‎Camille Gautier, Laura Ancona, Thomas Baas, Jeanne Detallante, Stéphane Kiehl, Jean-François Martin, Christophe Merlin, Sébastien Plassard, Lili Scratchy, Lisa Zordan‎
‎Dans l'atelier des artistes‎

‎100 artistes du Hainaut se sont de nouveau fait tirer le portrait par le photographe Raymond Saublains. Ces photos ont ete rassemblees dans un album "L'Oeil dans l'atelier - Les Artistes du Hainaut II" ‎

‎, IP Editions, 2011 relie, cartone, 116 pages au format 25 x 24 cm, 101 photographies en bichromie, couverture cartonnee. Avant-propos de Georges Vercheval et notices biographiques. ISBN 9782875090232.‎

‎Raymond Saublains photographie les artistes, La, Raymond se reconnait. ? Je suis ne pres de la premiere maison du peuple de Belgique. A la Basse-Hestre. Et puis, par hasard je suis arrive au militantisme et au syndicalisme. ? Un engagement qui l?a amene loin. ? C?est, apres quelques detours, comme ca que je suis arrive a la province, aux Affaires Culturelles. ? C?est la que demarre la carriere de photographe de Raymond, quand ? il met sur pied un secteur audiovisuel qu?il dirigera ?, toujours selon sa biographie. ? Non, pas vraiment, retorque-t-il encore, j?ai toujours ete interesse par la photo. Mon premier cliche date de 1952. J?ai photographie Big Bill Broonzy, un jazzman. ? Depuis, le monde de la photo a bien evolue et Raymond avec lui. ? Je suis passe au numerique qui est plein de possibilites. Je me suis aussi mis a la retouche sur ordinateur, une etape obligatoire. Par contre, certaines choses n?ont pas change. Je photographie toujours les jazzmen et les artistes. Et je travaille toujours en noir et blanc. ? C?est d?ailleurs la photographie en noir et blanc que Raymond enseigne depuis 20 ans aux passionnes du coin.? La photo en noir et blanc a plus de cachet. Je dois construire mes images, en penser la lumiere et faire ressortir les contrastes. ? Une passion somme toute logique pour un homme lui aussi plein de contrastes... de l?avant-propos de Georges Vercheval. Liste des artistes ; Phil ABRAHAM, Catherine AMATHEU, Manu ANCIAUX , Paul ANDRE, Pol AUTHOM, Johan BAUDART, Eloi BAUDIMONT, Alain BORNAIN, Roger CANTRAINE, Raoul CAUVIN, Pol CHARLES, Dominique CORNIL, Michel COUTURIER, Alain DARTEVELLE, Jean-Claude DE RUDDER, Gabriel DEBLANDER, Maryline DEBLIQUY, Patrick DELPERDANGE, Laurence DERVAUX, Jean-Paul DESSY, Nathalie DOYEN, Franco DRAGONE, Jean-Luc DUBART, Philippe DUBIT, Andre-Paul DUCHATEAU, Monique DUSSAUSSOIS, Francois EMMANUEL, Luc ETIENNE, Patrick EVERAERT, Jean-Luc FAUCONNIER, Mario FERRETTI, Nadine FIEVET, Claude FOUBERT, Claude GALAND, Bruno GERARD, Xavier HANOTTE , Nicole HAUREZ, Benedicte HENDERICK, Rene HENOUMONT, Veronique HOET, Francoise HOUDART, Rene HUIN, Jacques IEZZI, Francis JACOBS, Robert JOLY, Isabelle KABATU, Thierry KNAUFF, Claude LAROCK, Jeannine LARUELLE, Ariane LE FORT, Jacky LECOUTURIER, Eric LEDUNE, Gabriel LEFEBVRE, Lionel LHOTE, Francois LIENARD, Francoise LISON - LEROY, Malika MADI, Michel MAINIL, Cecile MASSART, Olivier MASSET-DEPASSE, MATADOR, Philippe MATHY, Michael MATTHYS, Jacques MERCIER, Thierry MICHEL, Johan MUYLE, Andrea NEVE, Carl NORAC, Colette NYS - MAZURE, Juan PAPARELLA, Sylvie PICHRIST, Francoise PIRART, Annie PREAUX, Marc QUAGHEBEUR, Bruno ROBBE, Sylvie RONFLETTE, Jean-Jacques ROUSSEAU, Richard ROUSSELET, Claudine RUELLE, Girolamo SANTOCONO, Philippe SAUCEZ, Louis SAVARY, Jean-Pierre SCOUFLAIRE, SERDU (Serge DUHAYON), Olivier SONCK, Pierre STAQUET, Marin STREBELLE, Fredy TAMINIAUX, Thierry TILLIER, Bernard TIRTIAUX, Pascale TISON, Raphael VAN LERBERGHE, Nathalie VAN LIPPEVELDE, Pol VANDROMME, Stephane VEE, Jacques VIESVIL, Lionel VINCHE, Marie-Jose VISEUR, Michel VOITURIER, Deborah WATTELAINE, Marthe WERY‎

