Paris, Éditions Gallimard, 1934 ; in-12, 180 pp., broché (avec une petite tâche sur la couverture). Exemplaire numéroté, sur papier alfa. Originaire de Sète, ami de Paul Léautaud, Paul Valéry, grand intellectuel capable de comprendre aussi bien les arts que la science la plus récente, passe de la philosophie à la poésie en toute liberté. Il fut élu à l'Académie Française, en 1925. Bon état.
Reference : H1667
Librairie Alphabets
M. Philippe Henry
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BOUCHER, François / LONDERSEEL, Assuerus van / BOUCHARDON, Edme.
Reference : LCS-17828
Ce recueil est du plus haut intérêt pour la connaissance des métiers et des costumes sous Louis XV. Certaines des gravures sont de véritables estampes de mode. Paris, chez Huguier, vers 1735. Plein veau havane marbré, dos à nerfs richement orné, pièces de titre en maroquin rouge, tranches jaspées. Reliure de l’époque. 318 x 238 mm.
12 planches in-4 gravées par Le Bas et Ravenet d’après les dessins de Boucher. 1. Gaigne Petit – 2. A Racomoder les vieux souflets – 3. Des noisettes au litron – 4. Balais Balais – 5. Charbon Charbon – 6. A. Ramonner du Haut en bas – 7. A la crème – 8. Des patez – 9. Chaudronier chaudronier – 10. Des radix des raves – 11. La Laittiere – 12. Au vinaigre. Ce recueil est du plus haut intérêt pour la connaissance des métiers et des costumes sous Louis XV. Certaines des gravures sont de véritables estampes de mode. « Le père de Boucher, dessinateur de broderies, fut le premier maître de l’enfant. Mais devant les dispositions dont il témoignait, il se décida à le faire travailler sous une direction plus autorisée que la sienne. François Boucher entra dans l’atelier de Le Moine, dont il imita bientôt la manière, dans Le jugement de Suzanne. Il n’y resta que fort peu de temps, quelques mois à peine, puis vint travailler chez le père du graveur L. Cars, lequel était éditeur. Mariette nous dit à ce sujet que Boucher y dessinait pour les planches de Cars et qu’il recevait pour ce travail 60 livres par mois, non compris le logement et la table. Ce fut ainsi qu’en 1721 il fit les illustrations de l’Histoire de France de Daniel, gravées par Baquoy. Entre temps, il avait commencé à s’adonner à l’art de la gravure et ses premiers essais décidèrent M. de Julienne à lui confier le soin de graver les dessins de Watteau. Le jeune artiste, encore très épris de son art, travaille à la fois le dessin, la gravure et la peinture. Les 24 livres par jour que M. de Julienne lui donnait pour prix de son travail lui faisaient la vie assez facile, mais Boucher voulait entrer à l’Académie et s’efforçait de perfectionner sa technique. En 1723, il emporta le premier prix au concours de l’Académie, avec Evilmerodach délivrant Joachim. Il avait à peine 20 ans. Mais il ne possédait pas encore la faveur dont il devait jouir plus tard et l’influence contraire du duc d’Antin ne lui permit pas d’obtenir son envoi à Rome comme pensionnaire du roi. Deux ans plus tard, néanmoins, ayant réuni quelque argent, et grâce à la générosité d’un tiers, il fit le voyage d’Italie en compagnie de Carle Van Loo. Il ne semble pas d’ailleurs que Boucher ait tiré grand enseignement de l’étude des écoles italiennes, tout au moins de celles de la grande époque classique. Ses goûts le portaient naturellement vers une forme plus badine et moins étudiée, et des maîtres transalpins c’est assurément Albani, Tiepolo et Baroccio qui produisirent avec lui la plus grande influence. Agréé à l’Académie, dès son retour d’Italie en 1731, il devint immédiatement le peintre mondain, le portraitiste, semi-officiel des femmes à la mode, épouses ou maîtresses des financiers et des mythologies galantes, telles Vénus commandant des armes à Vulcain pour Enée. Il illustra dans le même temps, Molière et La Fontaine » (Benezit). - [Relié avec] : Londerseel, Assuerus van. (Anvers 1572 – Rotterdam 1635). Probablement élève de Peter van des Borcht. On lui doit notamment des bois dans le goût de Virgile Solis pour des figures de la Bible. On lui doit également des gravures d’ornements pour les joailliers, ainsi que cette remarquable suite de masques et danseurs constituée de 9 estampes à pleine page, vers 1600, à ce jour non répertoriée. - [A la suite] : Actions glorieuses de S. A. S. Charles Duc de Lorraine, 13 planches. - [Puis] : Médailles du Règne de Louis XV (par Godonnesche ou Fleurimont), 56 planches. - [Et] : Recueil de différentes Charges dessigné à Rome par Carloo Vanloo, Peintre du Roy, c. 1737. 12 planches. Premier tirage de cette superbe suite de 12 portraits d’hommes en pied de nations étrangères, gravées par Le Bas et Ravenet d’après Van Loo. - 30 planches diverses et portraits de la Marquise du Châtelet et de Voltaire, gravés par Fessard, J. P. Le Bas, Frère, Surugue, Aveline, d’après Jeaurat, Boucher, Wouvermans, Téniers, Watteau, etc. - [Enfin] : Bouchardon. Études prises dans le bas peuple, ou les cris de Paris, 1737-1746. In-4. 60 planches. Ce rare recueil se compose de 5 séries de 12 planches chacune, représentant les types des différents marchands et ouvriers ambulants de Paris. Ces planches, dessinées par Bouchardon, ont été gravées à l’eau-forte par Caylus et terminées par Fessard. Il est très rare de trouver une suite complète des 60 estampes. Première suite, 1737. Et se vendent à Paris chez Fessard. 1 pte. tache sur 1 pl. Seconde suite, 1737. Chez Fessard. Troisième suite, 1738. Chez Fessard. Quatrième suite, 1742. Chez Fessard. Cinquième suite, 1746. A Paris chez Joullain. « Très beau recueil dû au comte de Caylus » (Cohen). La signature du Comte de Caylus, auquel est dû ce très beau recueil, se retrouve encore, à la pointe, sur certaines des planches. La cinquième suite figure ici avant les numéros, comme dans le célèbre exemplaire Charles Cousin, Lord Carnavon, cité par Cohen en maroquin de Hardy. L’illustration superbe, montée sur onglets, constitue la plus belle suite de dessins exécutée par Bouchardon. Mêlant dans ceux-ci élégance et réalisme, ce grand sculpteur, excelle dans la représentation d'attitudes très variées et très vivantes et reproduit ainsi d'une façon très personnelle et pittoresque le monde si multiforme des petits métiers ambulants de Paris au début du XVIIIe siècle : porteur d'eau, vendeur de moulins, écosseuse de pois, écureuse, lanterne magique, vendeur de lardoirs, vinaigre, vendeuse de cerneaux, de petits pâtés, de pommes cuites au four, porteur d'eau, crocheteur, cureur de puits, raccomodeur de seaux et de souflets, mort aux rats, peaux de lapin, lacets, cotterets, balais, café, barbier, vielleux, diseuse de bonne aventure, tonnelier, crieuse de vieux chapeaux etc... Des planches de très belle facture, très pures et à très grandes marges. Remarquable et unique ensemble de 192 gravures sur très grand papier fort des XVIIe et XVIIIe siècles vraisemblablement réunies et reliées vers 1750 pour le roi Louis XV ou son entourage proche comme l’atteste la fleur de lys surmontée de la couronne royale frappée en queue du dos. Les estampes coûtèrent 64 livres, prix considérable au XVIIIe siècle et la reliure 4 livres. De la bibliothèque Edouard Rahir avec ex-libris adjugé au prix de 6 000 F le 7 mai 1935 (n°732).
CANAL, Giovanni Antonio, "Il Canaletto" (artiste) et BRUSTOLON Giambattista (graveur).
Reference : LCS-17633
Première édition et premier état de cette somptueuse et magnifique suite de vues sur Venise. Venice, Ludovico Furlanetto, 1763. In-folio oblong de (1) f. de titre et 21 planches à pleine page. Demi-vélin à coins, dos lisse avec titre manuscrit en long, non rogné. Reliure de l’époque. 715 x 512 mm.
