Paris, Delamarche, 1838 ; 336/475 mm, 1 pp., une feuille. Carte provenant d'un Atlas du 19ème siècle. Bon état.
Reference : A84
Librairie Alphabets
M. Philippe Henry
03 83 32 77 37
Conforme à la vente par correspondance.
Tours : Presses Universitaires François-Rabelais / Maison des Sciences de l'Homme "Villes et territoires", Collection "Perspectives historiques" N°7, 2004. 274 pages illustrées en noir, index des sources, index des auteurs modernes, index général. Broché 16x24.
Les cités grecques et la guerre : l'exemple de la guerre d'Aristonicos / L'entraînement militaire des éphèbes dans les cités grecques d'Asie mineure à l'époque hellénistique : nécessité pratique ou tradition atrophiée / Les cités grecques d'Asie mineure et le mercenariat à l'époque hellénistique / Les cités s'entraident dans la guerre : historique, cadres institutionnels et modalités pratiques des conventions d'assistance dans l'Asie mineure hellénistique / Sièges et défense de Pergame : nouvelles réflexions sur sa topographie et son architecture militaires / Une culture militaire en Asie mineure hellénistique ? / Phrourarques et "phrouroi" des cités grecques d'Asie mineure à l'époque hellénistique /
Colloque international de Besançon, 18-19 Octobre 2019. LOCATELLI Lauriane, PIGUET Émilie, PODESTA Simone (dir.)
Reference : 23928
ISBN : 9782848678504
<p><meta charset="utf-8">L’objectif de ce colloque interdisciplinaire, organisé par l’ISTA (UBFC) en octobre 2019, est d’étudier les stratégies et les mécanismes mis en œuvre dans les processus de construction des identités anciennes, individuelles et collectives, en Asie mineure. Les seize contributions s’échelonnent duviii<sup data-mce-fragment="1">e</sup>siècle avant J.-C. auiii<sup data-mce-fragment="1">e</sup>siècle après J.-C. Des philologues, des historiens, des historiens de l’art et des archéologues éclairent de leur réflexion les multiples facettes de la notion d’identité (définitions, représentations et appropriation, expression et matérialité, identités civiques).</p><p>SOMMAIRE:</p><p>Partie 1: Définitions, représentations et appropriation des identités</p><p>Les Lyciens qui «viennent de loin, de la Lycie»: la tradition homérique et la création d’une identité lycienne face aux Grecs</p><p> SimonePodesta</p><p>Être Carien à la fin de l’époque hellénistique. Hellénisation et particularismes locaux dans le sud-ouest de l’Asie Mineure</p><p> FabriceDelrieux</p><p>Il popolo della “dolce vita”: stereotipi etnici ed identità dei Lidi nelle fonti greche</p><p> FrancescaGazzano</p><p>Les inscriptions néo-phrygiennes: une revendication d’identité ethnique</p><p> MilenaAnfosso</p><p>La construction identitaire en Pisidie: ethnonymes, héros éponyme et parenté mythique</p><p> LaurianeLocatelli</p><p>Une identité perse en Asie Mineure occidentale: quelques réflexions</p><p> JanTavernier</p><p>«Ô Méandre Sauveur, sois-nous secourable». La place des fleuves dans le processus de constructions identitaires des communautés anatoliennes</p><p> StéphaneLebreton</p><p>Strabo and the Caucasian Albanians: some Preliminary Remarks</p><p>GiustoTraina</p><p>Partie 2: Expression et matérialité de l’identité</p><p>Le don de Mithra: l’identité religieuse de Mithridate VI Eupatôr</p><p> GillesCourtieu</p><p>Aelius Aristide, dévot excentrique ou produit de son époque? Écriture de soi et constructions identitaires dans les Discours sacrés</p><p> ÉmiliePiguet</p><p>«Toutes derrière et elle devant». Les figures impériales dans le «panthéon» d’Éphèse</p><p> NicoleBelayche</p><p><i>Theoi Pisidikoi</i>,<i>Thea Pisidikè</i>: culte, territoire et identité</p><p> GuyLabarre</p><p>L’affichage des identités individuelles et collectives dans les sanctuaires grecs d’Asie Mineure à travers l’étude des statues</p><p> SophieMontel</p><p>Identity of the Jewish Community in Roman Aeolis: Remarks on Two Inscriptions from Izmir in Western Turkey</p><p> ErgunLafli</p><p>Partie 3: Identité etcommunautés civiques</p><p>Honneurs funéraires et honneurs posthumes pour les citoyens romains d’origine italienne en Asie Mineure</p><p> XavierMabillard</p><p>Les élites de la colonie romaine d’Alexandreia Troas: identités et acculturations sous le Haut Empire</p><p> HenriFernoux</p> Besançon, 2021 Presses Universitaires de Franche-Comte 438 pages, quelques illustrations, broché. 22 x 28
Neuf
BRUN Patrice, CAPDETREY Laurent, FROHLICH Pierre.
