Oxford, Oxford University Press 1998 viii + 326pp., 21cm., in the series "Oxford readings in philosophy", softcover, VG
Reference : F66669
Antiquariaat Pieter Judo (De Lezenaar)
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, Brepols, 2023 Hardback, 484 pages, Size:156 x 234 mm, Illustrations:15 b/w, Language(s):English, Italian. ISBN 9782503594613.
Summary This volume provides a more exhaustive interpretation of Ren Descartes' medical views and its reception in the seventeenth century. Filling the gap in the recent scholarship, the contributions in the volume follow four axes: exegetical, textual, philosophical, and contextual. Authors in this book deal with Descartes' physiology, anatomy, and therapy by reconstructing Cartesian texts, detailing possible medical and philosophical sources, discussing medical collaborations and oppositions, and exploring obscurities and failures in Descartes' medicine. In laying bare the more promising issues of Cartesian programme and discussing the reception and opposition in the seventeenth century, the volume also uncovers the limitations within his interpretation, ultimately revealing a more nuanced application of his methodology to a field of natural philosophy. While medical studies play a not secondary role in Descartes' entire work, the volume aims to discuss in detail the importance of medicine as a suitable field to understand Cartesian philosophy from a significant perspective in seventeenth-century Europe. TABLE OF CONTENTS Fabrizio Baldassarri, Introduction: Lights & Shadows in Descartes's Medicine Part 1. Descartes's Medical Philosophy: Sources and Texts, Dissections and Reflections Gideon Manning, Descartes's Cartesian Medicine: Past, Present, and Future Simone Guidi, Epigenesis and Generative Power in Descartes's Late Scholastic Sources Jil Muller, Ambroise Par and Ren Descartes on Sensation in Amputated Limbs Annie Bitbol-Hesp ri s, Anatomical Debates on Hearts and Brains and Philosophical Issues from Descartes's Writing of L'Homme to its Posthumous Publications Tawrin Baker, The Medical Context of Descartes's Dioptrique Fabrizio Baldassarri, A Medicine in the Shadows: The Bio-Medical Manuscripts and a Compendium Descartes Never Published Carmen Schmechel, Fermentation as 'Heat-Rarefaction' and Animal Spirits in Descartes's Medical Philosophy Lynda Gaudemard, What Descartes's Embryology Tells us about his Dualism Cl ment Raymond, From the Animal Instinct to the Mind's Acknowledgment of the (In)Commoda in Descartes Jan Forsman, Madness and Dream in Descartes's First Meditation Franco A. Meschini, Malattie e metafisica. La prova patologica (with an abstract in English) Part 2. Reception and Opposition: Cartesian Medicine and Cartesianism Erik-Jan Bos, Mercurius Cosmopolita alias Andreas of Habernfeld: The Hermetic Response to Descartes Benjamin Goldberg, The Rules of Anatomy: On the Empiricisms of Descartes and Harvey Andrea Strazzoni, The Lost Dictata of Henricus Regius Daniel Samuel, A British Response to The Passions of the Soul Mihnea Dobre, Jacques Rohault on Medicine Elena Rapetti, On Cartesian Embryology: A Debate on Monsters at the Bourdelot Academy Nabeel Hamid, The Cartesian Physiology of Johann Jakob Waldschmidt Stefano Gulizia, Cartesianism between Northern Europe, Germany, and the Medici Court: Charting a New Map Maria Conforti, "Se fusse meno cartesiano lo stimarei molto": Anti-Cartesian Motifs in Italian Medicine Aaron Spink, Embodied Difference and the Cartesian Soul: Pierre-Sylvain R gis and the Pineal Gland Problem Laurynas Adomaitis, Beyond Mechanical Life: Biological Processes in the Seventeenth Century
Librairie Philosophique J. Vrin et C.N.R.S. , Oeuvres de Descartes Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1982 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche, titre en rouge et noir fort et grand In-8 1 vol. - 751 pages
Frontispices des Essais et des Specimina Philosophiae et reproduction des très nombreuses figures du Discours nouvelle édition de 1982 Contents, Chapitres : Avertissement, xii, Texte, 739 pages avec la table - Discours de la méthode - La Dioptrique - Les Météores - La Géométrie - Tables - Avec les textes en latin : Indices - Dissertatio de Methodo - Dioptrice - Meteora - Note sur le problème de Pappus - Appendice - René Descartes est un mathématicien, physicien et philosophe français, né le 31 mars 1596 à La Haye-en-Touraine, aujourd'hui Descartes, baptisé le 3 avril 1596 dans l'église Saint-Georges de Descartes, et mort le 11 février 1650 à Stockholm. - Le Discours de la méthode (sous-titré Pour bien conduire sa raison, et chercher la vérité dans les sciences) est un texte philosophique publié anonymement par René Descartes à Leyde le 8 juin 1637. Dans les premières éditions, ce discours servait d'introduction à trois traités scientifiques mettant en application cette méthode : La Dioptrique, Les Météores et