‎Milan Kundera, Marcel Aymonin‎
‎La plaisanterie‎

‎FOLIO (2 juillet 2020)‎

Reference : lc_84988


‎Livre à l'état de neuf, très frais sans annotations ni défauts dissmulés.‎

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‎KUNDERA (Milan)‎

Reference : 30000

(1968)

‎La Plaisanterie‎

‎ Le premier livre de Kundera, préfacé par Aragon. Tirage de tête, broché. Paris, Gallimard, coll. « Du monde entier », (27 septembre) 1968. 1 vol. (150 x 215 mm) de 344 p. et [2] f. Broché, non coupé. Édition originale de la traduction française par Marcel Aymonin. Préface de Louis Aragon. Un des 37 premiers exemplaires sur vélin pur fil (n° 9) - seul papier. ‎


‎L’un des romans les plus célèbres de Kundera, et l’un de ceux qui expriment le mieux sa désillusion concernant le Parti communiste, dont il fut lui-même exclu. Ce n’est certes pas la moindre de ses affinités avec son héros : un jeune homme désabusé, victime d’une mauvaise plaisanterie qui change brutalement le cours de son existence, sans qu’il puisse y remédier. L’histoire est celle de Ludwik Jahn, étudiant et activiste communiste, séparé de sa petite amie par un séminaire organisé par le Parti, qui envoie à sa belle une carte postale écrite sous le coup de la colère, contenant ces simples mots : « L’optimisme est l’opium du genre humain ! L’esprit sain pue la connerie. Vive Trotski ! ». Alertés, les membres du Parti ne goûtent pas ce que Ludwik présente comme une « plaisanterie », et l’excluent. Renvoyé de l’Université, il se retrouve ensuite enrôlé de force dans l’armée. « Mon roman fut couvert d’éloges mais lu d’une façon unilatéralement politique. La faute en incombait aux circonstances historiques du moment (le roman a paru deux mois après l’invasion [des troupes soviétiques à Prague]), à la préface d’Aragon (qui n’a parlé que de politique), [au] prière d’insérer, à la traduction (qui ne pouvait qu’éclipser l’aspect artistique du roman), et aussi à la transformation de la critique littéraire occidentale en commentaire journalistique hâtif, assujetti à la dictature de l’actualité » (« Note de l’auteur » dans la réédition de La Plaisanterie, Gallimard, coll. « Folio », p. 461). Achevée le 5 décembre 1965, La Plaisanterie ne sera publiée qu’au printemps 1967 à Prague et introduite en France un an plus tard, grâce à Antonin Liehm, un intellectuel tchèque qui apporte clandestinement une copie dactylographiée à Aragon. « Sans [elle], La Plaisanterie n’aurait jamais vu le jour en France et mon destin aurait pris un chemin tout à fait différent (et bien moins heureux, sûrement). Au moment où mon nom était gommé des lettres tchèques », ajoute-t-il, cette parution « a lancé mon roman dans le monde entier […]. Liehm s’adressa donc à Aragon, lequel le recommanda à Claude Gallimard avec toute son autorité et promit de donner une préface […]. Le comité de lecture de Gallimard refuse dans un premier temps la publication du roman et c’est sur l’intervention directe d’Aragon et de Claude Gallimard que le feu vert est finalement donné ». Bel exemplaire de ce titre important et rare. Petites piqûres marginales en couverture. ‎

Librairie Walden - Orléans
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Phone number : 09 54 22 34 75

EUR4,500.00 (€4,500.00 )

‎ZOLA Emile‎

Reference : 79111

(1882)

‎Très importante lettre autographe signée inédite adressée à Léon Carbonnaux à propos de la fausse publication d'une pré-originale d'Au bonheur des Dames : "Comment avez-vous pu vous laisser prendre à la plaisanterie imbécile du Panurge ?" ‎

‎Médan 1er décembre 1882, 13,6x21,4cm, 2 pages sur un double feuillet - enveloppe jointe.‎


