Paris, Guillaumin et cie. 1877 323pp., 3e édition revue et précédée d'un avant-propos du traducteur, dans la série "Bibliothèque des sciences morales et politiques", reliure cart. (charnière peu restaurée), 19cm., peu de rousseurs, quelques cachets ex-libris de E. de Radetzky, F80620
Reference : F80620
Antiquariaat Pieter Judo (De Lezenaar)
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, Brepols, 2023 Paperback, 445 pages, Size:156 x 234 mm, Illustrations:1 col., 1 maps color, Language: French. ISBN 9782503597263.
Summary La parrhésia antique idéalisée, cette parole franche qu'autorise et exige la démocratie, devrait disparaître avec l'installation des pouvoirs souverains du Moyen Âge. De fait, la répression légale des paroles sacrilèges signale la naissance de la théocratie pontificale et de l'État moderne au tournant des XIIIe et XIVe siècles. L'absolutisme va de pair avec une réduction de la liberté de parole à un simulacre politique. Entre le VIIIe et le XIIIe siècle cependant, en Occident latin, en Islam et dans l'empire byzantin, des pouvoirs souverains qui disent tenir de Dieu leur autorité voient leurs élites religieuses continuer à revendiquer et à pratiquer une forme de liberté de parole. Ces élites exercent une critique justifiée par leur maîtrise de la tradition écrite et par leur expérience du gouvernement. Elles envisagent la liberté de parole comme un devoir religieux vis-à-vis du prince, en appellent à sa conscience et l'exhortent à être à la hauteur du pouvoir reçu de Dieu. Leurs paroles critiques prennent aussi un public à témoin, dans le cadre d'un rituel politique qui n'est jamais parfaitement contrôlé ni instrumentalisé. Elles contribuent ainsi à associer une large communauté, fondée religieusement, à l'exercice du pouvoir.En comparant la liberté de parole assumée par ces élites médiévales, c'est donc le fonctionnement des empires du Moyen Âge central qu'on analyse - des empires dont l'assise théocratique reste compatible avec la critique et implique la participation sous contrôle d'une partie des populations. Au début de la période, celui qui critique le prince lui donne un gage de fidélité ; il déclare que le pouvoir exercé peut être amélioré. À la fin de la période, le critique fait d'abord valoir son amitié pour le souverain - indice de la réduction de l'assise collective de ces régimes. TABLE OF CONTENTS Avant-propos Introduction Michel Senellart, Le concept chrétien de parrhèsia, de Peterson à Foucault Marie-Céline Isaïa, Point de départ : la liberté de parole, IVe-IXe siècle Porte-paroles Makram Abbès, De la parrhèsia à l'art du conseil. La liberté de parole dans Kalila et Dimna Vincent Déroche, La liberté de parole de Théodore Stoudite (759-826)? Louise Marlow, Les miroirs aux princes et la critique de l'autorité royale dans l'Orient samanide. Concepts et contraintes Maïté Billoré, La parole critique à la cour Plantagenêt. Formes et enjeux d'une pratique politique à travers les lettres de Pierre de Blois? Gisèle Besson, Un regard sur le gouvernement de l'Église dans la Chronique de Salimbene de Adam. Le discours critique d'un franciscain (XIIIe s.)? Communication Mohamed Ben Mansour, Essai sur la parrhèsia poétique à l'époque abbasside? Giacomo Vignodelli, Satire et critique allusive dans l'Europe post-carolingienne? João Vicente de Medeiros Publio Dias, Critique et représentation de soi. Les discours de Jean l'Oxite à Alexis Ier Comnène (1081-1118) en contexte? Leidulf Melve, La liberté d'expression durant la Querelle des Investitures? Vanessa Van Renterghem, L'admonestation (wa??) au souverain selon Ibn al-?awz? (m. 1201). Instrument de critique du pouvoir ou simple topos ?? Politiques Warren Pezé, Vestra fidelis devotio ammonere curabit. La critique du pouvoir au début du règne de Charles le Chauve? Rosa Benoît-Meggenis, La critique politique des moines dans l'empire byzantin (IXe-XIIIe siècle). La liberté de parole au service de l'autorité impériale? Neguin Yavari, Progressive et illibérale: la critique ash'arite de la situation politique du XIe siècle? Benjamin Bourgeois, Quand l'abbé de Skévra nie la royauté du roi d'Arménie. Orientations religieuses et contestation politique dans l'Orient chrétien à la fin du XIIIe siècle? Olivier Brisville-Fertin, La critique de l'alfaqui au roi ou la prépondérance du sabio selon un exemplum en aljamiado? Liberté de parole. Éléments de conclusion, Benoît Grévin et Annick Peters-Custot Index des noms de personnes
[entre 1875 et 1876]. 685 x 478 mm.
