Paris, Société d'Édition «les Belles Lettres», 1-1938 ; in-8, XX-426 pp., broché. Collection des Universités de France «Guillaume Budé », N° 281. Édition bilingue: latin, français. 2ème édition revue et corrigée. Texte établi et traduit par H. Goelzer.
Reference : _201516477
Librairie Alphabets
M. Philippe Henry
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C.L.F. PANCKOUCKE. 1839-1842. In-8. Broché. Etat passable, 2ème plat abîmé, Dos abîmé, Mouillures. 3 TOMES: XLVIIJ + 458 + XV + 437 + XXIJ + 386 + 94 pages - dos desolidarisé sur le tome 1 - 1er plat desolidarisé, piqure de vers en pied et dos manquant sur le tome 2 - dos et 2ème plat manquants sur le tome 3 - tranches abimées.. . . . Classification Dewey : 870-Littératures des langues italiques. Littérature latine
TOME PREMIER: HISTOIRES - TOME 2 + 3: ANNALES - TEXTE EN FRANCAIS - LATIN AVEC TRADUCTION EN REGARD - VENDU EN ETAT Classification Dewey : 870-Littératures des langues italiques. Littérature latine
A Paris chez Charles Guillaume et Gandouin le Jeune 1733. In-12 2 feuillets non chiffrés 2-239pp. Pleine basane brune, dos à nerfs orné de compartiments dorés, pièces de titre et de tomaison grenat, tranches brique, reliure de l'époque. Petit manque en bordure des coiffes, au bas du 2e plat et sur les coupes, la page 213 est numérotée 113 par erreur, petit maque au bas des pages 213 et 215 sans perte de texte, intérieur en bon état et complet.
TOME I seul sur 6, bien complet de ses 17 histoires présentées comme véridiques, portant des titres évocateurs tels que: le voleur innocent, l'amant déguisé, la fausse sorcière, la soeur retrouvée... (3734)
Les Belles Lettres, 1990, pt in-8°, 309 pp, 2 cartes dépliantes en 3 couleurs hors texte, reliure éditeur, bon état (Coll. Budé). Texte grec et traduction française en regard
Le livre X des HIstoires de Polybe couvre les années 210/208, moment de la naissance de l'auteur et instant historique essentiel, celui de l'émergence politique et militaire de deux hommes à la destinée exemplaire : Scipion à Rome, Philopoemen en Achaïe. Plus que jamais, c'est l'occasion pour Polybe de polémiquer contre les autres historiens en montrant ce qu'est une histoire rationnelle, scientifique, qui ne laisse place ni à la fortune ni au hasard; et de faire œuvre didactique, en traçant le portrait du bon chef, celui qui détient le savoir et assure la sécurité de ses hommes et donc, de sa cité. Par ailleurs, phénomène rarissime, Polybe se livre, en révélant des éléments de sa biographie et des aspects de sa sensibilité. — Arcadien né à Mégalopolis en 200 av. J.-C., cité appartenant alors à la Ligue achéenne, Polybe fut le plus grand historien grec de son temps. Militaire comme son père, Lycortas, plusieurs fois général au sein de cette ligue, que dirigea Philopoemen jusqu’en 182, il fut élu hipparque en 170 ou 169. À la victoire de Paul Émile à Pydna en 168, il fut désigné parmi les mille otages emmenés à Rome pour y être jugés. Le procès n’eut jamais lieu et Polybe s’attira la bienveillance de Scipion Émilien, si bien qu’il l’accompagna dans ses campagnes en Gaule et en Afrique et assista à la chute de Carthage en 146. Entre 146 et 145, il fit office de négociateur entre les Grecs et les Romains et participa à la réorganisation politique de sa patrie. Après de nombreux voyages, à Alexandrie, à Sardes, à Numance et en Atlantique, il meurt en 118, à la suite d’une chute de cheval. Nous ne possédons qu’un tiers de son oeuvre principale, Les Histoires, composées de quarante livres. Seuls les livres I -V sont entièrement conservés. L’auteur discute, critique même ses sources et se soucie avant tout de la vérité historique ; son travail est vraiment un modèle du genre.
