S. l. (Paris), La Nouvelle Revue Française, s.d. (vers 1930) ; in-8, 17 pp., couverture d'attente et feuilles agrafées. Extrait de la Nouvelle Revue Française (N. R. F.).
Reference : _201801659
Librairie Alphabets
M. Philippe Henry
03 83 32 77 37
Conforme à la vente par correspondance.
Genève, Georg & Co, 1908, fort pt in-8°, lxxvi-247 et 335 pp, 10e édition, les 2 tomes reliés ensemble en un volume demi-chagrin chocolat, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres et fleurons dorés (rel. de l'époque), un mors frotté, trace de mouillure ancienne au 1er plat, coupes frottées, intérieur propre et sans rousseurs, bon état
Le 11 mai 1881, Henri-Frédéric Amiel – âgé de 59 ans et 8 mois – meurt à Genève en laissant un Journal intime de 16.867 pages. Ce Journal, il l'a légué à une de ses confidentes et admiratrices, Fanny Mercier, en lui recommandant d'en tirer de quoi donner une idée de sa pensée. Deux ans plus tard, des “Fragments d'un Journal intime” paraissent à Genève et Paris, par les soins de Fanny Mercier et d'Edmond Schérer, sous la forme de deux petits volumes. Le Journal intime nous donne une idée du drame de cet homme qui a passé sa vie à scruter sa conscience, qui s'est analysé chaque jour avec une lucidité extraordinaire, et cela sans discontinuer pendant trente-trois ans. (Bernard Gagnebin) — Henri-Frédéric Amiel eut de bonne heure l'habitude de noter ses impressions et ses observations, de converser avec lui-même la plume à la main ; c'est ce dont témoignent un certains nombres de pages éparses, écrites pendant ses années d'études et de voyages, et qui forment un premier essai de Journal Intime. Interrompu à plusieurs reprises, ce Journal devient régulier en 1849, au moment où Amiel rentre à Genève après un séjour en Allemagne, et dès lors il se poursuit, semaine après semaine, puis jour après jour, jusqu'à la fin d'avril 1881, une semaine seulement avant la mort de l'auteur. Ce manuscrit, qui embrasse ainsi plus de trente années, servait à plusieurs fins. Amiel y consignait les souvenir des occupations et des incidents de la journée. Il y notait ses observations psychologiques et les impressions qu'il recevait de ses lectures. Mais son Journal était surtout le confident de ses méditations intimes, l'asile où le penseur prenait conscience de sa vie intérieure, interrogeait sa destinée, laissait échapper le cri de ses peines, cherchait l'apaisement dans l'examen et la confession.
Paris Editions de la Pléiade. J. Schiffrin 1927 in 8 (20,5x15) 1 volume broché, couverture remplié, 334 pages, ex-libris. Fragments inédits du journal intime publiés par Bernard Bouvier. Introduction d'Edmond Jaloux. Collection ''Les Ecrits Intimes'' dirigée par Charles Du Bos. Edition originale, celui-ci un des exemplaires numérotés sur vélin du Maris. Bel exemplaire
Très bon Broché Ed. originale
Paris Editions de la Pléiade. J. Schiffrin 1927 in 8 (20,5x15) 1 volume broché, couverture remplié, 334 pages. Fragments inédits du journal intime publiés par Bernard Bouvier. Introduction d'Edmond Jaloux. Collection ''Les Ecrits Intimes'' dirigée par Charles Du Bos. Edition originale, celui-ci exemplaire hors commerce, justifié at paraphé par l'éditeur. Bel exemplaire
Très bon Broché Ed. originale
P., É. Hazan, 1929, in-8, br., couv. rempliée. (S5B4C)
Édition originale. Un des 120 hollande. Sera repris dans Mes songes que voici sous le titre : Fragments d'un journal de vacance. (Angleterre, 1928). Portrait par Angéline BÉLOFF.
Chez le traducteur / Labor et Fides 1937. Bel exemplaire broché, in-8, VII + 288 pages.