La Géométrie. Pour Descartes, il sagit « den dire assez pour faire juger que les nouvelles opinions, qui se verraient dans la Dioptrique et dans les Météores, nétaient point conçues à la légère. » Toutefois, sa célébrité est devenue telle, quil est désormais souvent publié seul, comme un essai indépendant. Ce discours marque une rupture avec la tradition scolastique, jugée trop « spéculative » par Descartes (sixième partie), et se présente plutôt comme un plaidoyer en faveur du progrès des techniques et pour une nouvelle fondation des sciences sur des bases plus solides. Il fut rédigé directement en français, langue vulgaire, Descartes voulant par là sopposer à la tradition scolastique (qui avait pour habitude décrire en latin) et sadresser à un public plus large que les savants et les théologiens. Il souhaitait « être compris des femmes et des enfants ». Dans ce discours, Descartes expose son parcours intellectuel de façon rétrospective, depuis son regard critique porté sur les enseignements qu'il avait reçus à l'école, jusqu'à sa fondation d'une philosophie nouvelle quelques années plus tard. Il y propose aussi une méthode (composée de quatre règles) pour éviter l'erreur, et y développe une philosophie du doute, visant à reconstruire le savoir sur des fondements certains, en s'inspirant de la certitude exemplaire des mathématiques la célèbre phrase « je pense donc je suis » (cogito, ergo sum), qui permet à Descartes de sortir du doute, lui servira à ce titre de premier principe. Par ailleurs, il y résume ses méditations sur l'âme et sur Dieu, dont il donne une version beaucoup plus étendue dans les Méditations métaphysiques, quatre ans plus tard. Le Discours de la méthode est aussi loccasion pour Descartes de présenter une morale provisoire, tenant en quelques maximes de conduite rendues nécessaires par la méthode elle-même3, et de développer des considérations sur les animaux (théorie des « animaux-machines ») et sur le rôle du cur dans la circulation du sang. Enfin, le traité présente des déclarations sur le rapport de lhomme à la nature, représentatives de la modernité, puisque Descartes y dit que les hommes doivent se « rendre comme maîtres et possesseurs de la nature » par le progrès des techniques, au premier plan desquelles il recommande daméliorer la médecine. (source : Wikipedia) "Bel exemplaire, couverture propre avec d'infimes traces de pliures aux coins des plats, quelques rousseurs discrètes, intérieur frais et propre, exemplaire en grande partie non coupé, de cette édition de référence du ""Discours"", d'après l'édition origjnale parue à Leyde en 1637, et la version latine d'Etienne de Courcelles parue à Amsterdam en 1644. Il ne s'agit pas d'un fac-similé sauf les frontispices, mais le vieux français a été gardé, ainsi que les gravures originales. (Tome 6 des Oeuvres complètes de Descartes seul) - Near fine copy of Descartes ""Discours de la Méthode"" in the complete works published by C. Adam and P. Tannery, with the Dioptrics, Meteores and Geometry, Minor fo;dings tracks on the corners of the wrappers, very light foxings, inside is fine, no markings, and unopened on a large part, with the Latin translation from Courcelles (Text in French and Latin, except for the commentaries), the most important scientific work from René Descartes"
[L. Péricat Imprimerie Ladevèze] - Collectif , CHEVALIER ; BOSSEBOEUF ; Louis de Grandmaison ; LABBE ; E. THOUVEREZ
Reference : 52773
(1893)
1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-basane bleue, Notice sur la famille Descartes, par M. l'abbé Lalanne, Extrait du Bulletin de la Société des Antiquaires de l'Ouest, 1857, pp. 233-266 [ Avec : ] Origines tourangelles de Descartes, par l'abbé C. Chevalier, Imprimerie Ladevèze, Tours, 1872, 31 pp. [ Avec : ] Notes sur la Famille Descartes, par A. Labbé, dédicacé par l'auteur, Imprimerie Bichon-Jacob, Chattelerault, 1893, 25 pp. [ Avec : ] Troisième Centenaire de Descartes, Société Archéologique de Touraine, L. Péricat, Tours, s.d., 110 pp. [ Avec : ] Nouvelles Recherches sur l'origine et le lieu de naissance de Descartes, par Louis de Grandmaison, Extrait de la Bibliothèque de l'Ecole des Chartes, Paris, 1899, pp. 1-34 ; 45-68 [ Avec : ] Les Ancêtres de René Descartes, par L. Bosseboeuf, Bulletin de la Société Archéologique de Touraine (circa 1900), pp. 247-264 [ Avec : ] La Famille Descartes d'après les documents publiés par les Sociétés savantes de Poitou, de Touraine et de Bretagne, par E. Thouverez, dédicacé par l'auteur, in Sonderabdruck aus dem Archiv für Geschichte der Philosophie, 1900, pp. 505-577 et 84-110
Rare recueil composite d'articles relatifs à la famille de Descartes (dont plusieurs articles dédicacés à M. Barbier, Trésorier de la Société des Antiquaires de l'Ouest). Avec quelques pages d'archéologie de l'ouest (non décrites ici)
Descartes (René) - 'Claude David, Marc Leclerc et Jean-Charles Juhel, eds.
