PICQUIER EDITIONS
Reference : SVBLIVCN-9782809714968
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782809714968
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M. Alexandre Bachmann
Passage du Rond Point 4
1205 Genève
Switzerland
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[Imprimerie de J.-A. Quillot] - Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD
Reference : 33946
(1848)
1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
AU BUREAU DU JOURNAL. 1 FEVRIER 1935. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 257 à 384. Annotation sur la couverture.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Jacques BAINVILLE. La Troisième République (suite) François PORCHÉ. La Jeunesse de Tolstoï. III.André DUBOSCQ. Unité de l’Asie. THIERRY-MAULNIER. Le bonheur de Racine. PALACIO VALDËS. Les Jardins de Grenade(roman ) V.LES IDÉES & LES FAITSLectures, par Jacques BainvilleLA VIE A L’ÉTRANGER. — Saint-Brice : Du Pacte de Rome au vote de la Sarre.LES LETTRES. — André Rousseaux : La Fin de la Nuit.LES BEAUX-ARTS. — Lucien Rebatet : Les Peintres de la Réalité.LA PHILOSOPHIE. — Maurice de Gandillac Le Retour du métaphysicien prodigue.CHRONIQUE DE LA QUINZAINE. — Charles Benoist : « Création continue » et régime discontinu. — Robert Brasillach : Examen des Revues. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Bureau de de la revue. 10 mai 1985. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 80 pages. Quelques illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION
Sommaire : Quatre ans de présidence de la République, Sur les pas de Jean Paul II au Benelux, Auguste Renoir le peintre du bonheur, Ariège : la fièvre de l'or, 10 mai 1940 : la chute d'Eben Emaël, Mgr Léon Taverdet, évêque de Langres, commente les lectures du dimanche Classification Dewey : 200-RELIGION
P., A. Lahure, 1883, in-12, 235-8 pp, reliure demi-chagrin bordeaux, dos à 5 nerfs soulignés à froid, pièce de titre basane vermillon, couv. conservées (rel. de l'époque), un mors lég. frotté, bon état. Rare
"Dés 1848, M. Emile Delaurier s'était fait connaître comme publiciste politique foncièrement républicain démocrate. Il a fait paraître successivement dans cet ordre d'idées : Une Constitution, brochure très commentée à son apparition, et suivie plus tard de nombreux autres opuscules, notamment : République ou Monarchie, lettre adressée au comte de Chambord (1870) ; Projet d'une nouvelle constitution républicaine démocratique et sociale (1880) ; Le scrutin de liste et l'opinion de Lamartine sur ce mode de votation, dont l'auteur se déclare également l'adversaire (1884) ; Critique de la Bible (1900), etc." (Dictionnaire national des contemporains, 1905)