OLIVIER
Reference : SVBLIVCN-9782823621280
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782823621280
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M. Alexandre Bachmann
Passage du Rond Point 4
1205 Genève
Switzerland
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Paris Editions du Grenier 1934 in-12 broché un volume, broché marron (paperback) in-douze Editeur (16,5 x 12,7 cm), dos muet, 1ère de couverture imprimée en noir, toutes tranches non-rognées, orné d'un collage de l'Auteur contrecollé en frontispice, Couverture un peu usagée, intérieur en bon état, 45 pages, 1934 Paris, Editions du Grenier Editeur,
Camille Bryen, pseudonyme de Camille Briand, né à Nantes le 17 septembre 1907 et mort à Paris le 8 mai 1977 est un poète, peintre et graveur français. Dans les années 1925-1927, Camille Briand fait partie de la bohème nantaise, utilisant le pseudonyme d'« Aristide », sans doute par allusion à son illustre homonyme, lui aussi d'origine nantaise. Il apparaît notamment en couverture de la Revue nantaise d'avril 1927, portraituré par Henri Bouyer, avec le commentaire : "Type nantais, le Bohème Aristide". Camille Bryen s'installe peu après à Paris. Attiré par les surréalistes, il publie en 1927 un premier recueil de poèmes, Opopanax puis, en 1932, Expériences, mêlant poèmes, dessins et collages. Il présente en 1934 sa première exposition personnelle...........Note : ÉDITION ORIGINALE tirée à 500 ex. sur vélin numérotés de 56 à 555 (N°350), outre 55 ex. sur papier alfax-navarre + 5 ex. H.C. sur japon....... Bel exemplaire.....RARE......en bon état (good condition). bon état
1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul.
Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...
, Brepols Publishers, 2018 Hardcover, 192 pages., 127 colour ill., 300 x 366 mm, ISBN 9782503581224.
If there is one work, in all of Saint-Saens musical output that supremely captures the disposition so typical of the composer, it is the Carnival of the Animals. The collection De main de maitre showcases the facsimiles of the most prestigious scores of the Music Department of the National Library of France. Camille Saint-Saens? extremely long career as a virtuoso, as a brilliant pianist and organist (no fewer than seventy-six years of concerts) and his daunting catalogue of works (close to six hundred are known) have helped shape the image of him as a tutelary figure, omnipresent in the musical landscape of his time, the uncontested master of French music, showered with honours and glory, yet the champion of what was, in the young 20th century, an outmoded aesthetic. Such an image ignores, however, that from the outset of his career, at the end of the 1850s, until the 1890s, Saint-Saens was, on the contrary, regarded in the artistic world as an agitator, as a propagator of new ideas and as an intermediary between French and Germanic cultures. Republican from his earliest days, he was a major figure in musical life, involved in many concert societies, most notably the Societe nationale de musique, which he founded in 1871. He was also a polemicist, whose quill was much feared and who used the press as his vehicle of choice, to disseminate his ideas, attract public attention, and conquer new audiences. Similarly, if the image of the ?official? Saint-Saens, at home with the stage and the institutions and their etiquette, has endured, that of the ?intimate? Saint-Saens, known by a faithful few for his sparkling conversation, his sharp humour and taste for puns, has been lost. If there is one work, in all of Saint-Saens? musical output that supremely captures the disposition so typical of the composer, it is the Carnival of the Animals. Dedicated to the autograph manuscript of Camille Saint-Saens? famous Carnival of the Animals (1835-1921), this volume sheds a distinctive light on the musician?s personality. Completed in February 1886, The Carnival of the Animals was created for friends and performers close to Saint-Saens and was performed about fifteen times between 1886 and 1894 to a small audience. Because Camille Saint-Saens feared that his ?zoological fantasy? would damage his reputation, the work was published in its entirety only after his death. Since then, its immense popularity has continued to grow, so much so that it is now enjoyed by music lovers and the general public alike. Presented by