Reference : 100565
(1984)
Editions de l'AREFPPI Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1984 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur grise, illustrée d'un portrait de Descartes avec une figure géométrique In-8 1 vol. - 175 pages
nombreuses figures dans le texte édition de 1984 "Contents, Chapitres : Claude David : Du doute à l'inconscient, Préface de Marc Leclerc et Jean-Charles Juhel, table, xxx, Texte, 146 pages - Livre premier : Des problèmes qu'on peut construire en n' employant que des cercles et des lignes droites - Livre second : De la nature des lignes courbes - Livre troisième : De la construction des problèmes solides ou plus que solides - La Géométrie est l'un des trois appendices publiés en 1637 par René Descartes avec le Discours de la méthode, où il présentait une science nouvelle permettant d'obtenir des idées claires sur n'importe quel sujet. La Géométrie et les deux autres traités, la Dioptrique (l'optique) et Les Météores (phénomènes naturels), donnent des exemples des succès obtenus en suivant la méthode. - La Geometrie, publiée en 1637, probablement en partie écrite en 1636 pendant l'impression de Les Météores, est une « uvre de circonstances, hâtivement rédigée ». Elle trouve ses racines dans l'esprit de Descartes (entre autres) lors de ses réflexions sur le problème de Pappus (1631). Avant Descartes, il était entendu que l'algèbre et la géométrie étaient des branches complètement séparées des mathématiques sans connexion entre elles. Son ouvrage est le premier à proposer l'idée d'unir l'algèbre et la géométrie dans une même discipline. Descartes decouvre ce que l'on nomme la géométrie analytique; lui n'y voit à cette époque qu'une « présentation algébrique de la géométrie des anciens ». Cela signifie qu'il réduit les problèmes de géométrie à des calculs de longueur et qu'il traduit les questions de géométrie en équations algébriques. Les travaux les plus récents sur La Géométrie, sa place dans l'uvre de Descartes et dans l'histoire des mathématiques, sont dus au mathématicien André Warusfel qui a réalisé la présentation et les notes de La Géométrie, dans le 3e tome des uvres complètes de Descartes (collection TEL, éd. Gallimard) publié en 2009. L'année suivante, il a soutenu à Paris IV une thèse sur luvre mathématiques de Descartes dans La Géométrie (juin 2010) - On attribue à Descartes l'invention des repères cartésiens : en effet, il associe à un point deux nombres, le nombre x mesurant la distance par rapport à une droite et le nombre y mesurant la distance qui s'appliquent par ordre à cette droite, d'où le nom ordonnée. Ces droites évoquent un système d'axes de coordonnées qu'on appellera plus tard repère cartésien. Le rapport entre x et y permet à Descartes d'écrire l'équation de courbes classiques comme les coniques, les ovales et des courbes du troisième ou quatrième degré. Il classera les courbes en genres en fonction du degré de leur équation. (source : Wikipedia)" couverture propre, à peine jaunie sur les bords, intérieur frais et propre, les 3 premières pages ont été consolidées proprement, elles se détachaient du brochage, le texte est sinon très frais et propre, cette édition avec une nouvelle traduction proche du français moderne reste très proche du texte original. Une longue et brillante préface présente l'importance de ce texte qu'il replace dans l'histoire des mathématiques en montrant son influence dans l'histoire des idées et la philosophie des sciences, références à Popper, Hilbert, Wittgenstein, Félix Klein, aux Bourbaki, à Gödel.
