PICQUIER EDITIONS
Reference : SVBLIVCN-9782809716009
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782809716009
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M. Alexandre Bachmann
Passage du Rond Point 4
1205 Genève
Switzerland
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Le Charivari, trente-cinquième année, samedi 8 septembre 1866- Lithographie - Hauteur: 43.5cmx Largeur: 31cm - Trait carré : Hauteur: 22.3cmx Largeur: 19.3cm- 1 feuillet (4 pages) ; illustration page 3 - Au-dessus de l'image, au centre : "ACTUALITÉS", et à droite : "167." ; signé dans l'image en bas à droite : "HADOL", sous l'image à gauche : "A.de Vresse, R. Rivoli, 55." et à droite : "LITH DESTOUCHES Rue Paradis Pre" ; au-dessous, au centre : "UNE LEÇON D'HISTOIRE. / Nous l'avons eu votre Rhin Allemand. / Si vous oubliez votre Histoire, / Vos jeunes filles sûrement, / Ont mieux gardé notre mémoire. / Elles nous ont versé votre petit vin blanc. (A. de Musset)" -- texte imprime au dos,bon etat.
Tahiti 20 & 25 juillet 1903, 10x15,5cm, 7 pages sur 2 doubles feuillets.
Double lettre autographe de Victor Segalen adressée à Emile Mignard. Sept pages rédigées à l'encre noire sur deux doubles feuillets.Pliures transversales inhérentes à l'envoi. Emile Mignard (1878-1966), lui aussi médecin et brestois, fut l'un des plus proches amis de jeunesse de Segalen qu'il rencontra au collège des Jésuites Notre-Dame-de-Bon-Secours, à Brest. L'écrivain entretint avec ce camarade une correspondance foisonnante et très suivie dans laquelle il décrivit avec humour et intimité son quotidien aux quatre coins du globe. C'est au mariage de Mignard, le 15 février 1905, que Segalen fit la connaissance de son épouse, Yvonne Hébert. Longue lettre évoquant le 14 juillet à Tahiti et les murs amoureuses des femmes tahitiennes. «Ce n'est pas un 14 Juillet qu'on célèbre aussi; mais cette mémorable journée dure 8 jours. C'est horriblement Européanisé; n'importe, c'est un prétexte à s'extérioriser et pendant de longues promenades, de garden-party, à se frôler à des tas de jeunes corps, souples, légèrement ambrés de par leur hérédité semi-canaque...» On décèle ici l'importance des idées de pureté raciale chez Victor Segalen qui prolongera dans les Immémoriaux et dans sa nouvelle intitulée La Marche du feu ses théories concernant le métissage, selon lui dernier fruit de la conquête coloniale. Il ne semble cependant pas appliquer à lui-même les principes ethnographiques qu'il développe et s'étend, comme à son habitude, sur ses aventures sexuelles avec les indigènes: «Car j'ai quitté pour un temps la Vahiné Tahitienne pur-sang, comme beaucoup trop lointaine de notre race.» Depuis son arrivée à Tahiti en janvier 1903, Segalen entretenait en effet une relation avec une jeune tahitienne du nom de Mara. Leur relation est arrivée à son terme: «Ma première épouse [Mara] ayant été expédiée dans son île - et y étant restée - j'ai hospitalisé durant une quinzaine une petite fille perdue, noceuse, éreintée de spasmes, d'alcool et de phtisie prochaine. [...] Puis je l'ai, elle aussi expédiée aux Pomotou où elle avait, comme maîtresse de négociant, une situation beaucoup plus stable à posséder.» Ce passage s'avère également être un document précieux concernant les murs sexuelles des Tahitiennes: «Je n'ai trouvé qu'une seule fois en rentrant chez elle, un canaque couché dans son lit. Je lui en ai fait doucement l'observation: elle m'a répondu que j'avais une demi-heure de retard, qu'elle était persuadée que je l'avais moi aussi trompée, et tenait à me le rendre immédiatement; et qu'enfin elle ne s'était pas mise nue pour se donner à lui, mais avait gardé sa chemise, ce qui est ici une marque de haute décence. Je n'avais donc absolument rien à dire.» Segalen déplore pourtant le manque de docilité et l'émancipation de la gent féminine locale, rendue possible par la présence des colons: «Elles seraient parfaites, ces filles brunes à longs cheveux lisses, aux longs cils, à la peau veloutée, si, au lieu d'un siège en règle, de pourparlers et d'atermoiements, elles vous suivaient d'un geste, ainsi qu'autrefois elles s'exécutaient. Mais nos prédécesseurs les ont beaucoup trop gâtées. Elles sont de strictes maîtresses, afidèles (alpha privatif), fausses, égoïstes, et, cela va sans dire, fort peu intellectuelles, voire même intelligentes. A quoi bon, dès lors, avoir pour eux [sic] les égards qui seyent [sic] à une amante toute proche de nous, soumise, dévouée, comme on est plus certain de trouver dans les Espèces féminines moins éloignées de la nôtre.» - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Axel Springer Presse. 2004. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 193 pages. Nombreuses photos en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : 18 destinations inédites pour sortir des sentiers battus / Les dents de sagesse ? Elles ne servent à rien / Elles ont fait l'amour avec une femmes : elles témoignent / La méditation, un remède contre le stress /... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
[Monaco], Raoul Solar, 1946 in-4, 147 pp., [2] ff. n; ch., texte autographié sur le recto des ff., avec des illustrations dans le texte, broché sous couverture rempliée, dans double emboîtage cartonné. Emboîtage défraîchi.
