Grasset 1973 131 pages in-12. 1973. broché. 131 pages.
Reference : 18889
Etat correct malgré la couverture salie. Intérieur propre
Bouquiniste
M. Thibault Hairion
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Reference : alb734f98826dbe647e
Flerov Vsevolod. A new Russian alphabet for learning to read and write without merging sounds. With the addition of a cut alphabet. In Russian (ask us if in doubt)/Flerov Vsevolod. Novyy russkiy bukvar dlya obucheniya chteniyu i pismu bez sliyaniyaFlerov Vsevolod. A new Russian alphabet for learning to read and write without merging sounds. With the addition of a cut alphabet. In Russian (ask us if in doubt)/Flerov Vsevolod. Novyy russkiy bukvar dlya obucheniya chteniyu i pismu bez sliyaniya zvukov. S prilozheniem razreznoy azbuki.Moscow Petrograd. State Publishing House. 1923. 64 p. Format 24 5x17 sm. We have thousands of titles and often several copies of each title may be available. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKUalb734f98826dbe647e
Helsingfors [Helsinki], Imprimerie de la Société de littérature finnoise, 1894-1896, in-8, 54-[4]-224-[4] pp, cat. éditeur in fine, Demi-basane aubergine de l'époque, plats de percaline avec plaque à froid en encadrement, tranches marbrées, Éditions originales de ces impressions finnoises francophones. L'auteur, le linguiste danois Vilhelm Ludvig Peter Thomsen (1842-1927), y révèle le déchiffrement des inscriptions gravées sur les stèles de la vallée du fleuve Orkhon, en Mongolie centrale : cette épigraphie est la plus ancienne écriture connue et employée pour noter le turc. Le présent exemplaire réunit la rarissime première « livraison » de 1894 (partie I. Alphabet) - imprimée en très petit nombre - et l'édition finale de 1896, tirée à part des Mémoires de la Société Finno-Ougrienne (Suomalais-Ugrilaisen Seuran Toimitsukia, tome V), qui contient l'intégralité du texte, avec la préface de l'auteur, la première partie (Alphabet) de nouveau, la seconde partie (I. Transcription et traduction des textes), ainsi que des additions et rectifications, un index et un appendice. ("L'inscription chinoise du monument I. Nouvelle traduction anglaise par M. E.-H. Parker). Entre les deux publications se trouve un encart de l'éditeur, justifiant le retard d'impression de la seconde partie : "L'impression de la deuxième section de ce travail subissant malheureusement (...) un retard plus considérable que l'auteur ne l'avait pensé, on a décidé de distribuer, à titre de première livraison, un nombre restreint d'exemplaires de la première section". Cette note, ainsi que l'introduction de 1896 (pp. 3-4), révèlent la course au déchiffrement et à la publication des inscriptions de l'Orkhon, qui a opposé deux équipes de savants dans les années 1890 ; l'une russe, avec le linguiste et turcologue Wilhem Radloff ou Wassili Radlov (1837-1918), l'autre finlandaise, représentée par Thomsen (voir Bazin) : Les expéditions scientifiques de l'Orkhon ont débuté en 1887-1888 ; une équipe envoyée par la Société Finlandaise d'Archéologie, sous la direction d'Aspelin, publie trente-deux relevés d'inscriptions en 1889. Au même moment, une expédition russe, menée par Nicolas Iadrintsev, est envoyée par la Société Géographique d'Irkoutsk et fait la découverte d'inscriptions gravées dans le cours supérieur de l'Ienisseï. Quelques centaines d'inscriptions datant du VIIe au Xe siècle sont ainsi découvertes. Le récolement des finlandais donne lieu à la publication d'une partie des inscriptions en 1892, tandis que, la même année Radloff publie un atlas de l'expédition russe en allemand (Atlas der Alterthümer der Mongolei. St. Petersburg: Buchdruckerei der Akademie der Wissenschaften, 1892). Le 15 décembre 1893, Thomsen présente enfin, devant l'Académie Royale des Sciences et des Lettres de Danemark, une Notice préliminaire, dans laquelle il révèle trente-huit caractères qu'il a identifiés phonétiquement de façon presque parfaite (Déchiffrement des inscriptions de l'Orkhon et de l'Iénisséi : notice préliminaire. Bull. Acad. Roy. Danemark, 1893. Copenhague Dreyer, 1894). Il ne lui manque plus qu'à publier rapidement l'édition définitive du déchiffrement de toutes les inscriptions. La première section de son travail, Alphabet, parait donc en 1894 ; or, dans l'intervalle, Radloff commence lui aussi à publier ses propres transcriptions et traductions en allemand (Die alttürkischen Inschriften der Mongolei. St Petersburg, Die alttürkischen Inschriften der Mongolei. Die Denkmäler von Koscho-Zaidam. St Petersburg, Eggers, 1894). Ainsi, Thomsen se désole-t-il : « l'éminent turcologue M. Radloff, a déjà pris les devants sur moi (...) en se servant de la clef trouvée et communiquée par moi » (Préface, p. 4). Néanmoins, Thomsen admet l'intelligence de son confrère et met à profit ses travaux pour parachever sa propre publication. Provenance : Exemplaire de travail du Couverture rigide
Bon 54-[4]-224-[4] pp., cat.
