Henri Laurens 123 pages In-8. Sans date. Demi-Cuir orné de motifs dorés au dos. 123 pages. Biographie critique illustrée de douze reproductions hors-texte
Reference : 13804
Bon état. Reliure en bon état général malgré le dos insolé. Intérieur propre
Bouquiniste
M. Thibault Hairion
06 68 85 71 82
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Editions Gallimard 1975 1975. Correspondance: Richard Wagner-Franz Liszt/ Gallimard 1975 E-D
Très bon état
PIERRE LAFFITE ET CIE. Août 1909. In-Folio. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 114 à 127 pages de partitions. Nombreuses photographies en noir et blanc dans le format texte et hors texte. Photographie de Franz Liszt à l'âge de 25 ans en noir et blanc sur le premier plat. Quelques marques de crayon de couleur.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
Chronique du mois + L'oeuvre de Franz Liszt + La vie romantique de Liszt + L'influence de Franz Liszt sur la musique comtemporaine + Les concours publics du Conservatoire en 1909 + La musique universelle à l'exposition de Nancy + Le grand prix de Rome 1909 + Un théâtre lyrique d'enfants prodiges + Svendsen et la musique Danoise + Les concours publics du Conservatoire Femina-Musica + Le virtuose violoniste Lucien Capet. Classification Dewey : 780.26-Partitions
Paris, Fayard, "Bibliothèque des grands musiciens", 1998, 14 x 22, 686 pages sous percaline éditeur et jaquette illustrée. Traduit de l'anglais par Odile Demange. "Les dernières années de la vie de Liszt (1861-1886) évoquées dans ce deuxième volume, comptent parmi les moins connues du musicien, et c'est le grand mérite de cet ouvrage d'en révéler, grâce à la publication de documents inédits, toute la richesse spirituelle et musicale. Cette période s'ouvre sur le départ de Liszt de Weimar pour Rome en vue d'épouser la princesse Carolyne von Sayn-Wittgenstein. Bien que plus aucun obstacle ne s'oppose à leur union, ils vont décider d'un commun accord de renoncer à se marier. Liszt reçoit les ordres mineurs et devient "l'abbé Liszt" ; il vit alors au monastère de la Madonna del Rosario, fréquente les allées du Vatican et se lie d'amitié avec le pape Pie IX. C'est l'époque où il compose toute une série d'oeuvres sacrées (Christus, La Légende de Sainte Elisabeth, des messes, un requiem...), vastes compositions où la grandeur de la conception le dispute à la profondeur de l'inspiration, et à travers lesquelles il cherche à exprimer sa foi profonde et son émotion religieuse. Ces années vont être marquées par la douleur ressentie devant la mort brutale de sa fille Blandine, mariée à Emile Ollivier, et le divorce de sa cadette, Cosima, qui abandonne son mari, Hans von Bülow, pour Wagner. Liszt se voit alors contraint de rompre avec son ami tout en ne pouvant s'empêcher de lui conserver son admiration pour son oeuvre en cours (Tristan et Parsifal). Renouant avec sa Hongrie natale et l'Allemagne, Liszt va dorénavant se partager entre Rome, Budapest et Weimar où il retourne chaque année, se vouant sans compter à une intense activité pédagogique. Fêté, honoré un peu partout, il n'en est pas moins contesté de plus en plus par une partie du milieu musical, peu sensible à ses nouvelles orientations musicales ou désarmé par elles. La phase finale de son existence voit sa réconciliation avec Wagner et Cosima, son séjour avec le couple à Venise suivi de la mort de Wagner avant que, septuagénaire, il entreprenne une ultime tournée de concerts à travers toute l'Europe. C'est à Bayreuth, au cours du festival, qu'il meurt, en solitaire, dans une relative indifférence. Professeur de musique à l'université de McMaster d'Hamilton au Canada. Grand connaisseur de l'époque romantique, Alan Walker est l'auteur d'ouvrages sur Chopin et Schumann, en dehors des très nombreuses publications sur Liszt dont il est un des plus éminents spécialistes."
Couverture légèrement insolée.
Leipzig, Breitkopf & Härtel, éditeurs & Paris, Librairie Fischbacher. 1909. Grand in-8° broché. Deux portraits en frontispice. 217 pages. E.O.
Bon état.
Gallimard, 1975, in-8°, 520 pp, traduit par L. Schmidt et J. Lacant, avant-propos de G. Samazeuilh, reliure simili-cuir rouge de l'éditeur, jaquette, bon état (Coll. Les Classiques allemands). Edition définitive
"Le génie n'aime pas le génie contemporain, c'est un fait", affirmait Péguy. Sans doute n'est-il pas de démenti plus éclatant à cette formule que l'amitié de Liszt et Wagner : une amitié de près de quarante ans, orageuse parfois, entrecoupée de refroidissements, et même frôlant la rupture, telle que permet de la retracer leur correspondance, unique entre deux compositeurs. Couvrant principalement les années 1850, cette correspondance permet de suivre la genèse des travaux théoriques de Wagner et de plusieurs de ses chefs-d'œuvre : L'Anneau du Nibelung, Tristan et Isolde, tandis que Liszt a renoncé aux lauriers du virtuose pour devenir Kapellmeister à Weimar et se métamorphoser en un compositeur fécond et inventif. Comme tous deux étaient en relation avec nombre d'autres musiciens : Berlioz, Schumann, Bülow, Joachim, notamment et qu'ils furent de grands voyageurs, leurs lettres constituent une source d'informations précieuses sur la vie musicale de leur temps en Allemagne et dans la plupart des pays d'Europe où ils se sont produits à la fois en tant que créateurs et interprètes. Ce livre comblera donc les wagnériens, les lisztiens, mais aussi tous les mélomanes désireux de mieux connaître une des époques les plus florissantes de l'histoire de la musique occidentale.