‎Marcel-Lenoir, peintre et fresquiste, ses écrits Paris, cahiers de la douce France, n°2, 1928, in 8°, broché, 108 pp., couverture défraîchie, intérieur bel état par ailleurs. Bien rare Marcel-Lenoir , pseudonyme de Jules Oury , né le 11 mai 1872 à Montauban et mort le 6 septembre 1931 à Montricoux , est un peintre , fresquiste , bijoutier , enlumineur , graveur et dessinateur français . Né dans une famille d'orfèvre, Marcel-Lenoir se rend à Paris en 1889. Il y fréquente l' École des arts décoratifs , et les cours du fresquiste Paul Baudoüin à l' École nationale supérieure des beaux-arts , puis découvre les artistes du Moyen Âge français et italiens au musée de Cluny puis au musée du Louvre . Passionné par le symbolisme , il fréquentera le poète Paul Fort et les milieux Rose-Croix , il découvre dans le même temps les ouvres du Suisse Arnold Böcklin , de l'Anglais Edward Burne-Jones et de Pierre Puvis de Chavannes . Il abandonne le symbolisme vers 1902-1903 pour une inspiration plus proche de la nature : la matière de ses ouvres devient plus empâtée, les teintes plus vives, la perspective se déforme progressivement, la couleur est posée en à-plat avec un effet d'étagement vertical de la composition, audaces formelles imaginées par les Nabis vingt ans auparavant. Puissant coloriste dont les effets de matière évoquent les Fauves notamment d'Europe centrale. En recherche perpétuelle de nouvelles solutions stylistiques, son ouvre est une recherche d'un âge d'or qui ne cesse de parcourir la peinture française depuis la fin du xix e siècle. Ayant atteint la notoriété de son vivant, il fait figure aujourd'hui de ces artistes délaissés, il est vrai que son attitude intransigeante et même provocante jusqu'à l'excès ne favorisera pas sa diffusion. Pratiquant dans sa vie personnelle l'austérité matérielle voire l'indigence avec sincérité, il ne cessa de railler les critiques et les institutions officielles 1 . Personnage excentrique promenant à Montparnasse une silhouette de Christ pour cabaret artistique, il fut d'une ambition au-dessus de ses forces et hanté de grandeur inaccessible 2 . En 1913, il s'installe à Bruniquel , louant une grange, monte une équipe de six maçons pour travailler à ses fresques de grandes dimensions. Il y réalise 27 fresques durant l'année 1916. Il change de technique et la composition de son mortier ce qui donnera à son travail une grande douceur dans les tons. En 1920, Marcel-Lenoir fonde « L'Institut d'Esthétique Contemporaine » dans son atelier du n o 115 de la rue Notre-Dame-des-Champs à Paris et y réalise l'année suivante une exposition. Il transfère cet atelier au n o 86 de la même rue en 1928. Il reçoit, en 1920, la commande du Couronnement de la Vierge pour l'Institut catholique de Toulouse. Il y incorpore une série de portraits des notables de la ville, ainsi que son propre portrait et ceux de sa femme et de son fils. Monseigneur Germain Breton y est représenté en prêtre, en tête de la procession. D'autres personnalités de Toulouse ou de ses connaissances comme Camille Soula , le comte Henri Bégouen , Henri de Lingua de Saint-Blanquat ou Jacques Adrien Crouzel , y figurent. Il meurt le 6 septembre 1931 et repose dans le cimetière de Pechcausen. Il était marié et père de famille. Le musée Marcel-Lenoir au château de Montricoux à Montricoux ( Tarn-et-Garonne ) conserve un important fonds de son ouvre. Merci wikipédia‎

