‎HAYARD Leon Vve ( éditeur ) - La Carmagnole - ( song text ) :‎
‎La Carmagnole .‎

‎.: 2. Paris, Vv Léon Hayard, impr.-éditeur, 8 rue du Croissant, s. d. (ca. 1880 ?), grande in-8°, 27 x17 cm, 4 pp nn, première page est un dessin colorié. Contient le texte de '' La Carmagnole'' avec qq. règles de musique.‎

Reference : 39731


‎‎

€58.00 (€58.00 )
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‎Roubaud, Benjamin (dit Benjamin) ‎

Reference : 25265

‎Le père si tendre avait promis (bis) / De fair’ égorger nos amis (bis) / Mais son coup a manqué / Grâce à nos bons jurés. / Dansons la Carmagnole, / Vive le son, vive le son / Dansons la Carmagnole / Vive le son du Canon.- Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎ Lithographie - Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 6 février 1834 LA CARICATURE (JOURNAL)/(N°170)(Planche n°358-359) - Œuvre : Hauteur: 35.5cmx Largeur: 53cm - Image : Hauteur: 29cm x Largeur: 47.5cm - Titre en bas au centre : « Le père si tendre avait promis (bis) // De fair’ égorger nos amis (bis) // Mais son coup a manqué // Grâce à nos bons jurés. // Dansons la Carmagnole, // Vive le son, vive le son // Dansons la Carmagnole // Vive le son du Canon. » ; indications : en ht à gche : « La caricature (Journal) N°170 », en ht à dte : « Pl. 358 et 359. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « Litho. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « Benjamin » [Benjamin Roubaud, dessinateur]Inscription - Sur les bâtiments à l'arrière-plan : « COUR D’ASSISES » et « PALAIS DE JUSTICE ». Un des patriotes tient un mât dont le sommet est couronné par un bonnet phrygien, et auquel est accrochée une pancarte portant la mention « Declaration [déclaration] // DU // jury // non // ils ne sont // pas coupables ». Le surnom emblématique de ce procès (« conspiration // de la poele a [poële à] frire ») est inscrit sur une feuille à terre, que les patriotes ne tarderont certainement pas à piétiner. Sur les affiches collées sur le mur à gche : « L’ENRAGE », « Un scandale », « LE [ ?] », « FAUSSAIRE », « scandale », et d’autres titres et inscriptions, illisibles.La foule, composee d’ouvriers, de gardes nationaux, d’etudiants, de journa- listes, danse la farandole autour du Palais de Justice. Philippon bat la mesure devant le Charivari ; a gauche, Persil s’enfuit mais on a attache une poele a frire a la queue de sa robe.‎


‎iconographie:Célébration de l’acquittement des suspects dans la conspiration dite de la poële à frire, et de manière générale, expression de joie face aux diverses relaxes prononcées par la justice dans des affaires de conspiration montées de toutes pièces, d’après la presse d’opposition, par le gouvernement. La scène de la pl. prend place devant le palais de justice, alors que vient d’être rendu le verdict de l’affaire dite de la poële à frire. A gche, deux patriotes jettent par la fenêtre les pièces à conviction, déversées du grand sac du « COMPLOT » : s’y trouvent un fusil, une bouteille, une feuille (sur laquelle l’inscription est illisible), divers ustensiles, un parapluie… Sous la fenêtre, Persil s’enfuit à toutes jambes, en rasant les murs. Mais il n’est pas assez rapide puisqu’un homme est occupé à lui faire une farce en accrochant une poële au bas de sa robe de juge. Il tient sous le bras l’ « acte [d’] // accusation ». C’est la farandole formée par les patriotes en train de fêter la fin heureuse du procès que Persil fuit. Les parties dte et médiane de la composition sont occupées par la représentation de la ronde d’hommes se tenant la main et chantant la chanson formant le titre de la pl. Narguant Persil, au premier plan à gche se trouvent la figure de "La Caricature" (fou portant un bonnet à plumes et grelots et un vêtement à grelots) dansant au son du tintamarre joué par la figure du "Charivari" avec des ustensiles de cuisine. Le titre est teinté d’une note républicaine très prononcée, puisqu’il reprend les premières paroles du chant révolutionnaire La Carmagnole. Les paroles du premier couplet (qui sont, dans le chant original : « Madam’ Veto avait promis (bis) // De faire égorger tout Paris (bis) // Mais son coup a manqué // Grâce à nos canonniers ») sont adaptées à la situation contemporaine. En revanche, le refrain qui leur fait suite est inchangé, puisqu’il est repris tel quel. Peut-être ce complot dit de la poële à frire fait-il référence au procès des vingt-sept, dont les accusés furent en définitive acquittés.Personnage représenté:Persil, Jean-Charles ‎

Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

Phone number : 33 04 94 63 34 56

EUR150.00 (€150.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO20206014

(1994)

‎CARMAGNOLE LIBERTE - ENVOI DU PRESIDENT DE L'AMICAL CARMAGNOLE LIBERTE.‎

‎PRESSES DE L'IMPRIMERIE MIDI-PYRENEES. 1994. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 80 pages - nombreuses photos en noir et blanc dans et hors texte - texte en 2 colonnes - ENVOI DU PRESIDENT DE L'AMICAL CARMAGNOLE LIBERTE.. . . . Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi‎


‎AMICALE CARMAGNOLE LIBERTE Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR49.50 (€49.50 )

‎ARAGON Louis‎

Reference : 64157

(1945)

‎Poème autographe : Distiques pour une carmagnole de la Honte‎

‎s.d. (1944-1945), 19,8x26,5cm, une feuille sous étui-chemise.‎


‎Rarissime poème satirique autographe de Louis Aragon, intitulé «?Distiques pour une Carmagnole de la Honte?», écrit entre septembre 1944 et février 1945. 26 vers sur un feuillet rédigé à l'encre noire, avec une note de l'auteur à l'encre bleue en bas de page. Notre manuscrit fait partie d'un ensemble de treize poèmes rédigé au premier semestre de l'année 1945 et destiné à paraître dans une anthologie poétique (Aragon, chez Pierre Seghers éditeur à Paris, Collection «?Poètes d'aujourd'hui?» n°2, 20 juillet 1945). Il fut adressé par Aragon comme copie de travail à son directeur de publication et ami Claude Roy. Ce poème autographe constitue le seul manuscrit connu des Distiques, le large fonds d'archives Triolet-Aragon de la Bibliothèque nationale de France n'en conservant ni manuscrit ni jeu d'épreuves. Le poème autographe est présenté sous une chemise en demi maroquin bleu nuit, plats de papier à motif stylisé, contreplats doublés d'agneau beige, étui bordé du même maroquin, ensemble signé Thomas Boichot. Véritable témoignage historique et réquisitoire contre les collaborateurs réfugiés à Sigmaringen, les Distiques d'Aragon ont été composés pendant l'hiver 1944-1945 à la suite de la publication du Musée Grévin. Exemple typique de la poésie de combat aragonienne, cette mélodie en octosyllabes et dizains condamne sans appel les chefs du gouvernement vichyiste et leurs plus fervents sympathisants. Le sarcasme, l'injure, l'invective, sont au service d'une poésie vengeresse, non sans rappeler la fureur de Front Rouge, qui signait son divorce du mouvement surréaliste. Pour autant, le ton du poème se veut alerte et enjoué?: les hôtes du château de Sigmaringen y jouent, chantent et dansent, et Aragon finit le poème par un quatrain entraînant «?Ah ça ira ça ira Les Pétain Laval tous à la lanterne, Ah ça ira ça ira ça ira, Les Pétain Laval tous on les pendra?», qu'il emprunte à l'hymne révolutionnaire «?Ah ça ira, ça ira, ça ira, Les aristocrates à la lanterne. Ah?! ça ira, ça ira, ça ira?! Les aristocrates on les pendra.?» Refusant de quitter la France à l'annonce de la guerre malgré les nombreuses sollicitations, Aragon entre en clandestinité avec Elsa Triolet après avoir vaillamment combattu pendant l'offensive allemande. Ces années d'Occupation marquent une période d'intense activité pour l'écrivain, qui publie clandestinement ses recueils de poésie résistante (Le Crève-cur, 1941, Les Yeux d'Elsa, 1942, Le Musée Grévin, 1943, La Diane française, 1944) et sous divers pseudonymes des poèmes et réponses aux collaborationnistes dans les Lettres Françaises. Par ailleurs mandaté par le parti communiste pour rassembler les écrivains et intellectuels en zone Sud, il y crée une antenne du Comité National des Ecrivains, qui réunit Stanislas Fumet, Auguste Anglès, Henry Malherbe et Jean Prévost. L'exemple d'Aragon a prouvé que, dans les circonstances de la guerre, l'écriture poétique était en soi un acte de résistance, un refus de céder. Comme le remarque Claude Roy, destinataire du manuscrit qu'il publie à la fin de la guerre?: «?La parole d'Aragon s'élevait avec une violence et une aisance qui se répercutaient d'un bout de la France à l'autre.?» «?