Exceptionnelle estampe, de toute rareté, figurant La Liberté éclairant le Monde, plus connue sous le nom de Statue de la Liberté, à l'entrée du port de New York. Elle a été lithographiée en deux tons et imprimée par Jules Chéret à Paris, sur les pierres de la Compagnie Générale des Carrières de Pierres Lithographiques, située à Paris. En bas à droite de l'estampe figure la mention Bartholdi scup.t, pour Bartholdi, sculpteur du monument. Cette estampe, lithographiée et imprimée entre 1875 et 1876, est l'une des toutes premières vues projetées de la Statue de la Liberté, quelques années avant qu'elle ne soit construite, érigée et inaugurée en 1886 sur Bedloe's Island (renommée Liberty Island en 1956), face à Long Island, là où débuta la Guerre d'Indépendance le 27 août 1776. Autour du piédestal de la statue, construit par les Américains sur les fondations du Fort Wood, ancien fort reconnaissable à son plan en étoile à 11 branches, construit entre 1806 et 1811, on aperçoit quelques promeneurs et des pêcheurs. Cette vue plongeante nous offre au second plan un large panorama de la ville, avec Manhattan, le fleuve Hudson, l'East River et le quartier de Brooklyn. Le pont de Brooklyn n'est pas visible puisqu'il sera inauguré en 1883. Le port de New York est animé de voiliers et de bateaux à vapeur. Sur la droite, on aperçoit également la pointe de l'île de Governors Island, avec la fortification de Castle Williams. Né le 2 août 1834 dans une famille de notables de Colmar (Haut-Rhin), Frédéric Auguste Bartholdi présenta très tôt des aptitudes certaines pour les arts. Après avoir essayé la peinture et la photographie, c'est vers la sculpture qu'il se tourne, essentiellement monumentale. Après un voyage initiatique en Orient, il travaille sur sa première commande, une statue du Général Rapp, haut personnage de l'Alsace ; inaugurée en 1856 à Colmar, elle contribuera grandement à le faire connaître. Patriote et républicain, Bartholdi est profondément révolté par l'annexion de l'Alsace et de la Lorraine par la Prusse en 1870, suite à la défaite de Sedan. Pour rendre hommage aux belfortains qui ont bravement affronté un terrible siège au cours du conflit, il sculpte le monumental Lion de Belfort en 1879, dont une réplique trône aujourd'hui place Denfert-Rochereau à Paris (Bartholdi, les Bâtisseurs de la Liberté. Exposition de photographies (1876-1886). Musée des Arts et Métiers, 2004-2005). En 1871, Édouard Lefebvre de Laboulaye, président du Comité de l'Union Franco-Américaine, souhaite sceller l'amitié entre la France et les États-Unis, et demande à Bartholdi de réaliser un monument commémoratif de l'Indépendance des États-Unis (1776-1876) qui sera offert par la France aux États-Unis. La construction de la statue débute en 1875 dans les ateliers Monduit et Bechet, situés à Paris. Le sculpteur élabore un premier modèle de son œuvre, d'une taille de 2,11 mètres, à partir duquel les ouvriers opèrent un découpage méthodique des différentes parties de la statue. L'architecte Eugène Viollet-Le-Duc, puis l'ingénieur Gustave Eiffel, participeront au projet. L'installation de la structure métallique et l'assemblage de l'enveloppe de la statue ont lieu en 1886 à New York. À leur arrivée le 25 octobre 1886, les membres de la délégation française entourant Auguste Bartholdi, découvrent, du pont du paquebot Bretagne, une œuvre monumentale de 93 mètres. La statue sera inaugurée le 28 octobre. La Liberté éclairant le monde connut d'emblée un immense succès. Elle restera l'oeuvre majeure du sculpteur Bartholdi, à laquelle il aura consacré quinze années de sa vie. Jules Chéret (1836-1932) est l'affichiste majeur de la Belle Époque. En 1866, il ouvre à Paris une imprimerie qui est la première à proposer des affiches illustrées lithographiées en couleurs. Il répond à la forte demande publicitaire liée à l'apparition de nouveaux produits, à l'évolution des modes de vente et au développement intense de l'industrie du spectacle. Il a ainsi joué un rôle décisif dans l'avènement de la publicité commerciale et culturelle. Inventeur de l’affiche en couleurs et de l'affiche illustrée publicitaire en France, surnommé par ses contemporains « le roi de l’affiche», sa production d’affiches pour les spectacles et la publicité entre le Second Empire et 1900 est considérable. Il a réalisé plus de 1 400 affiches qui ont accompagné l'entrée de la France dans la vie moderne. Parallèlement à sa carrière d'affichiste, il consacra la seconde partie de sa vie à la peinture