‎BIANCHI LAETITIA‎
‎POSADA‎

‎Monografia las obra de Jose Guadalupe Posada grabador mexicano con introduccion de Diego Rivera.‎

‎Mexico, Mexican Folkways (Frances Toor, Paul O’Higgins et Blas Vanegas Arroyo), 1930. In folio de[8]-208-[8] pages, pleine percaline verte, illustration en rouge et noir sur le premier plat, imprimé sur papier vergé. ‎

‎406 gravures de Posada, soit tout ce qui a pu être rassemblé à l’époque. Au verso du titre figure une photo de Posada avec son fils. Préface de F. Toot et introduction de Diego Rivera. «Of the fifteen thousand cuts that Posada is said to have made for the leading publishing house of popular literature Vanegas Arroyo, all that were not worn out, or stolen during the years of revolution, are, so far as is know, published here. ».Frontispiece portrait and 406 woodcuts by Posada, all that could be collected at the time. Preface by F. Toot and introduction by Diego Rivera. « Of the fifteen thousand cuts that Posada is said to have made for the leading publishing house of popular literature Vanegas Arroyo, all that were not worn out, or stolen during the years of revolution, are, so far as is know, published here. ». ‎

‎Inside the dwelling in Valencia / Vista interior de una posada en el Reyno de Va‎

‎Inside the dwelling in Valencia / Vista interior de una posada en el Reyno de Valencia. In Russian (ask us if in doubt)/Vnutrenniy vid zhilishcha v Valensii / Vista interior de una posada en el Reyno de Valencia.. E6‎

‎Belgian art 1830-1930. Artist's monographs. General publications. Exhibition catalogues. Series. (Book sale catalogue POSADA art Books).‎

‎.: 2. (Brussels), Posada art books, (1991), 26.5 x 19 cm, 208 pp, sewn, orig.wrapper, ca 190 b.w. ills, ca 3300 titles, index.‎

‎Posada. Confession d'un squelette.‎

‎<p>Comme tant d'autres artistes précipités un peu hâtivement dans une fosse commune, José Guadalupe Posada (1852-1913) n'a connu de postérité qu'une fois mort. Trop occupé à graver quelque vingt mille dessins pour trouver le temps d'écrire sa propre légende, c'est donc son squelette qui nous raconte d'outre-tombe l'artiste qu'il fut de son vivant. Vie et mort du plus grand des graveurs mexicains : Les plus belles gravures du maître mexicain illustrent ce récit biographique de Samuel Dégardin. Une imagerie tenace s'en dégage, peuplée de révolutionnaires et de squelettes. Posada est aujourd'hui considéré comme le plus grand des graveurs mexicains, ses dessins inspirent quotidiennement les illustrateurs, dessinateurs, graphistes, tatoueurs et créateurs du monde entier. Il faut donc croire que la carrière d'un artiste peut se prolonger au-delà du trépas et vivre sa vie en faisant un pied de nez à la mort. </p> Paris, 2019 Martin de Halleux 95 p., relié. 17,5 x 24,5‎

‎Neuf‎

‎José Guadalupe Posada. Exposicion-Homenaje.‎

‎Mexico, Museo del Palacio de Bellas Artes, 1980. In-folio de 37 + 7 + 11 pages, organisées en répertoire, le nom de l'auteur du texte apparaissant dans la bande de papier dépassant, le tout retenu par un ruban rose, rose aussi la reproduction du bois en première page, 20 feuillets de planches. Les textes sont en papier blanc, les repères du répertoire en papier kraft. Chemise en forme d'enveloppe couleur kraft, premier plat orné d'une calavera et du titre en noir. Pli au rabat de l'enveloppe, quelques taches discrètes à la chemise mais très bonne condition générale. ‎

‎Illustré de 20 bois en noir avec encadrement rose sur papier kraft, glissées dans une pochette au second contreplat. Catalogue de l'exposition d'hommage à Posada en octobre 1980 au Museo del Palacio de Bellas Artes de Mexico. Le graveur mexicain José Guadalupe Posada (1852-1913) est surtout connu pour ses dessins de "calaveras" (squelettes). Mais nombre de ses gravures ont pour thème l’arrogance des riches ou des militaires et les malheurs des petites gens. Sur Wikipédia, on le trouve d'ailleurs dans la liste des "Artistes et créations artistiques inspirées de l'anarchisme". ‎