Reference : 23877
ISBN : 9782356133724
<p>Le « long IIIe siècle » a.C. est un pont entre un monde issu des conquêtes d'Alexandre et l'arrivée des Romains sur la scène « internationale » (ca 334-188 a.C.). La partie occidentale de l'Asie Mineure est alors une région où les monarchies naissantes, issues du démembrement de l'empire d'Alexandre par ses successeurs, tentent de consolider les territoires qu'elles se sont constitués. Il s'agit essentiellement des Séleucides et des Lagides, pour lesquels cette région est un front disputé. Y maintenir ses positions, en gagner de nouvelles, les administrer, en percevoir des revenus, les développer, les défendre nécessite pour les dynastes et les rois hellénistiques de nouer avec les cités grecques des relations qui ne soient pas de pure domination politique et militaire. Sur ce plan, l'Asie Mineure constitue aussi le laboratoire le mieux documenté du monde hellénistique par les sources à notre disposition. Au IIIe siècle, sa frange occidentale est intégralement couverte par un chapelet de cités grecques, qui sont de mieux en mieux connues par une documentation qui ne cesse de s'accroître. Elle montre un épanouissement de la vie civique dans des cités anciennes, encouragé par les nouvelles conditions géopolitiques : constructions monumentales dans le cadre d'un urbanisme renouvelé, inscriptions, monnayage connaissent alors une véritable efflorescence.<br>Des dynamiques plus profondes voient les sociétés de la région se transformer sous l'effet de nouvelles normes culturelles et institutionnelles que l'on ne peut plus résumer, comme on le faisait il y a quelques décennies, en un simple processus d'hellénisation. Issu d'un colloque international tenu à l'université Bordeaux Montaigne, l'ouvrage propose un florilège de recherches actuelles et souvent inédites sur ces questions. Réunissant les contributions de 25 spécialistes de l'Asie Mineure, archéologues, historiens – épigraphistes ou numismates, il offre un état des lieux qui dépasse les frontières disciplinaires."</p> Bordeaux, 2021 Ausonius 410 p., broché. 22 x 29
neuf
P., Jules Tallandier, 1935, in-12, 221 pp, broché, bon état
"M. Boris Wartanoff fut « prisonnier de guerre en Asie-Mineure » dans les conditions suivantes : De nationalité russe, mais ayant été élevé en Suisse, il éprouva, à vingt-trois ans, l'impérieux désir de connaître son pays. D'autant que certaines fréquentations lui avaient inspiré quelque sympathie à l'égard du gouvernement des Soviets. Comment il dut déchanter, il l'a raconté dans un précédent ouvrage, “Un Russe retrouve son pays”. Il y vit sa famille réduite à une situation déplorable. Lui-même, pour n'avoir pas assez dissimulé son intention de fuite, fut enfermé dans les geôles du Guépéou. Il en sortit pourtant (après quelles difficultés !) et sous les balles bolchévistes, en passant la frontière turque non loin de la frontière persane, sans papiers et sans grandes ressources. Mais il ignorait que, partie pour se garer d'un afflux de bolchevisants miséreux et propagandistes, partie en vertu d'un traité, par quoi elle s'est engagée à rendre aux Soviets ceux de leurs nationaux qui se seraient réfugiés sur son territoire, la Turquie traquait les malheureux Russes en rupture de ban. D'autre part en mauvais termes avec l'Allemagne, elle traitait en espions les sujets allemands abordant la Turquie sans papiers et par l'une de ses zones militarisées, comme venait de le faire Boris. Celui-ci, heureusement, quoique dans un piteux état, comprit vite la chose et se prétendit mordicus citoyen français, ne demandant qu'à être mené auprès d'un consul français. Quelles difficultés, quelles souffrances il dut encore endurer ; traversant toute l'Asie-Mineure à pied, encadré de gendarmes durs et brutaux, avant d'aborder Constantinople, puis d'être « rapatrié » jusqu'à Marseille et Paris, c'est ce que son livre nous raconte, sans rancune ni grandiloquence. On ne reprendra plus notre homme à faire le voyage de Russie, aller et retour. Ce.retour nous aura du moins valu, à nous, d'intéressantes impressions sur l'Asie-Mineure d'après-guerre et sur tant de villes qui passèrent, au cours des âges, entre tant de mains différentes : Erzéroum, Trébizonde, etc." (Revue des lectures, 1935)
Paris, Ducollet, 1840-1841. 2 vol. in-8, XII-456pp.-612pp., brochage éditeur, non coupé, non rogné, petit manque de papier à la couverture du tome 1 et dernière de couv. tome 2.
Édition originale. "L'ouvrage se compose de 35 lettres adressées principalement à son frère Jean Poujoulat et à Joseph Michaud qui avaient réalisé ensemble la Correspondance d'Orient. Baptistin envisage son œuvre comme une sorte de continuation. Les lettres à Michaud partent d'Athènes en 1836 ; celles à son frère sont datées d'Alep à partir d'octobre 1837. La dernière lettre, datée de la basse Égypte, est suivie d'un résumé des événements en Syrie de 1838 à 1841. Les lettres décrivent principalement l'Asie mineure et la Syrie et comprennent des comptes rendus des guerres kurdes-turques et une longue description de Palmyre. P1-28