Première édition et premier état de cette somptueuse et magnifique suite de vues sur Venise. Katalog Berlin, 2713 ; Constable, Canaletto, II, pp. 673-674 ; Nessi, Una Venezia di Carte, p. 31, n° 16 (« Presentazione del Doge… »). Condition d’une insigne rareté : immense de marges (715 x 512 mm), à l’état neuf, conservé dans sa reliure italienne en demi-vélin à coins strictement de l’époque. Aucun autre exemplaire en cette condition n’est apparu sur le marché depuis un demi-siècle. Suite formée d’un titre d’après Visentini et de 20 vues, l’ensemble gravé au burin et à l’eau forte par Giovanni Battista Brustolon. 14 de ces vues sont des adaptations d’après Canaletto et Visentini ; 4 sont inspirées par Marieschi et 2 sont des interprétations d’après Giambattista et Giuseppe Moretti. Par leur format, plus grand, et le souci du détail, ces 20 vues sont considérées comme des œuvres d’art à part entière ; les marchands de gravures ne s’y sont pas trompés. Au XVIIIe siècle, Venise « La Serenissima » avait perdu son rôle important dans le jeu économique et politique de l’Europe en faveur de la Grande Bretagne et des Pays-Bas. Derrière les riches façades des palazzi, Venise se détériorait. Le gouvernement était incapable de supporter ses artistes par des commandes pour l’exécution des travaux de décoration des grand palais et édifices. Au début du XVIIIe siècle les aristocrates anglais et des nobles de l’Allemagne se profilent comme les plus importants connaisseurs et acheteurs de l’art des peintres Vénitiens. Venise et son charme intemporel deviennent au XVIIIe siècle le sujet de prédilection de peintre appelés védutistes. Leurs vues de Venise se répandent très vite en Europe et font de la veduta, encore de nos jours, le genre le plus collectionné et l’un des plus aimés du public. Maître incontesté de la veduta, Giovanni Antonio Canal, dit Canaletto (Venise 1697-1768) marque son siècle en fixant dans ses toiles les différents visages de la Venise de son temps. Outre la Place Saint-Marc et le Grand Canal, immédiatement reconnaissables, on y retrouve les campi et les églises de Venise, ainsi que des vues de la lagune, de la vie quotidienne ou des jours de fête. Peintre de théâtre dans sa jeunesse, Canaletto parvient à associer un grand sens de la mise en scène, une technique de la perspective qu’il maîtrise parfaitement, et de très séduisants effets de lumière. On doit à Canaletto les plus belles et les plus novatrices vues de Venise, sources d’inspiration pour ses suiveurs. « Suite de très belles Vues Vénitiennes gravées par J.B. Brustolini. 1763. Gr. fol. En largeur. Cette œuvre contient les vues les plus belles de cette ville fameuse et de ses environs, en 20 feuilles. » (Catalogue des estampes du cabinet de ma dame la comtesse d’Einsiedel, n°248). Michele Marieschi (1710-1743), presque de la même génération que Canaletto, est considéré comme son brillant rival. Mais il se distingue par son goût des angles de vue inattendus. Natif de Val Zoldone, Brustolon (ca 1716-1796) s’installa à Venise dès 1733 en tant qu’illustrateur de livres pour G. Zerletti A. Girardi, Fr. Pitteri et les deux grands éditeurs, A. Zatta et G. Pasquali. Apprenti dans l’atelier de Giuseppe Wagner, Brustolon fut initié très jeune à l’art de la gravure et devint l’un des grands graveurs vénitiens du XVIIIe siècle. Probablement à l’initiative du consul Smith, Furnaletto le sollicita par la commande de cette série de gravures sur Venise et son architecture. Leur deuxième réalisation fut une série connue sous le nom de « Feste Dogali », commencée en 1766 et achevée en 1779, qui consiste en une suite de 12 vues. Exemplaire du premier état, avant les numéros, dans sa présentation à plat, la plus convoitée. Les vues sont d’un beau tirage, elles sont à toutes marges. Le papier a conservé toute sa fraîcheur. Quelques traces de plis. Une 21ème planche, « Presentazione del Doge in an Marco », a été ajoutée au volume. Provenant de la série « Feste Dogali », elle est du tirage avec numéro, soit le deuxième sur quatre. Recensement des suites Canaletto-Brustolon complètes passées sur le marché international depuis 30 ans, conservées dans leur reliure de l’époque : -Sotheby’s, 5 décembre 1996. Maroquin d’époque aux armes Foscarini. Exemplaire ne comprenant que le titre et les 11 vues du premier volume. Restauration à une planche. Vendu 52 700 $ il y a 18 ans. -Sotheby’s, année 2003 : complet du frontispice et des 20 vues de l’édition originale de 1763 ; ajoutées les deux vues de l’édition définitive de 1778 et une œuvre incomplète de 18 planches sur 24 des vues de Venise de Sandi de 1779. Reliure postérieure du XIXe siècle ; exemplaire très rogné 430 x 310 mm contre 512 x 720 pour le présent exemplaire. Second état avec le numéro des estampes pour la suite de Canaletto contre premier état avant les numéros pour le présent exemplaire. Vendu en cet état 66 000 € il y a 10 ans. Provenance : étiquette de rangement ancienne, non identifiée.