‎Lettre autographe signée d'Emile Zola- apparemment inédite - rédigée à l'encre noire sur un double feuillet et adressée à Léon Carbonnaux, chef de rayon au Bon Marché.Pliures inhérentes à l'envoi. Enveloppe jointe. On ne connaît que deux lettres de Léon Carbonnaux à Emile Zola : elles sont consultables dans la numérisation du dossier préparatoire du Bonheur des Dames mis en ligne par la Bibliothèque nationale de France. On sait cependant grâce à ce même dossier, dans lequel figure une longue section intitulée « Notes Carbonnaux », que ce chef de rayon au Bon Marché fournit à Zola un nombre important d'informations, notamment sur les murs des employés, leur rémunération et surtout sur les techniques d'inventaire. Les deux hommes se sont sans doute rencontrés alors qu'Emile Zola, avide de renseignement quant au fonctionnement des grands magasins, mena une enquête de terrain en février et mars 1882. Très importante lettre inédite apportant un éclairage nouveau sur la publication pré-originale d'Au bonheur des dames. Dans sa biographie d'Emile Zola, Henri Mitterrand écrit: «Avant même que le roman ne soit achevé, Zola en donne un extrait au Panurge, en novembre; et le 23 novembre 1882, le Gil Blas en annonce la proche publication dans ses colonnes.» Notre lettre, évoquant justement cette prétendue prépublication dans le Panurge, atteste qu'il s'agit tout bonnement d'une plaisanterie et dément ainsi Henri Mitterrand : «Mais votre lettre m'étonne et me chagrine un peu. Comment avez-vous pu vous laisser prendre à la plaisanterie imbécile du Panurge ? Vous n'avez donc pas remarqué que tout le numéro est une « farce » ? Pas un des articles n'est authentique, ce sont des pastiches, et même fort mal faits.» En effet, la lecture dudit extrait ne peut tromper le lecteur assidu de Zola, malgré l'introduction que les journalistes ont rédigée: «Après Nana et Pot-Bouille, ces épopées du vice élégant et du vice bourgeois, M. Emile Zola a voulu faire celle de l'honnêteté: Au bonheur des Dames, qui va paraître prochainement, est une peinture rassérénante de l'innocence et de la vertu; le plus grand succès est assuré à cette nouvelle uvre dont les personnages se meuvent dans le décor d'un grand magasin de nouveautés; le haut commerce parisien n'attendra pas longtemps son observateur et son peintre. Nous remercions Emile Zola d'avoir bien voulu, tout spécialement pour Panurge, découper quelques feuilles de son ouvrage encore inédit, et nous sommes fiers de donner les premiers au public un extrait de cette uvre d'une si haute moralité et d'un si puissant intérêt.» (Panurge n°4 du 22 octobre 1882) Les phrases de ce faux texte zolien sont exagérément longues et le Panurge a pris la liberté de doter le roman d'un personnage principal masculin, Denis Mouret, amalgame de Denise (véritable héroïne du livre à paraître) et Octave Mouret. On peut penser qu'il s'agit d'un texte composé à partir d'éléments de Pot-Bouille, précédent volume des Rougon Macquart où Octave - futur patron du Bonheur des Dames - exerçait la fonction de commis avant sa fulgurante ascension sociale: «Depuis déjà plus de deux mois, il était attaché au rayon des «soieries et fourrures»; il arrivait le matin à sept heures pour ne rentrer chez lui, sa journée finie, qu'à neuf heures du soir, quand Paris tout entier bruissait étrangement d'une animation fiévreuse de plaisir et de jouissance, et, en s'en retournant, il suivait badaudant les grands boulevards encombrés, où flambaient les cafés pleins de filles, et où, sur l'asphalte, à la porte des théâtres, se bousculait la foule avec, ça et là, dans la rumeur vague du piétinement et de la presse, l'intonation voyou des cris des marchands de programmes et des vendeurs de billets.» (Panurge) Dans sa lettre du 30 novembre 1882, Léon Carbonnaux - lisant l'extrait du Panurge - avait reproché à Zola ses erreurs: «Nulle part excepté aux Fabriques de France plan des Halles on n'arrive à 7h du matin. C'est au plus tôt 7h œ mais plus souvent 8h et encore. Il n'y a pas au Louvre de comptoir de soieries et fourrures. [...] Il vous est si facile d'être exact que les erreurs de ce genre surtout si elles se répétaient ne vous seraient pas pardonnées.» Le Maître se défend de ces remontrances dans notre lettre: «L'extrait donné n'est pas de moi, il est plein d'inexactitudes comme vous l'avez remarqué, sans compter qu'il est inepte au point de vue littéraire. Détrompez ceux qui ont pu m'attribuer une pareille chose.» Lettre fondamentale pour le rétablissement de la vérité et la compréhension d'un point de détail de l'annonce faite dans Panurge de la publication du onzième volume de la fresque naturelle et sociale d'Emile Zola. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR4,500.00 (€4,500.00 )