décorative, et réalisa des œuvres pour ses mécènes mais aussi pour l'Hôtel de Ville de Paris, le musée Grévin, ou encore la préfecture de Nice (Bargiel & Le Men, La Belle Époque de Jules Chéret. De l’affiche au décor. Les Arts Décoratifs, Paris, 2010). Cette estampe, d'une extrême rareté, est absente des collections publiques, françaises comme américaines. Elle manque également à toutes les bibliographies consacrées à Jules Chéret : Maindron, Les Affiches Illustrées (1886-1895), Paris, 1896 ; Beraldi, Les graveurs du XIXe siècle. Guide de l'amateur d'estampes modernes, 1886, Tome IV ; Broido, The Posters of Jules Chéret, Toronto, 1980 ; et enfin la plus récente, Bargiel & Le Men, La Belle Époque de Jules Chéret. De l’affiche au décor. Les Arts Décoratifs, Paris, 2010. Cette dernière bibliographie est la plus complète de toutes. Elle recense les 1430 affiches de Jules Chéret, avec une illustration pour chaque affiche. Elle mentionne une planche intitulée La Liberté éclairant le Monde. Centième anniversaire de l'Indépendance des États-Unis. Union Franco-Américaine. 1776-1876, mais celle-ci est plus petite que notre affiche (59 x 46 cm). C'est l'une des rares à ne pas être illustrée, car l'auteur de la bibliographie n'a pas été en mesure de la localiser. Notre vue est l'une des toutes premières vues projetées de la Statue de la Liberté. On retrouve cette illustration sur l'affiche publicitaire de Jules Chéret annonçant le diorama représentant le monument commémoratif de l'Indépendance des États-Unis d'Amérique, présenté au Palais de l'Industrie sur les Champs-Élysées. Ce diorama avait été réalisé dans le cadre d'une campagne de promotion lancée, dès 1875, par le Comité de l'Union Franco-Américaine, afin de lever des fonds. Le diorama fut présenté une première fois en août 1877 au Palais de l'Industrie (journal quotidien Le Rappel du 28 août 1877), puis une seconde fois aux Tuileries en 1878 (journal quotidien Le Rappel du 3 avril 1878). Un exemplaire de cette affiche publicitaire se trouve au Musée Bartholdi à Colmar ; le musée lui attribue la date de 1874 ; mais si l'on s'en tient à l'article du quotidien Le Rappel, cette date est erronée. Un autre exemplaire de cette affiche annonçant le diorama se trouve à la Bibliothèque Nationale de France, qui la date de 1876, mais la date est ici également erronée. On peut donc penser que notre affiche a été réalisée avant celle annonçant le diorama, plus précisément entre 1875, date de lancement de la campagne pour la levée des fonds, et 1876, date du centenaire. Exemplaire en très bonne condition. Deux petites restaurations anciennes dans les marges gauche et droite, très légères cassures dans la partie haute de l'estampe, petites taches claires au bas du titre anglais. BARTHOLDI (Frédéric Auguste). La Liberté éclairant le Monde. Centième anniversaire de l'Indépendance des États-Unis. Union Franco-Américaine. 1776-1876. - Liberty enlightning the World. Centennial anniversary of United States Independance. French-American Union. 1776-1876. Bartholdi scup.t. Imprimé par JULES CHÉRET, 18, rue Brunel, PARIS, Sur les Pierres de la COMPAGNIE GÉNÉRALE DES CARRIÈRES DE PIERRES LITHOGRAPHIQUES, 3, rue Rossini, PARIS. [between 1875 and 1876]. 685 x 478 mm. 10 000 € Exceptional print, of an extreme rarity, depicting Liberty Enlightening the World, better known as the Statue of Liberty, at the entrance to the port of New York. It was lithographed in two tones and printed by Jules Chéret in Paris, on the stones of the Compagnie Générale des Carrières de Pierres Lithographiques, located in Paris. At the bottom right of the print appears the mention Bartholdi scup.t, for Bartholdi, sculptor of the monument. This print, lithographed and printed between 1875 and 1876, is one of the very first projected views of the Statue of Liberty, a few years before it was built, erected and inaugurated in 1886 on Bedloe's Island (renamed Liberty Island in 1956), facing Long Island, where the War of Independence began on August 27, 1776. Around the pedestal of the statue, built by the Americans on the foundations of Fort Wood, an old fort recognizable by its 11-pointed star plan, built between 1806 and 1811, we can see some walkers and fishermen. This bird's eye view offers us in the background a wide panorama of the city, with Manhattan, the Hudson River, the East River and the district of Brooklyn. The Brooklyn Bridge is not visible since it will be inaugurated in 1883. New York Harbor is bustling with sailboats and