Ça doit avoir de la dégaine/Le château de Siegmaringen/On s'y retrouve entre félons/Sous les lustres du grand salon?» Aragon écrivit deux poèmes sur Sigmaringen, l'ancien château des Hohenzollern de Souabe, qui accueillit Pétain et son entourage après leur fuite de Vichy et de Belfort. Devant l'avancée des alliés et sur l'ordre du Reich, le maréchal et ses partisans y installèrent un gouvernement fantoche en septembre 1944, qui sera remplacé durant les derniers mois de guerre par une «?Délégation gouvernementale pour la défense des intérêt français en Allemagne?». Aragon dédie un distique à Laval, écarté du pouvoir par cette nouvelle organisation?: «?Laval a l'air bien embêté / D'être en disponibilité?». On notera par ailleurs que l'auteur ajoute un «?e?» au nom de Sigmaringen, sans doute par jeu ironique avec le salut nazi «?Sieg Heil?». Presque huit mois durant, jusqu'en avril 1945, cette petite parcelle d'extra-territorialité a hébergé entre ses murs plus d'un millier de collaborateurs fuyant les représailles de la Libération. S'y retrouvèrent des intellectuels et des écrivains en disgrâce comme Céline ou Lucien Rebatet, parmi des miliciens, gestapistes et hommes politiques exilés. Les journalistes germanophiles sont dans le poème les cibles d'une satire très virulente?: Paul Ferdonnet, responsable de l'appel à la capitulation sur les ondes de Radio-Stuttgart («?Pétain tous les soirs joue aux cartes / Avec le traître de Stuttgart?»), Hérold-Paquis, adhérent d'honneur des Waffen SS («?Mon cher monsieur Hérold Paquis / Parlez nous un peu du maquis?»). L'anathème se poursuit avec les têtes de cette délégation, qui fut désavouée par Pétain dès sa création - elle était composée de Joseph Darnand, secrétaire d'État à l'Intérieur, de Marcel Déat, ministre du Travail et de la solidarité nationale, et de l'acteur Jean Luchaire, commissaire à l'Information?: «?Darnand se plaint à Jean Luchaire/Des déménagements si chers / José Laval cette idée a / De séduire Marcel Déat.?» Les ennemis y sont clairement nommés, les bourreaux et les traîtres exposés par de courts vers saccadés. Une note d'Aragon en partie inférieure du manuscrit nous éclaire davantage sur le dessein du poème, qui doit être déclamé sur l'air du chant révolutionnaire?: «?(1) note pour une lecture?: les distiques se disent en coupant l'octosyllabe par la moitié sans égard au sens. Le quatrain terminal se chante sur l'air connu avec une voix de basse, funèbre et éraillée?». Aragon exhume la carmagnole, hymne des sans-culotte à partir de 1792, et témoigne du même esprit d'insoumission qui régnait plus d'un siècle auparavant. Égrenant les grands noms du collaborationnisme français tels qu'on chantait les condamnés à mort de la Terreur, il use à loisir des caricatures d'antan?: «?Jamais dit Fernand de Brinon/ Beau nez n'a déparé beau nom?» La pique est destinée à l'ambassadeur de Vichy auprès des autorités allemandes, aussi célèbre pour son nez proéminent que pour sa noble extraction. La sentence symbolique des deux chantres de la collaboration Pétain et Laval est prononcée par Corinne Luchaire, l'actrice et égérie des vichyistes, réfugiée avec son père à Sigmaringen?: «?Et Corinne se lève et chante / D'une voix plaintive et touchante. Ah ça ira ça ira ça ira / Les Pétain Laval tous à la lanterne / Ah ça ira ça ira ça ira / Les Pétain Laval tous on les pendra?» Magnifique poème empreint de fièvre révolutionnaire et d'aspiration humaniste, ce précieux manuscrit de poésie résistante est une des rares uvres autographes d'Aragon encore en main privée. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR5,000.00 (€5,000.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO20253689

‎Chants revolutionnaires- la carmagnole, la ronde des saint simoniens, le chant des ouvriers, la semaine sanglante, jean misere, le drapeau rouge, l'insurge, elle n'est pas morte, le tombeau des fusilles, la butte rouge, le soldat mecontent, zimmerwald...‎

