Paris, Hachette, 1945 ; in-8, 348 pp., broché. Très bon état.
Reference : C6131
Librairie Alphabets
M. Philippe Henry
03 83 32 77 37
Conforme à la vente par correspondance.
Hachette, 1945, in-8°, 348 pp, notes et références, broché, couv. illustrée, bon état (Histoire du Consulat et de l'Empire, IX).
"L'auteur se propose, en 317 pages de texte et dix-huit chapitres, de raconter l'histoire de l'Empire, depuis le lendemain du mariage avec Marie-Louise jusqu'à la veille de la naissance du roi de Rome. Pour les affaires d'Espagne seulement, il pousse le récif jusqu'à la victoire stérile de Masséna à Fuentes de Onoro (3 juin 1811). Les opérations militaires en Espagne sont scindées en plusieurs chapitres épars : X, XI, XIII et XVI. De même les craquements successifs de l'alliance russe. M. Madelin, après Vandal et Sorel, fait peser péremptoirement sur Alexandre la responsabilité de la rupture, que Thiers imputait surtout à Napoléon (chapitres VIII, XIV, XVII et XVIII). Les sept premiers chapitres sont centrés sur la disgrâce de Fouché..." (Revue d'histoire de l'Église de France, 1946) — "Cette œuvre magistrale du célèbre historien forme le plus important ouvrage qui ait été publié sur cette grande époque de notre histoire. Elle éclipse de très loin les ouvrages analogues précédemment parus, et constitue pour cette période un monument définitif dont la valeur ne saurait être égalée." (L'Editeur)
Tallandier, 1975, in-8°, 296 pp, 43 gravures, reliure plein cuir grenat éditeur, dos et plats ornés d'un décor doré aux symboles impériaux, tête dorée, reliure dessinée par Mercher d'après un exemplaire original datant de l'époque impériale, dorures du dos en partie effacées sur notre exemplaire, bon état (Histoire du Consulat et de l'Empire, IX)
"L'auteur se propose, en 317 pages de texte et dix-huit chapitres, de raconter l'histoire de l'Empire, depuis le lendemain du mariage avec Marie-Louise jusqu'à la veille de la naissance du roi de Rome. Pour les affaires d'Espagne seulement, il pousse le récif jusqu'à la victoire stérile de Masséna à Fuentes de Onoro (3 juin 1811). Les opérations militaires en Espagne sont scindées en plusieurs chapitres épars : X, XI, XIII et XVI. De même les craquements successifs de l'alliance russe. M. Madelin, après Vandal et Sorel, fait peser péremptoirement sur Alexandre la responsabilité de la rupture, que Thiers imputait surtout à Napoléon (chapitres VIII, XIV, XVII et XVIII). Les sept premiers chapitres sont centrés sur la disgrâce de Fouché..." (Revue d'histoire de l'Église de France, 1946) — "Cette œuvre magistrale du célèbre historien forme le plus important ouvrage qui ait été publié sur cette grande époque de notre histoire. Elle éclipse de très loin les ouvrages analogues précédemment parus, et constitue pour cette période un monument définitif dont la valeur ne saurait être égalée." (L'Editeur)
Hachette, 1949, in-8°, 348 pp, notes et références, reliure demi-chagrin brun-roux, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres dorés, couv. et dos conservés, bon état (Histoire du Consulat et de l'Empire, IX)
"L'auteur se propose, en 317 pages de texte et dix-huit chapitres, de raconter l'histoire de l'Empire, depuis le lendemain du mariage avec Marie-Louise jusqu'à la veille de la naissance du roi de Rome. Pour les affaires d'Espagne seulement, il pousse le récif jusqu'à la victoire stérile de Masséna à Fuentes de Onoro (3 juin 1811). Les opérations militaires en Espagne sont scindées en plusieurs chapitres épars : X, XI, XIII et XVI. De même les craquements successifs de l'alliance russe. M. Madelin, après Vandal et Sorel, fait peser péremptoirement sur Alexandre la responsabilité de la rupture, que Thiers imputait surtout à Napoléon (chapitres VIII, XIV, XVII et XVIII). Les sept premiers chapitres sont centrés sur la disgrâce de Fouché..." (Revue d'histoire de l'Église de France, 1946) — "Cette œuvre magistrale du célèbre historien forme le plus important ouvrage qui ait été publié sur cette grande époque de notre histoire. Elle éclipse de très loin les ouvrages analogues précédemment parus, et constitue pour cette période un monument définitif dont la valeur ne saurait être égalée." (L'Editeur)