PLANTADE (G. M. L.) - POUX (François-Thierry) - ROZIER (Laurent-François) - ANGLADA (Joseph) - AURICOSTE (J.-B.) - LALAURIE (J.-M.) - LABOURDETTE (Jean-Baptiste) - BAUMES (J.-B. Th.) - MILLIOZ (Humbert) - BOYER de La LANDIE (Marie-Antoine) - FREYSSINOUS (Amable) - DUPORTAL (Antoine-Simon) - CAMPAIGNOLLE (Bernard-Laurent) - DUPONT (Jean-Louis) - CLARIS (Joseph) - [collectif] - MIQUEL (Albertus / Albert) - POINTEAU (Ludovicus-Josephus).
Reference : 28779
(1797)
A Montpellier, chez G. Izar et A, Ricard, an V [1797] - A Montpellier, chez G. Izar et A, Ricard, an VI [1798] - A Montpellier, chez G. Izar et A, Ricard, an VI [1798] - A Montpellier, de l'Imprimerie de F. Seran / Gras et Coucourdan, an V [1797] - A Montpellier, chez G. Izar et A, Ricard, an V [1797] - A Montpellier, chez G. Izar et A, Ricard, an V [1799] - A Montpellier, de l'Imprimerie de Fontenay-Picot, an VI [1798] - S.l., s.é., an VII [1801], S.l., de l'Imprimerie des Sciences et Arts, an III [1795] - S.l., s.é., s.d. ; S.l., s.é., s.d. ; A Paris, de l'Imprimerie de Bossange / Masson et Besson, 1803 ; A Montpellier, de l'Imprimerie de F. Seran / Gras et Coucourdan, an VI [1798] - A Montpellier, de l'Imprimerie de Jean Martel Aîné, an VII [1799] - A Montpellier, de l'Imprimerie de Jean-Germain Tournel, an VI [1798] - A Montpellier, chez G. Izar et A, Ricard, an VI [1798] - A Montpellier, chez G. Izar et A, Ricard, an VI [1798] - A Montpellier, de l'Imprimerie de Tournel Neveu, an II [1792] - Monspelii, apud Johannem-Franciscum Picut, an II [1792] - Monspelii, apud Bonnariq / Avignon & Migueyron, s.d. - Monspelii, apud G. Tournel, an II [1792]. Recueil composite relié en 2 vol. au format pt in-8 (196 x 121 mm) de 67, 87, 45, 79, 77, 57, 51, 38 pp. et 1 f. n.fol., 1 f. n.fol. et 65 pp. ; 7, 11, 37, 32, 40, 62 pp. et 1 f. n.fol. ; 38 pp. et 1 f. n.fol., 45, 99., 1 f. n.fol. et 1 f. bl. ; 21 pp. et 1 f. bl. ; 13 pp. et 1 f. bl. ; 7 et 7 pp. Reliures uniformes de l'époque de pleine basane marbrée fauve, filet à froid encadrant les plats, dos lisses ornés de doubles filets verticaux dorés, caissons d'encadrement dorés, filets dorés roulettes dorées, larges fleurons dorés, semis d'étoiles dorées, pièces de titre de maroquin brique, pièces de tomaison de maroquin ébène, titre doré, tomaison dorée, palette dorée en queue, tranches mouchetées.
