‎MUZET DENIS‎
‎SON DU VIVANT -LE-‎

‎AUBE EDITIONS -DE L'-‎

Reference : SVBLIVCN-9782815947725


‎LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782815947725‎

€36.94 (€36.94 )
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M. Alexandre Bachmann
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1205 Genève
Switzerland

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‎Collectif‎

Reference : R110524591

(1976)

‎Le Pèlerin du 20e siècle n° 4891 - La gendarmerie nationale a notre service, En Belgique, un village crée son musée vivant, Le cancer sera-t-il un jour vaincu ?, Au musée de la coiffure, Pourquoi pas un séjour en Allemagne du Nord‎

‎Bureau de de la revue. 28 aout 1976. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 68 pages. Quelques illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION‎


‎ Classification Dewey : 200-RELIGION‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎Chroniques de l'Art Vivant - Aimé Maeght et Jean Clair - René Micha - Rosalind Krauss - Dore Ashton - Nan R. Piene - Madeleine Deschamps - Gérald Gassiot-Talabot - Pol Bury - J. Patrice Marandel - J.M. Moreno Galvan - Serge Fauchereau - Michel Gresset - Alain Clerval - Philippe Jaworski - Noel Burch et André S. Labarthe‎

Reference : CAV-12

(1970)

‎Chroniques de l'Art Vivant n° 12 - Juillet 1970 - Spécial U.S.A. - Shopping Centers - Conceptual Art - Monuments pour nulle part - Art minimal - Dimension du vide, Mark Tobey, Pollock, Sam Francis - Métamorphoses du Pop Art - Pol Bury - Nouvelle abstraction - Aart américain au XXe siècle - Joan Miro - Dernières recherches romanesques - Société de tolérance et son roman - Portnoy et son complexe - Moby Dick - Théâtre vivant est dans la rue - Shirley Clarke - Underground, La Monte Young - Free Jazz, Albert Ayler, Sun Ra, Milford Graves - La musique contemporaine américaine‎

‎Maeght Editeur - Chroniques de l'Art Vivant Ferce sur Sarthe, France 1970 Book Condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur, illustrée d'un poing tenant un éclair grand In-4 1 vol. - 32 pages‎


‎très nombreuses illustrations en noir et blanc 1ere édition "Contents, Chapitres : René Micha : Shopping Centers - Rosalind Krauss : Conceptual Art - Dore Ashton : Monuments pour nulle part ou pour n'importe pù - Nan R. Piene : Après l'art minimal - Madeleine Deschamps : La dimension du vide (Mark Tobey, Pollock; Sam Francis) - Regarder l'art et finir la guerre - Gérald Gassiot-Talabot : Les métamorphoses du Pop Art - Article de Pol Bury - J. Patrice Marandel : Une nouvelle abstraction - L'art américain au XXe siècle, tableau double page - J.M. Moreno Galvan : Joan Miro, Palper, c'est déjà sculpter (6 photographies de Miro en train de sculpter) - Serge Fauchereau : Les dernières recherches romanesques - Michel Gresset : La société de tolérance et son roman - Alain Clerval : Portnoy et son complexe - Philippe Jaworski : Pour une lecture systématique de Moby Dick - Le théâtre vivant est dans la rue - Noel Burch et André S. Labarthe : Shirley Clarke, avant-première à Cinéastes de notre temps - Underground, La Monte Young - Free Jazz, Albert Ayler, Sun Ra, Milford Graves - La musique contemporaine américaine" ‎

Librairie Internet Philoscience - Malicorne-sur-Sarthe
EUR10.00 (€10.00 )

‎Chroniques de l'Art Vivant - Aimé Maeght et Jean Clair - René Micha sur Jean Helion - Marie-Claude Volfin sur Olivier Debré - Marc Le Bot sur François Rouan - Gérard Barrière sur Garache - Bernard Noel sur Jan Voss - Gilbert Lascault sur Georges Touzens - Gaetane Lamarche-Vadel sur Jacqueline Dauriac - Willis Domingo - sur Valerio Adami - Malevitch - Serge Lemoine sur Kurt Schwitters - Jean-Marie Benoist sur Carpaccio - Arsène Papillon sur Visconti - Lise Brunel sur Pilobolus - Jacqueline Caux et Frederic Rzewski‎

Reference : CAV-57

(1975)

‎Chroniques de l'Art Vivant n° 57 - Mai 1975 - Spécial dernière - L'Art vivant, mai 68 - mai 75 - Situation de la peinture et de l'avant-garde - La quête de Jean Helion - Olivier Debré, l'espace et son signe - 4 dessins de François Rouan - Acharné et charnel, Garache - Jan Voss - Georges Touzens - Jacqueline Dauriac - U.S.A., le défi des nouvelles tendances - Peintures de Valerio Adami - Malevitch, écrits, 2 manifestes : Le suprématisme - Le miroir suprématiste - Kurt Schwitters - Armes parlantes de Carpaccio - Eloge du film-plaquette - Merci Monsieur Visconti - Corps liés en sculpture cinétique, groupe Pilobolus - Entretien avec Frederic Rzewski‎