‎L'oeil n° 53 - Une grande dame et ses artistes par Jeanine Delpech, Un sculpteur d'hier et d'aujourd'hui par Henry R. Hope, Dans la lumière impressionniste par Rosamond Bernier, Flaxman et Wedgwood par Roderick Cameron, L'Atelier 17 par Michel Conil‎

‎Sedo S.A.. Mai 1959. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 87 pages. Nombreuses illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 700-LES ARTS‎

‎Sommaire : Une grande dame et ses artistes par Jeanine Delpech, Un sculpteur d'hier et d'aujourd'hui par Henry R. Hope, Dans la lumière impressionniste par Rosamond Bernier, Flaxman et Wedgwood par Roderick Cameron, L'Atelier 17 par Michel Conil Lacoste Classification Dewey : 700-LES ARTS‎

‎"DUCCIO BELLOSI (Luciano) Duccio. La Maesta. Traduit de l'italien par Louis Bonalumi. Coll. ""Chefs-d'oeuvre de l'art italien. Paris, Gallimard, 1999. In-4 carré, rel. d'édition pleine-toile marron, jaquette et étui illustr., 363pp., nombr. reprod. photogr. en couleurs à pleine-page, bibliogr. Bien bel exemplaire Fondateur de l'école siennoise, Duccio di Buoninsegna (vers 1260-1318 ou 1319) exerça une influence considérable sur nombre d'artistes. Duccio exécutera plusieurs Maestà avant d'aboutir à l'apogée de son oeuvre, la Maestà, magistrale, qui lui est commandée en 1308, destinée au maître-autel du dôme de Sienne. Le grand retable fut transféré de l'atelier du peintre à la cathédrale le 9 juin 1311, mais il se peut que la prédelle ait été achevée un peu plus tard.La complexité de la structure d'ensemble, comparée à la forme simple des parements que l'on mettait sur les autels au XIIIe siècle, est très frappante et fait déjà penser aux polyptyques du XIVe siècle par les riches décorations de la prédelle et les flèches du couronnement. Ce chef-d'oeuvre a été fragmenté en 1771 : la face antérieure fut placée dans le transept gauche de la chapelle Sant'Ansano la face postérieure, dans le transept droit de la chapelle San Vittore en revanche, les panneaux de la prédelle et les flèches de couronnement, transformés en tableaux séparés, furent placés dans la sacristie. Les deux panneaux principaux, les panneaux de la prédelle ainsi que plusieurs flèches sont aujourd'hui au Museo dell'Opera della Metropolitana de Sienne. Quant aux panneaux manquants, on les retrouve dans diverses collections (Londres, Washington, Madrid). Cet ouvrage rassemble donc pour la première fois, en insistant sur d'extraordinaires détails, tous les éléments du chef-d'oeuvre de Duccio. 260 illustrations 293x263x42mm Les envois hors de l'union européenne sont payants"‎

‎MAISTRE (Xavier de ) Oeuvres complètes. Paris, Garnier Frères, Libraires-Editeurs, s.d. (vers 1860); fort in-8°, XXXVI-472 pp., belle reliure demi-chagrin, tranches dorées. Edition illustrée pour la première fois, précédée d'une notice sur l'auteur, par M. Sainte-Beuve de l'Académie française. Brunis très légèrement et uniformément. Agréable exemplaire Voyage autour de ma chambre, Expédition nocturne autour de ma chambre, le Lépreux de la cité d'Aoste, les Prisonniers du Caucase, la Jeune Sibérienne. Xavier de Maistre (1763-1852) naquit dans une famille aristocratique savoisienne & provençale. Il commença une carrière militaire & rédigea le fameux Voyage autour de ma chambre (1794). En 1798, il combattit contre les révolutionnaires en Italie. En 1799, il rejoignit l'armée russe, et ouvrit à Moscou un atelier de peinture qui devint à la mode. Ses paysages connurent un certain succès. En 1810, il combattit dans le Caucase, fut nommé général en 1813, ce qui lui valut d'être plus connu en Russie qu'en France. En 1825, il revint en France, où ses écrits sur le Caucase obtinrent un succès d'estime. Illustrée de vignettes sur acier, sous serpente de protection, d'après les dessins de G. STAAL, gravées par les meilleurs artistes.‎