P., Bibliothèque Nationale et Claude Tchou and sons, 1991, gr. in-4, en ff., emboîtage toilé. (GDA)
Réplique interprétée par Cécile REIMS de L'Alphabet de Maître E.S. sur les planches conservées à la Réserve du Cabinet des estampes de la Bibliothèque Nationale et au Staatliche Graphische Sammlung de Munich. "Le hasard [...] m'a mise un jour, de la façon la plus inattendue, en présence de L'Alphabet de Maître E.S. et j'ai, d'emblée, éprouvé le besoin, ressenti l'injonction intérieure, d'en transmettre les lettres en leur agencement fantastique, comme autant de signes qui me sont, néanmoins, demeurés secrets. Je les ai "interprétées", comme le musicien du XXe siècle interprète une partition du passé, comme un commentateur renouvelle, maintient vivant et propage par une expression contemporaine, un texte essentiel qui a traversé les siècles [...] Les lettres ne furent pas gravées dans l'ordre qu'implique un Alphabet, mais selon mon attirance particulière [...] A chaque lettre, il me fallait graver "l'Esprit de la Lettre". Ainsi à travers cet Alphabet [...] s'exerça à mon insu, une initiation sans que de celle-ci résulte un savoir, et moins encore une connaissance. Mais à m'efforcer de faire passer d'un support très ancien : le papier, à la plaque de cuivre qui les restituera à un papier actuel, les figures d'une lettre d'antan, quelque chose d'indéfinissable se passe. Le temps n'est pas aboli, il est condensé. Autrefois et Maintenant se rapprochent, le graveur devenant le lieu et le moyen qui permet le frôlement, l'Union" (Préface). Bien complet de la préface, du commentaire et des 24 lettres gravées. Maquette de MASSIN. Il y a 23 lettres et un ornement. Les lettres J et W ne sont pas représentées. Les lettres U et V forment une seule gravure.Tirage : 24 ex. sur japon et 250 vélin d'Arches, tous signés par l'artiste. Celui-ci un des 250. On sait aujourd'hui que Cécile Reims fut le graveur attitré de Bellmer.
Imagerie d'Épinal, Pellerin & Cie [vers 1905] petit in-folio oblong cartonnage de l'éditeur largement illustré en couleurs, dos toile bleu
28 pp., non numérotées.Farkas L'Art des abécédaires français p. 314 (avec dos rouge).Bel album alphabet orné de 12 grandes planches en couleurs, signées Gostiaux-Phosty pour la plupart, représentant le plus souvent les animaux sauvages avec leur femelle et leurs petits. Le premier et le dernier feuillet, imprimés en noir et également illustrés d'animaux, sont consacrés à l'apprentissage de la lecture avec les lettres de l'alphabet dans divers types de caractères et des exercices syllabiques.Gabriel Gostiaux, dit Phosty (1838-vers 1920), dessinateur humoristique et lithographe, collabora à plusieurs journaux de 1865 à 1882 et travailla régulièrement pour Pellerin entre 1902 et 1905.Exemplaire très frais
P., Chiron, 1949, plaquette in 8° brochée, 24 pages.
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