‎HEUZE (Paul).-‎

Reference : 35353

‎La plaisanterie des animaux calculateurs.‎

‎ P., Editions de France, 1928, in 12 broché, 207 pages ; couverture illustrée défraichie). (Fechner, p.261). ‎


‎PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................‎

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Phone number : 04 77 32 63 69

EUR17.00 (€17.00 )

‎ELZEAR, Pierre; [ BONNIER ORTOLAN, Elzéar ]‎

Reference : 63944

(1891)

‎[ Lot de 7 lettres autographes signées et d’un portrait photographique signé dont une très intéressant sur le «féminisme littéraire» ] L.A.S. d’une page: «Mon Cher Hauser, ne trouvez-vous pas qu’il est temps que cette plaisanterie finisse? Suis-je trop exigeant en vous priant de veiller à ce que les tableaux confiés à vous ou à votre ami Mr. Bender soient [… ] chez ma mère, qui revient dans huit jours? Devrais-je faire le voyage exprès? Avec surprise, mais sans rancune»; 1 L.A.S. de 2 pages manuscrites (sur 2 ff.) datée de Paris le 20 octobre 99: «Mon cher Hauser, Vous me demandez ce que je pense du féminisme littéraire. On ne peut songer à interdire la prose et la poësie au sexe faible. Dans l’écriture la femme laide trouve parfois un soulagement, le femme âgée une consolation. Ca et là, j’en conviens, de vrais talents surgissent. On déclare alors que ces talents sont «virils». C’est ce qui fut dit pour George Sand. Mais permettez-moi de me situer à un point de vue spécial. Quand je vois une femme, que son cœur, ses sens, une enveloppe aimable ont destiné à la passion, se servir d’un porte-plume autrement que pour écrire à l’absent des phrases délicieusement incohérentes, je me sens fort attristé. Que de biens perdus! L’amour, en effet, prime toute littérature. La vie est courte, et il n’y a pas de gloire au monde qui vaille l’échange d’un baiser sincère. Or on ne peut être à la fois une femme de lettres et une femme de tendresse. Mlle de Pougy elle-même n’a pu réaliser ce double idéal. Juliette – pas plus que Roméo d’ailleurs – n’a songé à écrire un recueil de sonnets et à faire antichambre chez un éditeur. Et la femme journaliste? Je n’évoque son spectre qu’avec terreur. Elle peut devenir une force; je préfèrerais qu’elle restât une adorable faiblesse […] ».; 1 L.A.S. d’une page, datée du 20 février 1906. Il s’excuse d’avoir dû rester s’occuper de sa mère souffrante; «Le directeur du [ … ] ne paraît pas décidé absolument à faire le Peuple Souverain. Et voici pourtant l’époque des élections. Il faudrait peut-être que vous, le principal auteur, donnassiez un coup d’épaule. Qu’en pensez-vous? [… ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 13 décembre 1908: «Mon cher ami, Fernand Sarnette dépasse toutes les limites de l’impudence, vis-à-vis de moi et vis-à-vis d’autres. Si vous ne l’avez pas fait, veuillez lui écrire 14 rue des Sts Pères pour lui réclamer dans un délai de quatre jours Le Peuple Souverain, sinon nous aviserons la Société des Auteurs. Emile Rochard et moi en faisons autant de notre côté [ … ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 29 janvier 1909: «Mon cher Hauser, [ … ] Sarnette fait le mort. Il faudrait, comme Rochard et moi, écrire un mot à M. Gangnat, agent général des Auteurs Dramatiques, [ … ] Henner, qui va convoquer le délinquant avant de le traduire devant la Commission»; avec 2 autres L.A.S.‎

