Paris, Institut de France, 1969 ; in-4, 13 pp., broché. Jean Cassou commence sa vie, comme secrétaire de Pierre Louys. Ensuite tout en continuant à écrire et publié ses livres, il devient haut fonctionnaire et dirige le Musée National d'Art Moderne. En 1940, il entre dans la Résistance et échappe à la Gestapo. Son pseudonyme de résistant est Jean Noir. Il était le beau-frère de Jankelevitch. État neuf.
Reference : C1867
Librairie Alphabets
M. Philippe Henry
03 83 32 77 37
Conforme à la vente par correspondance.
Prosveta 1993 poche. 1993. Broché. 196 pages. Bon Etat intérieur propre
<p>La conférence sur le mystère de la création artistique est le prolongement idéal de la nouvelle La collection invisible : ce sont deux textes fascinants, différents mais en correspondance entre eux. Ils sont écrits par Zweig sur le fil autobiographique et ils reflètent l'esprit de collectionneur de l'auteur, fasciné par les manuscrits, les partitions, les esquisses et les dessins préparatoires des peintures.<br>Après le succès de La collection invisible parue chez Pagine d'Arte dans la collection ciel vague, nous sommes heureux de publier le texte de la conférence sur «le mystère de la création artistique« lue par l'auteur à New York en 1939. De même que La collection invisible, Le mystère de la création artistique est illustré par un choix d'images réunies dans un portfolio.</p> Tesserete, 2017 Pagine d’Arte 64 p., broché. 11 x 22
Neuf
Couverture souple. Broché. 115 pages. 21 x 21 cm.
Livre. Merveilleux urbain éditeurs et les auteurs, Mai 1995.
Fayard, 1999, in-8°, 350 pp, notes, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état
Notre ignorance quasi totale de l'identité des sculpteurs de Chartres, de l'architecte de la Sainte-Chapelle ou des enlumineurs des grands manuscrits à peintures n'est pas le fruit de lacunes documentaires, mais du faible intérêt porté par les hommes du Moyen Age à ceux que nous appelons les artistes. Plus exactement, ils estiment que le seul véritable créateur est le commanditaire, celui qui a voulu l'œuvre et l'a financée, et c'est lui que nomment les sources. Intellectuel (quand il est homme d'Eglise) ou bien détenteur de la puissance publique, il n'est pas un mécène qui permet à l'artiste de s'exprimer, mais un maître d'ouvrage qui trace un programme précis à l'intention du peintre, du sculpteur ou de l'architecte. De ceux-ci il n'attend qu'une seule chose : l'excellence manuelle dans l'exécution. Dans les derniers siècles de l'Antiquité, la création artistique se trouve entre les mains du pouvoir impérial, puis passe, sous les Mérovingiens et plus encore sous les Carolingiens, à celles des rois, enfin à celles des abbés et des évêques, avant de revenir – comme dans l'Allemagne ottonienne ou la France de Saint Louis – au roi. C'est seulement avec l'apparition, aux XIVe et XVe siècles, d'une société civile qui se détache peu à peu de l'Eglise et de la monarchie que la création s'affirme en tant que telle. Le mouvement est alors lancé : avec le Quattrocento italien puis la Renaissance, on assiste au véritable sacre de l'artiste. L'approche, très novatrice, d'Alain Erlande-Brandenburg enrichit la réflexion traditionnelle sur le jeu des styles ou des formes, elle affine la reconstitution (chronologique) des filiations et des influences ; elle s'inscrit dans la contingence, dans l'Histoire elle-même. Elle libère l'histoire de l'art de la froideur et de l'abstraction qui parfois la menacent et lui confère la vitalité du vécu humain.
Genève, Skira, 1948-1950 ; 3 volumes in-4 brochés, couvertures rempliées et illustrées, 162 + 229 + 258 pp., brochés, sous couvertures illustrées rempliées. Collection complète des trois essais de la Psychologie de l'art illustrés de nombreuses reproductions en noir et en couleurs, sous un très beau coffret de pleine toile orné d'une illustration et du titre au dos et au premier plat. Petits frottements aux couvertures, ex-libris. Petit ENVOI AUTOGRAPHE signé d' André MALRAUX, sur la premier tome. Bon exemplaire.