Les Belles Lettres, 1972, pt in-8°, 260 pp, 2 cartes dépliantes en 3 couleurs hors texte, broché, bon état (Coll. Budé). Texte grec et traduction française en regard
Le livre IV de l'Histoire de Polybe forme le second volet d'un tryptique qui comprend, également, les livres III et V. Cet ensemble expose l'histoire du monde antique au cours de la 140e olympiade (220-216) et suit le plan que l'historien devait appliquer année par année dans la suite de son ouvrage, à partir du livre VII. Dans le livre IV, Polybe traite les affaires du Péloponnèse (Guerre des alliés ou Guerre sociale), la guerre entre Byzance et Rhodes, les événements de Crète et la guerre entre Sinope et le royaume de Pont. — Arcadien né à Mégalopolis en 200 av. J.-C., cité appartenant alors à la Ligue achéenne, Polybe fut le plus grand historien grec de son temps. Militaire comme son père, Lycortas, plusieurs fois général au sein de cette ligue, que dirigea Philopoemen jusqu’en 182, il fut élu hipparque en 170 ou 169. À la victoire de Paul Émile à Pydna en 168, il fut désigné parmi les mille otages emmenés à Rome pour y être jugés. Le procès n’eut jamais lieu et Polybe s’attira la bienveillance de Scipion Émilien, si bien qu’il l’accompagna dans ses campagnes en Gaule et en Afrique et assista à la chute de Carthage en 146. Entre 146 et 145, il fit office de négociateur entre les Grecs et les Romains et participa à la réorganisation politique de sa patrie. Après de nombreux voyages, à Alexandrie, à Sardes, à Numance et en Atlantique, il meurt en 118, à la suite d’une chute de cheval. Nous ne possédons qu’un tiers de son oeuvre principale, Les Histoires, composées de quarante livres. Seuls les livres I -V sont entièrement conservés. L’auteur discute, critique même ses sources et se soucie avant tout de la vérité historique ; son travail est vraiment un modèle du genre.
Les Belles Lettres, 1977, pt in-8°, 318 pp, 2 cartes dépliantes en 3 couleurs hors texte, reliure éditeur, bon état (Coll. Budé). Texte grec et traduction française en regard
Le livre V de l'Histoire de Polybe forme le dernier volet d'un tryptique qui comprend, d'abord, les livres III et IV. Cet ensemble expose l'histoire du monde antique au cours de la 140e olympiade (220-216) et suit le plan que l'historien devait appliquer année par année dans la suite de son ouvrage, à partir du livre VII. Le livre V traite, d'une part, des événements des annés 218-216 en Grèce, d'autre part, de l'histoire de la Syrie et de l'Egypte durant toute la durée de l'olympiade, relatant également l'anéantissement par Prusias des hordes gauloises sur l'Hellespont. Ainsi se trouvent réunies en un même tableau l'histoire des trois grands royaumes issus de l'empire d'Alexandre, la Macédoine, la Syrie et l'Egypte, et celle de leurs souverains du moment, Philippe V, Antiochus III et Ptolémée IV. — Arcadien né à Mégalopolis en 200 av. J.-C., cité appartenant alors à la Ligue achéenne, Polybe fut le plus grand historien grec de son temps. Militaire comme son père, Lycortas, plusieurs fois général au sein de cette ligue, que dirigea Philopoemen jusqu’en 182, il fut élu hipparque en 170 ou 169. À la victoire de Paul Émile à Pydna en 168, il fut désigné parmi les mille otages emmenés à Rome pour y être jugés. Le procès n’eut jamais lieu et Polybe s’attira la bienveillance de Scipion Émilien, si bien qu’il l’accompagna dans ses campagnes en Gaule et en Afrique et assista à la chute de Carthage en 146. Entre 146 et 145, il fit office de négociateur entre les Grecs et les Romains et participa à la réorganisation politique de sa patrie. Après de nombreux voyages, à Alexandrie, à Sardes, à Numance et en Atlantique, il meurt en 118, à la suite d’une chute de cheval. Nous ne possédons qu’un tiers de son oeuvre principale, Les Histoires, composées de quarante livres. Seuls les livres I -V sont entièrement conservés. L’auteur discute, critique même ses sources et se soucie avant tout de la vérité historique ; son travail est vraiment un modèle du genre.