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AILLAUD Gilles - Nicolas PESQUÈS ( texte ) :
Gilles Aillaud.
2. Marseille, André Dimanche, 2001, in-8°, 174 pp, ills. color., broché, couverture souple d' origine. ISBN 2-86916--121-2. Livre en français.
Reference : 39181
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Gilles Aillaud
Editions Hazan/Académie de France à Rome, Paris, 2007. In-4, broché sous couverture rempliée et illustrée en couleur, 159 pp. Préambule, Gilles Aillaud - Ce "regard fixe et pénétrant", Philippe Dagen - Glossaire de Gilles Aillaud selon Pierre Buraglio - Témoignages - Gilles Aillaud, Netta Vespignai - Notes autour de la peinture de Gilles Aillaud, Federico Nicolao - L'ami ...
Nombreuses planches en noir et en couleur.Edition bilingue français/italien. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
Phone number : 01 42 73 13 41
Gilles Aillaud. Animal politique.
<meta charset="utf-8"><p data-mce-fragment="1">Interrogé sur son choix de ne peindre presque exclusivement que des animaux, Gilles Aillaud répondait : « parce que je les aime ». Contemporaines des premières œuvres Pop, de leur fascination, plus ou moins distante, pour les produits de la consommation et la communication de masse, les peintures de Gilles Aillaud (disparu en 2005) n'ont rien d'exotique.</p><p data-mce-fragment="1"><br data-mce-fragment="1">C'est faute d'avoir pu être philosophe, que Gilles Aillaud est devenu peintre. Plutôt toutefois que de peindre une philosophie, Gilles Aillaud s'est appliqué à « peindre philosophiquement ». Laissant croire qu'il représentait des animaux, c'est notre relation à la nature qui s'impose comme son seul et véritable sujet. Son « humilité » technique donnent forme au songe d'une réconciliation, loin de tout projet de « maitrise » et de « possession » du monde. Les interrogations que notre époque adresse à notre relation au vivant montrent l'importance de cette rétrospective attendue.</p> Paris, 2023 Centre Pompidou 192 p., broché. 24,5 X 29
Neuf
[Affiche] (Action) - UNE TRIPLETTE AUX PRISES AVEC UN SPECTRE.Selon ses dernières volontés / le corps de Marcel Duchamp / est inhumé au musée / de Philadelphie. Pennsylvanie. Usa. / Qu'Aillaud, Arroyo et Recalcati / viennent se présenter au mort.LE MORT / ... Et revendiquent toutes les conséquences de leur oeuvre. [et, en très petit corps : ] Paris, le 26 septembre 1965 / [signatures autographiées : ] Gilles Aillaud / Arroyo / Recalcati.
1 Sans lieu, impr. Média-Plan international ?, 1980, affiche sérigraphiée (60 x 80 cm) à fond vert et large encadrement jaune, portant en pied la mention "Affiche apposée à Paris le 14 2 80" ; à gauche de la triple signature, faux tampon rond à fond rose et impression blanche : profil de M.D. au cigare, dans une couronne de lauriers elle-même entourée du texte suivant : Duchamp 1976 Donneur / Intesat ou avec Test ? [en pied, en arrondi et sous un filet blanc, la sentence :] "La liberté est supérieure à la liberté". [Le mot] "Intestin" barre en biais le crâne de M.D.
Bernard Marcadé : Marcel Duchamp : « En septembre 65, dans le cadre de lexposition "La Figuration narrative" dans lespace contemporain à la Galerie Raymond Creuze, trois jeunes peintres, Arroyo, Aillaud et Recalcati exposent une série de tableaux ayant pour titre : Vivre et laisser mourir ou La fin tragique de Marcel Duchamp. La pièce se présente comme une suite narrative de huit tableaux, mêlant à la fois des reproductions des uvres de M.D. (le Nu, Fresh widow, Fontaine, le Grand Verre) à des scènes daction (Duchamp montant un escalier, le « passage à tabac » de lartiste par les trois peintres, la condamnation de lartiste, lassassinat de Duchamp, mis à nu, puis précipité du haut de lescalier, les funérailles de M.D.) « Lallégorie est simple et évidente, cette peinture se veut une violente critique du rôle de Duchamp, implicitement accusé de faire le jeu de limpérialisme américain (nous sommes en pleine guerre du Viet-Nam), en dépit de la posture pseudo-révolutionnaire de son art. Le cercueil de Duchamp, entouré du drapeau américain, est porté en terre par Rauschenberg, Oldenburg, Raysse, Warhol, Restany et Arman en tenues de « Marines » américains. Lexposition est assortie dun manifeste stigmatisant le caractère éminemment « réactionnaire » de lart de Duchamp. « Au mois doctobre 1965, avant de repartir aux Etats-Unis, Duchamp visite donc lexposition de la Galerie Creuze. « Je vous avoue que cétait amusant à regarder. Cétait bêta comme peinture, mais cela ne fait rien ; ill fallait que ce soit comme cela pour ce quils voulaient prouver ; cétait peint bêtement, mais cétait très net. Ils sétaient donné un mal de chien. (...) » Duchamp dissuade Arturo Schwarz, André Breton, José Pierre de réagir : « La seule réfutation cest lindifférence. » Je n'ai trouvé nulle trace de la présente affiche dont laspect peut laisser supposer un affichage en plein air. Énigmatique. Bernard Marcadé : Marcel Duchamp. Paris, Flammarion, "Grandes biographies", pp. 486-487.