Bel exemplaire conservé dans son vélin hollandais de l'époque. Amsterdam, Blaeu, 1682-1683. 3 parties en 3 volumes in-4, I/ (1) f.bl., (4) ff., 383 pp., (1) f.bl.; II/ (1) f.bl., (2) ff., 404 pp., (2) ff., (1) f.bl.; III/ (1) f.bl., (8) ff., 427 pp., (1) f.bl., pte. brulure pp. 249 et 413 avec atteinte à 2 lettres. Plein vélin hollandais, fleuron à froid au centre des plats, double filet à froid autour des plats, dos lisses, tranches jaspées. Reliure de l'époque de l'éditeur Blaeu. 201 x 154 mm.
Première édition originale complète des Lettres de Descartes à la princesse Élisabeth et à Mersenne. Le 3ème volume contient la suite de la correspondance latine de Descartes et paraît ici pour la première fois. Tchemerzine, II, 786. Pendant plusieurs années, de 1642 à la fin de 1649, c'est-à-dire pendant la période de sa vie qui va des « Méditations métaphysiques » à sa mort à Stockholm, René Descartes (1596-1650) échangea une correspondance assidue avec la princesse Élisabeth, fille de Frédéric V, électeur palatin et roi de Bohême. « Celle-ci, femme fort cultivée et spécialement versée dans les sciences mathématiques, avait lu avec beaucoup d'intérêt et une vive admiration les ‘Méditations métaphysiques’. Par un émigré français, ami de Descartes, Palotti, elle avait pénétré plus avant dans la pensée de celui qu'elle considéra bientôt comme son maître. Et dès sa première lettre (mai 1643), elle demande au philosophe quelques explications sur un point de ses « Méditations » qu'elle ne saisit pas bien : comment peut-il se faire que « l'âme puisse déterminer les esprits (animaux) du corps pour faire les actions volontaires, n'étant qu'une substance pensante » (donc inétendue). Descartes explique pourquoi ce point a pu demeurer obscur dans son exposé. Cette discussion, qui est la plus intéressante de toute la « Correspondance », occupe toutes les lettres de l'année 1643). Au cours des années suivantes, les problèmes qui se poseront à l'occasion de la parution des œuvres de Descartes (celui-ci les faisait parvenir à son amie et lui dédia ses « Passions de l'amour ») sont de tous ordres : à propos des « Principes de la Philosophie », à propos des livres qu'il lui conseille de lire ou sur lesquels elle lui demande son avis, à propos des nouveautés scientifiques, la princesse se fait éclaircir et discute certains points de physique, de mathématiques, de morale et de métaphysique qu'elle n'a point saisis ou qui lui semblent contestables. « Mon admiration s'augmente toutes les fois que je relis les objections qu'on vous a faites, comment il est possible que des personnes qui ont employé tant d'années à la méditation et à l'étude, ne sauraient comprendre des choses si simples et si claires, que la plupart, en disputant du vrai et du faux, semblent ne pas connaître comment il les faut discerner et que le sieur Gassendus (Gassendi), qui est en la plus grande réputation pour son savoir, a fait, après l'Anglais (Hobbes), des objections moins raisonnables que tous les autres. » Cette correspondance présente un très grand intérêt ; car, à propos des questions de son interlocutrice, Descartes se trouve amené à reprendre un certain nombre de problèmes et à en donner un exposé plus clair et plus complet que dans ses œuvres ; mais surtout, c'est le seul document direct qui nous le fasse connaître dans son intimité et, en lui, l'homme et non plus seulement le philosophe. « Nous y apprenons qu'il avait projeté d'écrire un « Traité de l'érudition » ; nous y gagnons d'intéressants détails sur la vie, toute retirée et consacrée à l'étude et surtout à la méditation, qu'il mena en Hollande, et sur les quelques mois qu'il passa à la cour de Christine de Suède. » Descartes écrit aussi à Mersenne, improvisant des réponses à d'innombrables questions avec une facilité extraordinaire. «Les 3 volumes de cette correspondance sont illustrés de nombreuses figures et dessins géométriques sur bois». (Guibert, Bibliographie des Œuvres de René Descartes, p. 94). Bel exemplaire conservé dans son vélin hollandais de l'époque.