Précédé d'une notice de Frédéric Masson, de l'Académie Française. A Paris chez Devambez, éditeur. Cet ouvrage a été tiré à 265 exemplaires numérotés. Exemplaire n°16 sur grand vélin à la cuve des papeteries Blanchet frères et Kléber, de Rives.
Reference : ASY-81
Relié dos cuir vert foncé, titre, auteur et fleurons dorés. Quelques rousseurs et taches.
Bouquinerie Egletons
Mme Marie-Hélène Brousse
15 place du Marchadial
19300 Egletons
France
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P., Editions Vendôme, 1982, in-4°, xvi-512 pp, préface du duc de Castries, 450 gravures et photos dans le texte et à pleine page, 4 plans, sources et biblio, index, imprimé sur papier vergé des Papeteries Lana, reliure pleine toile rouge avec fer et encadrement dorés au 1er plat, rhodoid, bon état
Edition précédée d'une étude de 16 pages sur la Banque Morgan, située 14 place Vendôme. — "Au départ, il s'agit d'une énorme spéculation immobilière, sous prétexte d'aménager une place parisienne à la gloire de Louis XIV. En 1685, Mansart, l'architecte du Roi-Soleil, réunit cinq financiers pour acheter le terrain de l'hôtel de Vendôme, situé sur la rive droite de la Seine. Leur intention est de raser l'hôtel et de lotir le terrain en réalisant une jolie culbute : "payer 50 livres la toise ce qu'on revendra 100 livres", résume François de Saint-Simon dans son ouvrage sur la place Vendôme. Lancée, la place Vendôme devient un lieu de résidence pour grands seigneurs avant de se transformer, peu à peu, à partir du second Empire, en un grand carrefour d'affaires. "Derrière la monumentalité de la place Vendôme et son commerce de luxe se développe un vrai centre de business", explique Hubert Bonin, professeur d'histoire économique à l'institut d'études politiques de Bordeaux. Les joailliers investissent les lieux les premiers. Joseph Chaumet, Frédéric Boucheron, Van Cleef & Arpels, tous s'installent place Vendôme à partir de la fin du XIXe siècle. Louis Cartier, en 1898, s'implante à côté, rue de la Paix, tandis que le Ritz, la même année, est inauguré au numéro 15..." (L'Express, 2004)
éditions Vendôme 1982 In-4. Reliure éditeur pleine toile rouge décorée avec armes et fleurons dorés, jaquette rhodoïd, 512 pp., nombreuses gravures dans le texte et à pleine page, sources et bibliographie, index. Bon exemplaire.
Exemplaire sur vergé crème. Bon état d’occasion
P., Editions Vendôme, 1982, in-4°, 512 pp, préface du duc de Castries, 450 gravures et photos dans le texte et à pleine page, 4 plans, sources et biblio, index, imprimé sur Centaure ivoire, reliure éditeur, gardes illustrées, signet, bon état. Edition originale, un des 500 exemplaires reliés plein cuir de couleur bordeaux avec fers et encadrement dorés sur les 2 plats et tête dorée, numérotés de 1 à 500 (n° 171), enrichi d'un envoi a.s.
"Au départ, il s'agit d'une énorme spéculation immobilière, sous prétexte d'aménager une place parisienne à la gloire de Louis XIV. En 1685, Mansart, l'architecte du Roi-Soleil, réunit cinq financiers pour acheter le terrain de l'hôtel de Vendôme, situé sur la rive droite de la Seine. Leur intention est de raser l'hôtel et de lotir le terrain en réalisant une jolie culbute : "payer 50 livres la toise ce qu'on revendra 100 livres", résume François de Saint-Simon dans son ouvrage. Lancée, la place Vendôme devient un lieu de résidence pour grands seigneurs avant de se transformer, peu à peu, à partir du second Empire, en un grand carrefour d'affaires. "Derrière la monumentalité de la place Vendôme et son commerce de luxe se développe un vrai centre de business", explique Hubert Bonin, professeur d'histoire économique à l'institut d'études politiques de Bordeaux. Les joailliers investissent les lieux les premiers. Joseph Chaumet, Frédéric Boucheron, Van Cleef & Arpels, tous s'installent place Vendôme à partir de la fin du XIXe siècle. Louis Cartier, en 1898, s'implante à côté, rue de la Paix, tandis que le Ritz, la même année, est inauguré au numéro 15..." (L'Express, 2004)
P., Editions Vendôme, 1982 in-4°, 512 pp, préface du duc de Castries, 450 gravures et photos dans le texte et à pleine page, 4 plans, sources et biblio, index, imprimé sur papier vergé des Papeteries Lana, reliure éditeur, gardes illustrées, signet, bon état. Edition originale, un des 500 exemplaires reliés plein cuir de couleur bordeaux avec fers et encadrement dorés sur les 2 plats et tête dorée, numérotés de 1 à 500 (n° 149)
"Au départ, il s'agit d'une énorme spéculation immobilière, sous prétexte d'aménager une place parisienne à la gloire de Louis XIV. En 1685, Mansart, l'architecte du Roi-Soleil, réunit cinq financiers pour acheter le terrain de l'hôtel de Vendôme, situé sur la rive droite de la Seine. Leur intention est de raser l'hôtel et de lotir le terrain en réalisant une jolie culbute : "payer 50 livres la toise ce qu'on revendra 100 livres", résume François de Saint-Simon dans son ouvrage. Lancée, la place Vendôme devient un lieu de résidence pour grands seigneurs avant de se transformer, peu à peu, à partir du second Empire, en un grand carrefour d'affaires. "Derrière la monumentalité de la place Vendôme et son commerce de luxe se développe un vrai centre de business", explique Hubert Bonin, professeur d'histoire économique à l'institut d'études politiques de Bordeaux. Les joailliers investissent les lieux les premiers. Joseph Chaumet, Frédéric Boucheron, Van Cleef & Arpels, tous s'installent place Vendôme à partir de la fin du XIXe siècle. Louis Cartier, en 1898, s'implante à côté, rue de la Paix, tandis que le Ritz, la même année, est inauguré au numéro 15..." (L'Express, 2004)