steamboats. On the right, we can also see the tip of Governors Island, with the fortification of Castle Williams. Born on August 2, 1834 in a family of notables from Colmar (Haut-Rhin), Frédéric Auguste Bartholdi showed very early some aptitudes for the arts. After trying painting and photography, he turned towards sculpture, essentially monumental. After an initiatory trip to the East, he worked on his first order, a statue of General Rapp, a high figure in Alsace; inaugurated in 1856 in Colmar, it will greatly contribute to making him known. A patriot and republican, Bartholdi was deeply revolted by the annexation of Alsace and Lorraine by Prussia in 1870, following the defeat of Sedan. To pay tribute to the people of Belfort who bravely faced a terrible siege during the conflict, he sculpted the monumental Lion of Belfort in 1879, a smaller replica of which now stands on Place Denfert-Rochereau in Paris (Bartholdi, les bâtisseurs de la Liberté. Exposition de photographies (1876-1886). Musée des Arts et Métiers, 2004-2005). In 1871, Édouard Lefebvre de Laboulaye, president of the Committee of the Franco-American Union, willing to seal the friendship between France and the United States, asked Bartholdi to work on a monument commemorating the Independence of the United States ( 1776-1876) which will be offered by France to the United States. Construction of the statue began in 1875 in the Monduit and Bechet workshops, located in Paris. The sculptor developed a first model of his work, measuring 2.11 meters, from which the workers carried out a methodical cutting of the different parts of the statue. The architect Eugène Viollet-Le-Duc, then the engineer Gustave Eiffel, will take part in the project. The installation of the metal structure and the assembly of the shell of the statue took place in 1886 in New York. Upon their arrival on October 25, 1886, the members of the French delegation surrounding Auguste Bartholdi, discovered, from the deck of the liner Bretagne, a monumental work of 93 meters. The statue will be unveiled on October 28. Liberty Enlightening the World was immediately a huge success. It will remain the major work of the sculptor Bartholdi, to which he devoted fifteen years of his life. Jules Chéret (1836-1932) was the major poster artist of the Belle Époque. In 1866, he opened a printing press in Paris which was the first to offer lithographed illustrated posters in color. He met the strong advertising demand linked to the appearance of new products, the evolution of sales methods and the intense development of the entertainment industry. He thus played a decisive role in the advent of commercial and cultural advertising. Inventor of the color poster and the illustrated advertising poster in France, nicknamed by his contemporaries "the king of the poster", his production of posters for shows and advertising between the Second Empire and 1900 was considerable. He produced more than 1,400 posters which accompanied France's entry into modern life. At the same time as his career as a poster artist, he devoted the second part of his life to decorative painting, and produced works for his patrons but also for the Hôtel de Ville in Paris, the Musée Grévin, or the prefecture of Nice (Bargiel & Le Men, La Belle Époque de Jules Cheìret. De l’affiche au deìcor. Les Arts Décoratifs, Paris, 2010). This extremely rare print is absent from public collections, both French and American. It is also missing from all the bibliographies devoted to Jules Chéret: Maindron, Les Affiches Illustrées (1886-1895), Paris, 1896 ; Beraldi, Les graveurs du XIXe siècle. Guide de l'amateur d'estampes modernes, 1886, Tome IV ; Broido, The Posters of Jules Chéret, Toronto, 1980 ; and the most recent, Bargiel & Le Men, La Belle Époque de Jules Chéret. De l’affiche au décor. Les Arts Décoratifs, Paris, 2010. This last bibliography is the most complete of all. It lists the 1,430 posters of Jules Chéret, with an illustration for each poster. It mentions a print entitled La Liberté éclairant le Monde. Centième anniversaire de l'Indépendance des États-Unis. Union Franco-Américaine. 