‎NON PRECISE. NON DATE. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 155 pages - quelques planches en noir/blanc - quelques partitions. . . . Classification Dewey : 782.42-Chanson‎


‎la carmagnole, la ronde des saint simoniens, le chant des ouvriers, la semaine sanglante, jean misere, le drapeau rouge, l'insurge, elle n'est pas morte, le tombeau des fusilles, la butte rouge, le soldat mecontent, zimmerwald, chant de bataille, marche de boudienny, hardi camarades, chant des survivants, secours rouge, le front ouvrier, l'appel du komintern, casey jones, john brown's body, we shall not be moved, The preacher and the slave, los cuatro generales, la cucaracha, bandiera rossa, el passo del ebro, adelita,... Classification Dewey : 782.42-Chanson‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎DELPUECH, J.-P.-G. ; VIBERT, Léon ; REGIS, Roger ; CASTELOT, André ; MARICOURT, Baron André de ; JOUVENEL, Henry de ; LA BORIE, Paul de ; BERTAUT, Jules ; MAZE, Jules ; CROQUEZ et LOUBLIE‎

Reference : 62036

(1951)

‎[ Lot de 13 ouvrages sur la Révolution Française ] Le Calvaire de Jean-Jacques-Louis Durand (Premier Maire élu de Montpellier 1793-1794) [ Avec : ] Au temps de la Carmagnole [ Avec : ] La Citoyenne Marat [ Avec : ] La vie orageuse de Mirabeau [ Avec : ] Varennes. Le roi trahi [ Avec : ] Robespierre l'incorruptible [ Avec : ] La véritable Madame Tallien d'après des documents inédits [ Avec : ] Avec les "Rouges"aux Iles du Vent. Souvenirs du chevalier de Valous 1790-1793 [ Avec : ] Louis XVI et Marie-Antoinette. Les Journées révolutionnaires d'octobre 1789 [ Avec : ] Un grand Profiteur de Guerre sous la Révolution, l'Empire et la Restauration [ Avec : ] Barras est roi [ Avec : ] Madame Tallien [ Avec : ] Les Belles émigrées. La comtesse de Polastron. Madame de Flahaut. La Comtesse de Balbi. La Marquise de La Tour du Pin. La Princesse Louise de Bourbon Condé‎

‎13 vol. in-8 et in-12 reliures pleine basane racinée, dos à 4 nerfs dorés, Delpuech : Le Calvaire de Jean-Jacques-Louis Durand (Premier Maire élu de Montpellier 1793-1794), Imprimerie G. Subervie, Rodez, 1951 [ Avec : ] Léon Vibert : Au temps de la Carmagnole, Editions du Tambourin, Paris, 1931 [ Avec : ] Roger Régis : La Citoyenne Marat, Ferenczi, 1949 [ Avec : ] Henry de Jouvenel : La vie orageuse de Mirabeau, Librairie Plon, Paris, 1928 [ Avec : ] André Castelot : Varennes. Le roi trahi, Editions André Bonne, 1951 [ Avec : ] A. Croquez et G. Loublié : Robespierre l'incorruptible, Julliard, Paris, 1945 [ Avec : ] Baron André de Maricourt : La véritable Madame Tallien d'après des documents inédits, Editions des Portiques, 1933 [ Avec : ] Marquis de Valous : Avec les "Rouges"aux Iles du Vent. Souvenirs du chevalier de Valous 1790-1793, Calmann-Lévy, Paris, 1930 [ Avec : ] Jules Mazé : Louis XVI et Marie-Antoinette. Les Journées révolutionnaires d'octobre 1789, Librairie Hachette, Paris, 1939 [ Avec : ] Arthur-Lévy : Un grand Profiteur de Guerre sous la Révolution, l'Empire et la Restauration, Calmann-Lévy, Paris, 1929 [ Avec : ] Paul de La Borie : Barras est roi, Les Deux Sirènes, Paris, 1947 [ Avec : ] Jules Bertaut : Madame Tallien, Les Editions de Paris, 1946 [ Avec : ] Jules Bertaut : Les Belles émigrées. La comtesse de Polastron. Madame de Flahaut. La Comtesse de Balbi. La Marquise de La Tour du Pin. La Princesse Louise de Bourbon Condé, Flammarion, 1947‎


‎Joli lot bien relié réunissant 13 ouvrages consacrés à divers épisodes et personnages de la Révolution Française. Bon ensemble très décoratif (qq. rouss.). Prix du lot, non séparable.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

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