‎[ Lot de 7 lettres autographes signées et d’un portrait photographique signé dont une très intéressant sur le «féminisme littéraire» ] L.A.S. d’une page datée au crayon par une autre main de 1882: «Mon Cher Hauser, ne trouvez-vous pas qu’il est temps que cette plaisanterie finisse? Suis-je trop exigeant en vous priant de veiller à ce que les tableaux confiés à vous ou à votre ami Mr. Bender soient [… ] chez ma mère, qui revient dans huit jours? Devrais-je faire le voyage exprès? Avec surprise, mais sans rancune»; 1 L.A.S. de 2 pages manuscrites (sur 2 ff.) datée de Paris le 20 octobre 99: «Mon cher Hauser, Vous me demandez ce que je pense du féminisme littéraire. On ne peut songer à interdire la prose et la poësie au sexe faible. Dans l’écriture la femme laide trouve parfois un soulagement, le femme âgée une consolation. Ca et là, j’en conviens, de vrais talents surgissent. On déclare alors que ces talents sont «virils». C’est ce qui fut dit pour George Sand. Mais permettez-moi de me situer à un point de vue spécial. Quand je vois une femme, que son cœur, ses sens, une enveloppe aimable ont destiné à la passion, se servir d’un porte-plume autrement que pour écrire à l’absent des phrases délicieusement incohérentes, je me sens fort attristé. Que de biens perdus! L’amour, en effet, prime toute littérature. La vie est courte, et il n’y a pas de gloire au monde qui vaille l’échange d’un baiser sincère. Or on ne peut être à la fois une femme de lettres et une femme de tendresse. Mlle de Pougy elle-même n’a pu réaliser ce double idéal. Juliette – pas plus que Roméo d’ailleurs – n’a songé à écrire un recueil de sonnets et à faire antichambre chez un éditeur. Et la femme journaliste? Je n’évoque son spectre qu’avec terreur. Elle peut devenir une force; je préfèrerais qu’elle restât une adorable faiblesse […] ».; 1 L.A.S. d’une page, datée du 20 février 1906. Il s’excuse d’avoir dû rester s’occuper de sa mère souffrante; «Le directeur du [ … ] ne paraît pas décidé absolument à faire le Peuple Souverain. Et voici pourtant l’époque des élections. Il faudrait peut-être que vous, le principal auteur, donnassiez un coup d’épaule. Qu’en pensez-vous? [… ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 13 décembre 1908: «Mon cher ami, Fernand Sarnette dépasse toutes les limites de l’impudence, vis-à-vis de moi et vis-à-vis d’autres. Si vous ne l’avez pas fait, veuillez lui écrire 14 rue des Sts Pères pour lui réclamer dans un délai de quatre jours Le Peuple Souverain, sinon nous aviserons la Société des Auteurs. Emile Rochard et moi en faisons autant de notre côté [ … ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 29 janvier 1909: «Mon cher Hauser, [ … ] Sarnette fait le mort. Il faudrait, comme Rochard et moi, écrire un mot à M. Gangnat, agent général des Auteurs Dramatiques, [ … ] Henner, qui va convoquer le délinquant avant de le traduire devant la Commission»; avec 2 autres L.A.S.‎