‎Maeght Editeur - Chroniques de l'Art Vivant Ferce sur Sarthe, France 1975 Book Condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur, illustrée d'une composition, Malévitch sur son lit de mort In-4 carré 1 vol. - 56 pages‎


‎très nombreuses illustrations en noir et blanc 1ere édition Contents, Chapitres : L'Art vivant, mai 68 - mai 75 - Jean Clair : Petites notes brèves sur la situation de la peinture et de l'avant-garde en guise de conclusion provisoire - René Micha : La quête de Jean Helion, 3 pages et 7 reproductions - Marie-Claude Volfin : Olivier Debré, l'espace et son signe, 3 pages dont une photographie de Debré devant deux peintures monumentales - Marc Le Bot : 4 dessins de François Rouan - Gérard Barrière : Acharné et charnel, Garache - Bernard Noel : Jan Voss, signes en liberté - Gilbert Lascault : Georges Touzens, pour le gris, vers le neutre - Gaetane Lamarche-Vadel : Jacqueline Dauriac, démasquer la peinture - Willis Domingo : U.S.A., le défi des nouvelles tendances - Gilbert Lascault : En marge d'un texte de Marc Le Bot sur des peintures de Valerio Adami - A.N. : Malevitch, écrits, 2 manifestes : Le suprématisme (extraits) - Le miroir suprématiste - Serge Lemoine : Actualité de Kurt Schwitters - Jean-Marie Benoist : Les armes parlantes de Carpaccio - Cinéma, Coquecigrue : Eloge du film-plaquette - Arsène Papillon : Merci Monsieur Visconti - Lise Brunel : Corps liés en sculpture cinétique, groupe Pilobolus - Jacqueline Caux, Musique et politique, entretien avec Frederic Rzewski - Actualités et publicités, une dizaine de pages ‎

Librairie Internet Philoscience - Malicorne-sur-Sarthe
EUR30.00 (€30.00 )

‎MARCHAL REBOUL, Ninette‎

Reference : 55717

(1978)

‎Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎

‎1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎


‎Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR750.00 (€750.00 )

‎Chroniques de l'Art Vivant - Aimé Maeght et Jean Clair - Zorro - Michel Ragon - Pierre Restany - Catherine Millet - Antonio del Guercio sur Yves Klein - Jean-Christophe Ammann sur Christian Boltanski - Jan Leering - sur Raoul Ubac - Irmeline Lebeer et Francine Claire Legrand - sur Panamarenko - Pierre Alechinsky - André Balthazar sur Christian Dotremont - Alain Clerval sur Christian Enzensberger - Lise Brunel sur Nijinsky - Maurice Béjart - Marc Dachy - Philippe du Vignal et Arnold Wesker - Antoine Gallien - Kandinsky‎

Reference : CAV-27

(1972)

‎Chroniques de l'Art Vivant n° 27 - Février 1972 - L'avant-garde : Réalité et imposture - Avant-garde en France en 1972 - Falsificateurs de l'avant-garde - Yves Klein - Christian Boltanski - Grand Palais sur l'art contemporain - Raoul Ubac - Actualité du symbolisme - Machines volantes de Panamarenko - Emploi du temps - Christian Dotremont, Logogrammes - Christian Enzensberger, Essai de quelque envergure sur la crasse - Nijinsky - Maurice Béjart - Underground belge - Arnold Wesker - Défense active, l'underground a son festival - Kandinsky‎

‎Maeght Editeur - Chroniques de l'Art Vivant Ferce sur Sarthe, France 1972 Book Condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur, illustrée d'après une affiche de Jules Chéret grand In-4 1 vol. - 32 pages‎


‎très nombreuses illustrations en noir et blanc 1ere édition Contents, Chapitres : Jean Clair : L'avant-garde : Réalité et imposture - Zorro : Exécution pour une avant-garde - Texte de Michel Ragon - Pierre Restany : L'avant-garde en France en 1972 - Catherine Millet : Les falsificateurs de l'avant-garde - Antonio del Guercio : Une avant-garde les pieds en l'air illustré du saut dans l'espace d'Yves Klein - Jean-Christophe Ammann sur Christian Boltanski - Jan Leering : L'avant-garde en quarantaine - Table ronde : Remous d'une exposition (Au Grand Palais sur l'art contemporain, à partir du 17 mai), 4 pages sur fond orange - Stèles de Raoul Ubac, 1 page avec une figure en fond - Irmeline Lebeer : Actualité du symbolisme, entretien avec Frabcine Claire Legrand, double-page illustrée - Irmeline Lebeer : Les machines volantes de Panamarenko - Pierre Alechinsky : Inédit, un emploi du temps, double-page illustrée - André Balthazar : Christian Dotremont, Logogrammes - Alain Clerval : Christian Enzensberger, Essai de quelque envergure sur la crasse - Lise Brunel : Rencontre Nijinsky - Béjart, entretien avec Maurice Béjart - Marc Dachy : Du côté de l'underground belge - Philippe du Vignal : Entretien avec Arnold Wesker - Antoine Gallien : Défense active, l'underground a son festival - Un article de Kandinsky sur la 4eme de couverture, deux directions, synthèse ‎

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