Le Mans un siècle de passion avec l'automobile Club de l'Ouest 1906-2006 de Michel Bonté, François Hurel, Jean Luc Ribémon chez l'automobile Club de l'Ouest en 2006. Édition originale numéroté 1018/4700/5000 exemplaires. Livre illustré de nombreuses photos, dessins de François Bruère. Le livre mesure 25x31 cm et pèse 5 kg (c) pour 736 pages. Reliure d'éditeur avec jaquette sous emboîtage . Le livre est en très bon état, dos insolé, un bout de scotch, emboîtage avec accrocs.
Reference : 011
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[François Bruère] - Michel Bonté, François Hurel et Jean Luc Ribémon
Reference : 223
(2006)
Le Mans un siècle de passion avec l'automobile Club de l'Ouest 1906-2006 de Michel Bonté, François Hurel et Jean Luc Ribémon chez l'automobile Club de l'Ouest en 2006. Édition Originale Numérotée 496/4700/5000 exemplaires. Le livre est illustré de nombreuses photos, dessins de François Bruère. Le livre mesure 25x31 cm et pèse 5,000 kg (c) pour 736 pages. Reliure d'éditeur avec jaquette sous emboîtage. Le livre est en très bon état à comme neuf.
Cinquante ans après les premiers balbutiements de l'AC de l'Ouest, sur le sol sarthois, un mauvais concours de circonstances engendra la plus horrible catastrophe humaine jamais enregistrée autour d'un circuit. Au-delà de son bilan dramatique, la tragédie du 11 juin 1955 mit en exergue les excès et les carences du sport automobile rattrapé par les puissances excessives des moteurs, les vitesses mal maîtrisées des voitures et les insuffisances avérées de la sécurité sur les circuits. Avant même les résultats de l'enquête, il était patent que le moment de tourner la page était venu. Pour demeurer au calendrier international il faudrait désormais offrir des structures mieux adaptées. Et en juillet 1956, TACO et les 24 Heures du Mans prirent un nouveau départ. Ce fut là le premier volet de l'ère moderne, la préface de la grande révolution qui allait totalement remodeler le paysage des circuits du Mans et reprogrammer les calendriers. Dans la foulée de la première piste de karting (1960), naquit ainsi le circuit Bugatti, au crépuscule de la saison 1965. Le temps a passé, l'endurance a épuisé son lustre d'antan, les sports mécaniques ont diversifié les pôles d'intérêt et au Mans, les 24 Heures ont repris de la consistance. En automobile, contre vents et marées, l'endurance n'a pas fléchi. Aujourd'hui, c'est Le Mans qui donne le cap, tirant d'un même élan les championnats ALMS et LMS.