux lettrines et culs-de-lampe
Compilation d'observations diverses de plus de 30 médecins de toute l'Europe, commandées par le chirurgien ou le médecin qui les a rendues publiques, accompagnées de deux index très efficaces : l'un des sujets (pour les maladies et pour la zone du corps affecté) et un autre des médicaments utilisés pour la guérison. Les traductions sont attribuées à Théophile Bonet. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Au prieuré Saint-Jean à Champrosay (Seine & Oise). 1957. In-8. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Dos satisfaisant, Papier jauni. 163 pages - plats jaunis - rousseurs et salissures sur les plats.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Ce que le médecin attend du malade par André Bodart - ce que le malade attend du médecin - angoisse des malades et souvenirs d'enfance - difficultés du médecin vues par les malades - éducation du malade et vulgarisation médicale - suggestions pour une meilleure relation - de quelques aspects essentiels de la relation médecin malade par Jean Marie Robert - caractère du médecin caractère du malade par Georges Torris - transfert et personnalité du médecin par Claude Veil - à propos d'une angoisse dite situationnelle des malades par Jean Paul Valabrega - de l'influence du malade sur le médecin par Marcel Sendrail - pages à relire philosophie de la chirurgie par René Leriche - médecine et bonheur par Pierre Joannon - motivations conscientes et inconscientes du médecin par Henri Duchène - de la rencontre à la confiance Jean Rolin - la confiance Gabriel Marcel - documentation - médecine sociale et médecine de la personne par Armand Vincent. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Edition originale du livre le plus réputé du Docteur Pierre-Toussaint Navier (1712‑1779), médecin du roi Louis XVI. Paris, Veuve Méquignon et Didot le Jeune, 1777.2 tomes en 2 volumes in-12 de : I/ xxv pp., (1) p. d’errata, 30 pp., 360 pp.; II/ xxi pp., (1) p. d’errata, 389 pp. Plein maroquin rouge, triple filet doré autour des plats, grandes armoiries dorées au centre, dos lisses ornés, coupes décorées, roulette intérieure, tranches dorées sur marbrures. Infime accroc à une coiffe. Reliure de l’époque.168 x 96 mm.
Edition originale du livre le plus réputé du Docteur Pierre-Toussaint Navier (1712‑1779), médecin du roi Louis XVI. « Cet ouvrage, puisé dans la chimie la plus profonde, et le fruit de plus de trente années d’étude, jouit encore d’une estime méritée ; il a été traduit en allemand par C.-E. Weigel, Greifswald ». (C. T-Y).Pierre-Toussaint Navier, né à St-Dizier le 1er novembre 1712, fut reçu docteur en médecine à Reims en 1741. Il choisit Châlons-sur-Marne pour le lieu de sa résidence, et mérita bientôt le titre de correspondant de l’Académie royale des sciences, par un Mémoire contenant la découverte de l’éther nitreux. Depuis ce temps chaque année de sa vie fut marquée par de nouveaux mémoires ou dissertations, que l’on trouve insérés dans les Recueils de l’Académie des sciences, de l’académie de Châlons, et dans la Gazette de médecine. Toujours animé de l’amour du bien public et du désir de contribuer au progrès des sciences et des arts, il entreprit de les fixer parmi ses nouveaux concitoyens, en formant, avec Dupré d’Ornay et d’autres, le projet d’une société littéraire qui commença ses séances en 1753, et qui fut érigée, au mois d’août 1775, en académie des sciences, arts et belles-lettres. Louis xvi lui donna en 1779 une pension. « Lorsque M. Navier fit paroître son ‘Traité des contre-poisons’, il était déjà connu comme chimiste et l'Académie royale des sciences l’avoit inscrit an nombre de ses correspondans. Il avait présenté à cette Compagnie, en 1741 un procédé pour la préparation d’une espèce d’éther jusqu’alors inconnue, qu'il obtint en mêlant et en agitant de l'esprit de vin avec de l'acide nitreux. Cette découverte, qui est consignée dans tous les livres de chimie aurait seule transmis son nom à la postérité, quand même cette science ne lui aurait pas eu d’autres obligations. Un fait nouveau est un pas de plus vers la vérité et cette route, qui conduit à une célébrité durable, étoit la seule qui fût digne des vœux du savant que nous avons perdu. Jamais il n’a fatigué la voix de la renommée, qui fait quelquefois succéder un silence éternel à des faveurs d'un moment. Ce médecin a plutôt éprouvé un sort contraire. Longtemps ignoré, il n'avoit ni rivaux, ni admirateurs. Ses recherches ayant enfin fixé l'attention du public, on accorda, sans prévention comme sans enthousiasme, des applaudissemens à ses travaux ; mais sa réputation ne fut jamais égale à ses talens, parce qu'il s'étoit reposé sur les autres du soin de les faire connoître, et qu'il ne savoit peut‑être pas lui-même ce qu'ils valoient.M. Navier ne s'est pas contenté d'avoir obtenu une nouvelle espèce d'éther. Ayant employé dans cette préparation différentes solutions métalliques nitreuses, il a observé que plusieurs de ces substances lui restoient unies, et il a indiqué celles qui se sont refusées à cette combinaison. Ces expériences ont été jugées très favorablement par l’Académie royale des sciences.Elle a rendu la même justice à deux mémoires du même auteur sur différens moyens de dissoudre le mercure par l’acide végétal et par quelques sels neutres, et sur une nouvelle méthode de le