1776-1876, with no other mention. But this one is smaller than our print (59 x 46 cm). It is one of the few not to be illustrated, as the author of the bibliography was unable to locate it (pp. 224-225, n°631, "Affiche non localisée"). This is one of the very first projected views of the Statue of Liberty. This illustration can be found on Jules Chéret's advertising poster announcing the diorama representing the monument commemorating the Independence of the United States of America, presented at the Palais de l'Industrie on the Champs-Élysées. This diorama had been made as part of a promotional campaign launched in 1875 by the Committee of the Franco-American Union, in order to raise funds. The diorama was presented for the first time in August 1877 at the Palais de l'Industrie (article in the daily newspaper Le Rappel of August 28, 1877), then a second time at the Tuileries in 1878 (article in the daily newspaper Le Rappel of April 3, 1878). The Bartholdi Museum in Colmar owns a copy of this advertising poster, and dates it from 1874, but from the article in the newspaper Le Rappel, this date is erroneous. The National Library of France also owns a copy of this poster announcing the diorama, and dates it from 1876, but again the date is erroneous. We can therefore assume that our poster was produced before the poster announcing the exhibition of the diorama, and more precisely between 1875, date of the launching of the campaign, and 1876, date of the centennial anniversary. Copy in very good condition. Two small old restorations in the left and right margins, very slight cracks in the upper part of the print, small light stains at the English title.
État : Très bon état - Année : 1985 - Format : in 8° - Pages : 254pp - Editeur : Albin Michel - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché-cousu - Divers : Qqes pales et rares pointes de rousseurs sur les tranches. Intérieur bien propre. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/yvan-blot/7940-les-racines-de-la-liberte?lrb
Dix chapitres: Langage et politique; Le déclin du socialisme en Occident; Les nouvelles aspirations: libertés et enracinement; Une certaine idée de l'homme; Construtivisme et évolutionnisme; L'état: pour une nouvelle séparation des pouvoirs; Le modèle suisse; Les valeurs de la tradition républicaine; Le recours: la démocratie authentique; Les stratégies de l'avenir. Cet ouvrage, écrit par Yvan blot avant son adhésion au Front National, définit une nouvelle approche de la Politique en dix chapitres ciblés. Les remarques et propositions formulées, même si certaines sont discutables, demeurent d'actualité encore aujourd'hui.
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État : Assez bon état - Année : 1976 - Format : in 8° - Pages : 318pp - Editeur : Plon - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché - Divers : Dos plié et insolé. Un nom sur la première garde. Deux ou trois petites tâches très pâles dans le texte. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/brigitte-friang/5495-du-colonialisme-au-stalinisme?lrb
Brigitte friang, plutôt favorable à la décolonisation, à couvert comme correspondante de guerre la guerre d'Indochine des Français puis celle des Américains. Le 30 avril 1975 elle est présente quand les premiers chars nord-vietnamiens entrent dans Saïgon ˮlibéréˮ. Le régimme communiste, reniant ses engagements, va établir sur l'ensemble du Vietnam une dictature féroce. Les sept dernières semaines du Vietnam libre vues par une journaliste indépendante, courageuse et parfaitement honnête faute d'être toujours objective. Suivi du ˮJournal d'un libéréˮ: récit des derniers jours de liberté d'un vietnamien désenchanté. Un des meilleurs ouvrages sur la fin du sud-vietnam et les ˮlendemains qui chantentˮ.
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État : Bon état - Année : 1976 - Format : in 8° - Pages : 212pp - Editeur : Albatros - S.P.L. - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché - Divers : Petits plis de lecture au dos. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/jean-kiffer/3961-la-derniere-chance-de-la-liberte?lrb
Pour achapper au totalitarisme qui menace (en 1976) la France et l'Europe, le député indépendant Jean Kiffer propose, contre les dangers du ˮprogramme communˮ, un courageux programme pour la France, un audacieux programme pour l'Europe. Ecrit en 1976, le constat est toujours d'actualité et les propositions, encore inédites, méritent d'être étudiées et discutées. En apparence, on est loin du ˮprogramme communˮ mais, dans la réalité, les mesures avancées par ce programme sont devenues une réalité. Il est urgent de trouver des solutions aux problèmes qui se posent aujourd'hui et qui demeurent les mêmes qu'en 1976, plus accentués encore. ce livre nous donne quelques pistes à exploiter.
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