Marie-Gabrielle Soret, a specialist of Camille Saint-Saens, who provides a detailed description of the work and the context of its creation, the facsimile includes the fourteen pieces of The Carnival of the Animals. It reveals the composer?s handwriting, all the performance directions as he noted them, but also to the playful animal drawings with which he decorated his score ? a fish for ?Aquarium, the skeleton of a dinosaur for ?Fossiles?, the pale blue pencil silhouette of a swan to illustrate the famous Swan. La collection ? De main de maitre ? presente les fac-similes des partitions les plus prestigieuses du departement de la Musique de la Bibliotheque nationale de France. Dedie au manuscrit autographe du celebre Carnaval des animaux, de Camille Saint-Saens (1835-1921), ce volume eclaire la personnalite du musicien sous un jour particulier. Acheve en fevrier 1886, Le Carnaval des animaux fut cree pour des amis et interpretes proches de Saint-Saens et joue a une quinzaine de reprises entre 1886 et 1894 aupres d?un public restreint. Camille Saint-Saens craignant que cette ? fantaisie zoologique ? ne nuise a sa reputation, l?oeuvre ne fut publiee dans son integralite qu?apres la mort du compositeur. Depuis lors, son immense succes n?a cesse de croitre, si bien qu?elle est aujourd?hui appreciee tant par les melomanes que par le grand public. Presente par Marie-Gabrielle Soret, specialiste de Camille Saint-Saens, qui nous livre une description detaillee de l?oeuvre et du contexte de sa creation, le fac-simile comprend les quatorze pieces du Carnaval des animaux. Il permet d'acceder a la graphie du compositeur, a l'ensemble des indications telles qu?il les a notees, mais aussi aux facetieux dessins animaliers dont il emailla sa partition ? un poisson pour ? Aquarium ? , un squelette de dinosaure pour ? Fossiles ? , ou encore la pale silhouette au crayon bleu d'un cygne pour accompagner la celebre piece dediee a cet oiseau. Marie-Gabrielle Soret est conservateur en chef au Departement de la musique a la Bibliotheque nationale de France, responsable de la coordination du traitement des grands fonds d'archives et collections des XIXe et XXe siecles, au Service des collections patrimoniales du Departement de la musique (fonds de compositeurs, interpretes, institutions et societes musicales).
Editions Albert Morancé, Paris, 1913-1925
Deux portfolios in-plano, sous couverture cartonnée (avec le 1er plat orné d’un dessin d’époque gothique) fermés chacun par 3 cordonnets. Les dos toilés, carrés, portent des pièces de titres en papier rigide contrecollées.Chacun des portefolios contient essentiellement des reproductions de photos en noir (des collotypes) de très grande qualité. En tête de chaque portfolio, se trouve une abondante explication de chaque planche.-La 1ère série contient 62 planches, avec une explication très détaillée en tête du volume (pp. 6 à 11).-La 2ème série s’ouvre sur une explication (pp. 7-13) des planches, qui sont au nombre de 60 (mais il manque ici la planche 13 qui montre un détail de console). Malgré ce manque, TRES BON ETAT.
<p><meta charset="utf-8"><span>Sakountala l’un des chefs-d’œuvre de Camille Claudel, est un fil permettant de retracer la carrière de l’artiste. Cet ouvrage, publié à l’occasion de l’exposition « Camille Claudel à l’œuvre : Sakountala », présentée au musée Camille Claudel de Nogent-sur-Seine, revient sur le contexte de création de cette sculpture, l’histoire très mouvementée de sa réception ainsi que ses multiples avatars, de L’Abandon à Niobide blessée en passant par Vertumne et Pomone. Ce catalogue offre aussi des éclairages sur la source littéraire très originale qui a inspiré Camille Claudel : La Reconnaissance de Sakountala, un mythe issu de la littérature indienne ancienne. En vogue en Europe à l’époque de la sculptrice, celui-ci a donné lieu à différentes traductions mais aussi à des adaptations scéniques, en ballet ou au théâtre, tout au long du XIXe siècle et encore au XXe siècle. Textes inédits et notices d’œuvres proposent ainsi un regard renouvelé autour de cette œuvre majeure, la seule qui ait valu à Camille Claudel une récompense au Salon et qu’elle n’aura eu cesse de reprendre jusqu’à la fin de sa carrière.</span></p> Paris, 2024 Silvana Editoriale, musée Camille Claudel 112 p., relié 20, 5 x 25,5
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