Toulouse Editeur Edouard Privat (Coll. "Univers de la france") 1971 454 pages in-8. 1971. cartonné. 454 pages. In-8 carré (234x179 mm) 454 pages. Cartonnage illustré. Illustrations en noir. Cartonnage en bon état général un peu sali et frotté. Intérieur propre. Poids : 930 gr
Reference : 3182
Bouquiniste
M. Thibault Hairion
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1963 Bastia, Imprimerie Ollagnier, 1889, in 8° broché, XVI-332 pages et un feuillet d'errata ; exemplaire sans la couverture, le volume a été recousu et préparé pour la reliure ; des rousseurs.
Il s'agit du deuxième (sur trois) tome de cette publication de la Société des Sciences Historiques et Naturelles de la Corse. ...................... Photos sur demande ..........................
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1963 Bastia, Edizioni de U Muntese, 1963-1969, 2 volumes grand in 8°, le tome 1 en feuilles sous chemise (CCV-368 pages) et le tome 2 broché (X-190 pages).
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Paris, Tallandier, "Essais", 2023, 14 x 20,5, 236 pages sous couverture souple illustrée. "Comment définir le lien de la Corse avec la France et quel est son fil conducteur ? Pourquoi ces deux entités si disparates ont-elles uni leurs destinées alors que, culturellement parlant, la Corse était plus proche de l'Italie ? L'union entre la France et la Corse commence par le mariage forcé du traité de Versailles de 1768. Peu après, Bonaparte intègre la Corse à l'administration française. Le mariage forcé se transforme en mariage d'amour sous Napoléon III, qui entretient une relation personnelle avec l'île. Cette union perdure jusqu'à de Gaulle, dernier chef d'Etat admiré en Corse. La fin de l'Empire colonial et de l'Algérie française, où tant de Corses sont impliqués, marque les débuts d'une prise de distance avec la France. A la fin des années 1950, les insulaires se sentent délaissés tant leur région reste sous-développée. Durant les années 1970, un nationalisme aux multiples facettes prospère dans les esprits. Après des années de violence et de nombreuses réformes, la Corse acquiert un statut d'autonomie tandis que les nationalistes accèdent au pouvoir institutionnel en 2015. Si le leitmotiv de l'indépendance est loin d'avoir disparu, surtout parmi les jeunes, aucun projet crédible n'a été proposé à ce jour. Dans cet essai enlevé, Paul-François Paoli n'écrit pas l'histoire de la Corse française mais bien "une" histoire de la Corse française. Une histoire indéniablement subjective mais qui se veut aussi impartiale que possible."
Très bon état
Paris France-Empire 1995 Grand In 8 " Parmi tout ce que la Corse a donné à la France , elle lui a laissé un nom commun : le maquis . Ce mot qui désigne le couvert végétal de l'île , est devenu le symbole universel de toutes les résistances à toutes les occupations et à toutes les tyrannies " . Illustré d'une suite photographique hors-texte . - 258 p. , 650 gr.
Couverture souple Très bon 1ère Édition
Laffont, 1990 gr. in-8°, 503 pp, nouvelle édition revue et mise à jour, index, broché, couv. illustrée, bon état
"L'auteur a voulu, essentiellement, reconstituer et renouveler, à la lumière des travaux les plus récents, l'histoire totale d'une insularité laquelle a été, le plus souvent, pour les Corses, bien plus un handicap qu'une source de profits. Il nous apporte, dans cette entreprise, une double expérience. Celle de l'universitaire, tout d'abord, dont la connaissance approfondie de la langue, de la littérature et de la civilisation italiennes qu'il enseigne à l'Université de Provence ne peuvent qu'enrichir une histoire de la Corse si longuement reliée à celle de l'Italie ; l'expérience, également, d'un Corse qui poursuit ses recherches sur le passé de son pays avec toute la « sympathie » lucide, au sens de ce terme que l'a défini Henri Marrou, c'est-à-dire en évitant l'hyperbolisme agaçant ou le dénigrement systématique. Ainsi, les chapitres consacrés à Sampiero Corso, à Pascal Paoli, à Napoléon Bonaparte sont absolument dépourvus de toute tendance au culte de la personnalité. De la même manière, les mobiles de la politique française à l'égard de la Corse à l'époque d'Henri II sont expliqués sans déformation, a posteriori, du sens de ces événements. Beaucoup de lieux communs sur la Corse et sur les Corses, sont, par ailleurs, résolument démystifiés. (...) Nous disposons d'un ouvrage qui, à partir d'une documentation considérable et fort bien utilisée, constitue, avec beaucoup de sens historique, de nuance et de précision à la fois, la meilleure synthèse actuellement réalisée sur l'histoire de la Corse et sur ses problèmes présents." (Antoine Olivesi, Annales du Midi)