‎Intéressant lot d’autographes de l’écrivain Pierre Elzéar. Petit-fils du juriste Joseph Ortolan, frère du naturaliste Gaston Bonnier, Pierre Elzéar (1848-1916) verra l’un de ses poèmes publié dans le «Le Tombeau de Théophile Gautier», l’un des grands témoignages du mouvement parnassien. On peut le voir dans le célèbre tableau de Fantin-Latour, le Coin de table, où il est représenté, portant un haut-de-forme, debout à Gauche, aux côtés d'autres poètes comme Paul Verlaine et Arthur Rimbaud. Bon ensemble (prix du lot, non séparable). Les lettres sont adressés à l'écrivain de Toulon et félibre Fernand Hauser (1869-1941)‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR495.00 (€495.00 )

‎VOISENON (Claude-Henri de Fusée de).‎

Reference : 15559

(1756)

‎La Plaisanterie de campagne - Comédie en un acte en vers libres.‎

‎, , Ca 1756. Manuscrit in-4 (228 x 193 mm) de (14) ff. autographes à 34 lignes par page montés sur onglet, demi-maroquin bleu à coins, dos à quatre nerfs, titre doré en long, signet, tranches dorées (reliure du XIXe siècle). ‎


‎Manuscrit autographe établi par Claude-Henri de Fusée de Voisenon de La Plaisanterie de campagne comédie créée sous ce titre au Théâtre Italien au mois de juin 1756 mais attribuée à Favart - puis mise en musique par Philidor et représentée en 1769 sous son titre définitif L'Amant déguisé ou le Jardinier supposé.« Cette pièce est imprimée dans le dixième volume du Théâtre de Favart (1772) avec des changements » selon une note manuscrite postérieure - contemporaine de la reliure - rédigée sur la première page : c'est Charles-Simon Favart lui-même qui rendit à Voisenon sa part dans une note reproduite dans ses Mémoires : « On a calomnié l'union intime qui s'établit entre [Favart] et l'abbé de Voisenon ; cette liaison qui formée à l'époque la plus brillante et la plus heureuse de leur vie, dura longtemps encore après la mort de Madame Favart. La jalousie qui se plaît à contester tous les succès, insinua que ceux de M. Favart étaient dus aux talents de M. de Voisenon et que c'était là le motif du bon accueil que l'abbé recevait dans sa famille. Les ouvrages de ces deux aimables écrivains portent un cachet si différent, qu'il est aisé maintenant de reconnaître la vérité. M. Favart qui poussait la probité jusqu'au stoïcisme, éclaircit ses faits par la note suivante (1769) : M. l'abbé de Voisenon, indépendamment des ouvrages qu'il a composés dans tous les genres, a fait encore en société avec M. Favart, le Jardinier supposé et l'Amitié à l'épreuve… Note écrite de la main de M. Favart » (Mémoires et correspondance littéraires, dramatiques et anecdotiques de C.-S. Favart, publiés par A.-P.-C. Favart, 1808, I p. LXX).Il s'agit vraisemblablement d'une ultime copie avant la création de la pièce en 1756 dont une dizaine de vers sont encore biffés et corrigés - signalons parmi les personnages Frontin le Jardinier qui deviendra Mathurin dans les versions suivantes.L'abbé Claude-Henri de Fusée de Voisenon (1708-1775) surnommé Greluchon par Voltaire à cause de sa santé fragile, composa surtout des comédies en vers, un opéra représenté en 1760, des poèmes à sujets bibliques, des romans et des contes dont le ton libertin surprenait chez un abbé. Il réussit cependant à se faire élire à l'Académie française le 4 décembre 1762, pour succéder à Crébillon père. Grâce à Choiseul, il fut un protégé de Mme de Pompadour et en 1771 devint le ministre plénipotentiaire du Prince-évêque de Spire.Remarquable pièce manuscrite intéressant l'histoire littéraire et dramatique du XVIIIe siècle. Petites traces de frottement sur le dos de la reliure. ‎

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