GILLES AILLAUD. Peintures & préambule
Paris Galerie Karl Flinker 1982 in 8 oblong (24x29,5) 1 volume broché, couverture illustrée, non paginé, avec des illustrations en noir et blanc, et hors-texte en couleurs. Catalogue de l'exposition ''Gilles Aillaud. Peintures & préambule'', présentée en mai-juin 1982 à la Galerie Karl Flinker (Paris). Bon exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Bon Broché
Chroniques de l'Art Vivant - Aimé Maeght et Jean Clair - Catherine Backès-Clément - Gilles Aillaud - Franz Gertsch et Urs Graf - Gilbert Lascault sur Sam Szafran - Dabiel Abadie sur Bernard Moninot - Harald Szeemann - Christian Bonnefoi sur Rebeyrolle - Jean-Marie Benoist sur Louis Le Brocquy - Jean-Noël Vuarnet sur Jean-Pierre Brisset - Alain Clerval sur Raymond Roussel - Françoise Baron sur Antonio Porta - Lise Brunel - Daniel Caux - Philippe du Vignal - René Micha - Vladimir-Illitch Des Esseintes
Reference : CAV-37
(1973)
Chroniques de l'Art Vivant n° 37 - Mars 1973 - Réalismes 2 - Les organisateurs d'exposition se révoltent - Adorable leurre (suite, 3 pages) - Impossible réel ou le leurre en vente - Gilles Aillaud ou le réalisme critique - Les étapes de la création - Sam Szafran, les pastels de l'inquiétude - Bernard Moninot - Harald Szeemann - Réalisme populaire chinois - Rebeyrolle, l'emprise des signes - Louis Le Brocquy - Jean-Pierre Brisset - Raymond Roussel - Antonio Porta ou le réalisme onirique du corps - La danse hors-ghetto - La musique contemporaine et la voix, Simone Rist, Dieter Schnebel - L'Eglise de Céline (Théâtre) - Tombeau de Marylin Monroe - Décadence du cinéma ou cinéma de la décadence
Maeght Editeur - Chroniques de l'Art Vivant Ferce sur Sarthe, France 1973 Book Condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur, illustrée de Boxeurs par Duane Hanson In-4 carré 1 vol. - 36 pages
très nombreuses illustrations en noir et blanc 1ere édition Contents, Chapitres : Les organisateurs d'exposition se révoltent - Jean Clair : L'adorable leurre (suite, 3 pages) - Catherine Backès-Clément : L'impossible réel ou le leurre en vente - Jean Clair, entretien avec Gilles Aillaud ou le réalisme critique, 3 pages - Entretien entre Franz Gertsch et Urs Graf : Les étapes de la création - Gilbert Lascault : Sam Szafran, les pastels de l'inquiétude - Dabiel Abadie : Bernard Moninot - Harald Szeemann : Le charme discret de la bourgeoisie - Jean Clair : Réalisme populaire chinois, du réalisme édifiant à l'édification du socialisme (1 page) - Christian Bonnefoi : Rebeyrolle, l'emprise des signes - Jean-Marie Benoist : Louis Le Brocquy - Jean-Noël Vuarnet : D'un réalisme fabuleux, Jean-Pierre Brisset, dont un portrait par Charles Picart le Doux - Alain Clerval : Un précurseur de l'hyper-réalisme, Raymond Roussel - Françoise Baron : Antonio Porta ou le réalisme onirique du corps - Lise Brunel : La danse hors-ghetto - Daniel Caux : La musique contemporaine et la voix, Simone Rist, Dieter Schnebel - Philippe du Vignal : L'Eglise de Céline (Théâtre) - René Micha : Tombeau de Marylin Monroe - Vladimir-Illitch Des Esseintes : Décadence du cinéma ou cinéma de la décadence