Un des exemplaires numérotés à la presse sur pur fil Johannot (1193/3300). Édition originale, faite à partir du manuscrit.L'ouvrage se veut la reproduction exacte des réflexions couchées au jour le jour sur le papier à la fin d'une liaison qui semble avoir charrié autant d'ennui que de bonheur : "Oui, elles et toi : les autres femmes et toi - pas comparativement -. Mais il n'en reste pas moins que toutes ces réflexions me sont venues à l'esprit durant notre aventure. Car, ou bien tu m'as fait penser aux autres, ou bien tu m'en as fait souvenir. Or donc, ce petit livre est l'histoire de ton règne."On se doute que la verve de l'auteur se combine ici avec sa profonde science des femmes pour donner, sous des habits négligés comme un peignoir du matin, une enfilade de perles délicieusement rosses. "Elles croient volontiers que parce qu'elles ont fait le contraire de ce qu'on leur demandait, elles ont pris une initiative".Mais comme analysait si bien Geneviève de Séréville (madame quatrième) : "Parler des femmes et de l'amour n'est-il pas devenu, pour lui, une sorte de jonglerie dans laquelle son cœur ne joue aucun rôle, mais seulement son aisance dans l'ironie, son goût excessif du paradoxe". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
1 vol. in-4 reliure fin XIXe demi-basane marron, dos à 5 nerfs, Recherches sur les Méthodes dont les Essayeurs font usage pour établir le titre des matières d'Or, & déterminer en même temps la quantité d'Argent qu'elles peuvent contenir, De l'Imprimerie Royale, Paris, 1779, 1 f., 54 pp. avec 3 planches dépliantes dessinées par Fossier [ Avec : ] Mémoire sur le Procédé qu'on emploie aux Affinages de la Monnoie de Paris, pour la fonte de la Chaux de Cuivre qu'on y retire des Eaux Fortes après l'opération du Départ, 1 f., 24 pp. et 2 planches dépliantes dessinées par Fossier [ Avec : ] Bulletin des Lois n°265 Loi relative aux pièces d'or et d'argent rognées ou altérées, 2 pp. [ Avec : ] Tarifs des Monnaies d'Or et d'Argent en exécution de la Loi du 7 Germinal an XI 1730 bis, 2 pp. [ Avec : ] Arrêté Relatif à l'échange des Ecus de trois livres et des pièces de vingt-quatre sous, douze et six sous, qui n'ont conservé aucune trace de leur empreinte du 6 Fructidor an XI, 4 pp. avec 2 ff. blancs intercalés, De l'Imprimerie du Dépôt des Lois [ Avec : ] Mémoire sur les Essais des Matières d'Or et d'Argent par M. Tillet, 19 pp. et 6 figures sur une planche dépliante [ Avec : ] Mémoire sur les Essais des Matières d'Argent [ mémoire sur la nécessité qu'il y a, dans les Essais ordinaires des matières d'Argent, d'extraire des coupelles la particule d'Argent fin qu'elles retiennent toujours pour écarter les variations auxquelles cette opération est sujette, & connoître sûrement le titre intrinsèque de ces matières ], 1769, 36 pp.
Botaniste et métallurgiste né à Bordeaux, Mathieu Tillet (1714-1791). Fils d'un orfèvre, il fut nommé directeur de la Monnaie à Troyes dès 1740, membre de l'Académie des Sciences à partir de 1758 et deviendra inspecteur général de la Monnaie en 1767. Beau recueil d'articles relatifs aux monnaies (rel. lég. frottée)