rendre soluble dans l'eau sans le secours d'aucune espèce d'acide, avec des réflexions sur les avantages que la médecine peut retirer de ces préparations.Ayant mis en usage la méthode indiquée par Homberg, et pratiquée par Boërrhaave, pour réduire le mercure en une poudre fine par le seul secours du mouvement longtemps continué ; M. Navier est parvenu à le rendre soluble dans l’acide végétal. Le sel ammoniac et le sel acéteux mercuriel, dont il a publié les procédés, sont surtout très utiles dans la pratique de la médecine. L’un est plus doux que la panacée ; l'autre à moins d’activité que les sels de la même nature préparés avec les acides minéraux. Lorsque M. Navier commença ses belles expériences, leur composition était tenue secrète par les sieurs Keyser et Mollée, qui les vendoient à leur profit. M. Navier en les faisant connoître, rendit un double service ; il dévoila, par la même opération, deux des plus importans mystères de l'empirisme, et il offrit à la médecine deux moyens de guérison qui lui manquoient.La réunion du fer et du mercure a été longtemps l'objet des vœux de plusieurs chimistes. M. Navier l’a obtenue par dix procédés différens, qui se réduisent à mêler ensemble une dissolution de fer et une dissolution de mercure, faites l'une et l'autre par le vinaigre on par l'acide vitriolique. Le précipité salin, composé de ces deux substances métalliques, parait sous la forme d’une neige cristalline brillante, et semblable, quant à l'extérieur, au sel sédatif.Une autre découverte de cet académicien est la dissolution du mercure dans le foie de soufre, que personne n’avoit tentée avant lui, et qui lui a fourni un remède fondant très utile dans le traitement des maladies scrophuleuses et de plusieurs maladies cutanées.Ces expériences, exposées dans l'ouvrage présenté ici même, sont accompagnées d'un grand nombre, de circonstances nouvelles d'observations fines, de détails intéressans, qui annoncent dans leur auteur ce tact et ce coup d'œil que la nature semble ne donner qu'à ceux auxquels elle veut bien révéler quelques-uns de ses secrets. »L’Abbé Rozier, Observations sur la physique sur l’histoire naturelle et sur les arts, 1783, p.15.Précieux exemplaire de l’auteur portant sur chacun des volumes la signature autographe du docteur Navier, offert à la reine Marie-Antoinette et revêtu d’une reliure de luxe en maroquin rouge de l’époque orné de ses grandes armoiries. Ernest Quentin Bauchart nous confirme que la reine Marie-Antoinette possédait, à côté des livres du Petit Trianon, une bibliothèque importante qu’elle avait fait installer au château des Tuilerie.Les livres de la reine, en grande partie reliés par Blaizot sont, pour la plupart, uniformément revêtus de maroquin rouge, aux armes de France et d’Autriche accolées, avec de simples filets sur les plats.Les ouvrages de moindre importance qui garnissaient les armoires du petit Trianon sont restés, en grande partie, à Versailles. Ils sont modestement reliés en veau porphyre, granité de points noirs sur un fond rouge sombre.
" Le tout recueilli des Ouvrages des Médecins les plus fameux, & composé d'une infinité de Recettes particulières & de Spécifiques pour plusieurs Maladies"Par M. L***, ancien Médecin des Armées du Roi & M. DE B***, Médecin des HopitauxIn 12 tome 1 uniquement Quatrième EditionParfait etat , reliure demi veau, plat recouvert d'un tissu
Ray F1*
PARACELSE, Philippus Theophrastus Aureolus Bombast von Hohenheim - DARIOT, Claude.
Reference : 107846
A Lyon, Pour Antoine de Harsy, 1603 (Paracelse), 1589 (Dariot), 3 textes reliés en 1 volume in-8 de 225x155x50 mm environ, 394 pages, 5ff. (Sonnet, indice des chapitres)-64 pages-256 pages, pleine basane brune, dos à nerfs portant titres dorés, orné de caissons à fleurons et motifs dorés, gardes marbrées, tranches rouges, avec un ex-libris gravé sur le premier contreplat. Textes complets des bois gravés, enrichis de bandeaux, magnifiques et délicates lettrines, et somptueux culs-de-lampe. Reliure et page de titre restaurées, gardes blanches remplacées et annotées, des rousseurs et pages brunies, petits trous de ver qui se transforment en galerie (troisième texte) sans atteinte au texte, notes manuscrites p. 217 et 221. La marque d'imprimeur Le Crabe et la Mite a été utilisée par les frères Frellon. A la mort de Jean Frellon, Antoine de Harsy prit la direction de la maison de son beau-frère et adopta cette marque.
Contient 3 textes souvent rassemblés en 1 volume : La Grande Chirurgie, Paracelse : 394 pages, 5ff. (Sonnet, indice des chapitres) (Seconde Edition). Paracelse, né Philippus Theophrastus Aureolus Bombast von Hohenheim en 1493 à Einsiedeln (en Suisse centrale) et mort le 24 septembre 1541 à Salzbourg, est un médecin, philosophe mais aussi théologien laïc suisse, dexpression allemande (de dialecte alémanique).Discours de la Goutte, auquel les causes d'icelle sont amplement declarées avec sa guerison & precaution par M. Claude Dariot, Medecin à Beaune, 64 pages (Edition originale).Trois Discours de la Preparation des Medicamens, contenans les raisons pourquoy, & comment ils le doivent estre, de chacun dequels l'argument est en la page suivante, par Claude Dariot, Medecin à Beaune, 256 pages (Edition originale). Claude Dariot (1533-1594). Médecin astrologue du XVIe siècle. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.