Important recueil recelant 22 textes principalement imprimés à Montpellier et/ou en rapport avec l'Ecole de Santé sise dans la même ville. ''Dans les nouveaux locaux de l'école de santé acquis à la Révolution, le professeur Jean-Antoine Chaptal y fait construire un théâtre d'anatomie. Médecine et chirurgie sont réunies, comme en témoigneront quelques décennies plus tard l'inauguration des deux statues encadrant la porte d'entrée de la Faculté : Lapeyronie et Barthez, le chirurgien et le médecin emblématiques de la Faculté au XVIIIème siècle. La période 1794-1803 correspond à une phase féconde de réformation et à l'enseignement des idées scientifiques nouvelles.'' (Wikipedia). Discrets travaux de vers affectant la reliure du second volume. Petite cerne en marge inférieure du premier recueil de ce même volume. Rares rousseurs dans les corps d'ouvrage. Du reste, belle condition.
Précieux volume, entièrement gravé, représentant les uniformes de l’infanterie de l’armée du roi Louis XV. A Paris, chez Lattré, graveur ordinaire de Monseigneur le Dauphin, s.d. [1767].Petit in-8 de (4) ff. dont 1 titre gravé aux armes et chiffres royaux aquarellés et 3 ff. de table gravés, 120 planches à pleine page.Maroquin rouge, triple filet doré encadrant les plats, dos lisse orné de fleurons dorés, pièce de titre de maroquin olive. Reliure de l’époque.182 x 108 mm.
Première édition, premier tirage.Précieux volume, entièrement gravé, représentant les uniformes de l’infanterie de l’armée du roi Louis XV.Le recueil comprend une première suite très rare de 103 estampes représentant les Gardes Française et suisse, 3 estampes non numérotées, les différents régiments d’infanterie, de 1 à 93 et les troupes légères par rang d’ancienneté, de 94 à 101.Notre exemplaire ne comporte pas de planche 40 mais comporte bien 103 planches comme indiqué dans la table et contrairement à l’exemplaire décrit par Glasser qui ne mentionne que 99 planches.Ouvrage rarissime complet de ses 103 planches.« Planches gravées, un personnage par planche, pas de fond. Double trait carré. Dimensions du cadre 0,07 sur 0,129.Frontispice dans un cadre colorié et orné des armes royales.99 planches.Série fort intéressante remarquablement gravée. Très supérieure au point de vue de l’exécution à la série de Montigny ». (Glasser, Costumes militaires, Catalogue des principales suites de costumes militaires français, p. 262, qui ne mentionne que 99 planches.« Cette belle suite est très rare complète ». Colas, Bibliographie du costume, n°2936.A cette suite ont été jointes la suite de 8 estampes consacrées aux régiments de marine français ainsi que la suite de 9 estampes consacrées aux régiments des colonies.Le recueil présente ainsi en premier tirage les figures relatives aux régiments de l’Ile de France, de L’Ile Bourbon, du Port Louis, de Pondicheri, de l’Amérique, du Cap, du Port au Prince, de la Martinique, et de la Guadeloupe.Le titre raffiné orné des armoires et chiffres royaux ainsi que les 120 estampes ont été finement aquarellés à l’époque.Superbe exemplaire, revêtu de son séduisant maroquin rouge de l’époque.
1926 Paris Editions Henry Lemoine 1926/27, 157p.pagination continue,1re suite Première suite (op. 51) [1926]: Prélude, Andantino, Caprice, Intermezzo, Requiem æternam, Marche nuptiale 31p+catalogue ed.. 2me suite Deuxième suite (op. 53) [1926]: Lamento, Sicilienne, Hymne au soleil, Feux follets, Clair de lune, Toccata. 3me suite Troisième suite (op. 54) [1927]: Dédicace, Impromptu, Etoile du soir, Fantômes, Sur le Rhin, Carillon de Westminster. 4me suite Quatrième suite (op. 55) [1927]: Aubade, Résignation, Cathédrales, Naïades, Gargouilles et Chimères, Les cloches de Hinckley. First Edition Gavoty, S. 309. - Pièces de Fantaisie pour Grand Orgue en 4 Suites. Troisième suite (Op. 54). Paris, Lemoine (V.Nr. 22,099) [1927]. 44 S. 4 volumes of music ; 34 cm
Introductory notes in French and English.Analysis and notes in French and English.INFOLIO reliure demi chagrin rouge frotté avec manque,titre conservé,bon état interieur,rare réunion;