LA MARTINIERE BEAUX LIVRES
Reference : SVBLIVCN-9782732490526
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782732490526
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M. Alexandre Bachmann
Passage du Rond Point 4
1205 Genève
Switzerland
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Paris, Presses de l'Univ. de Paris-Sorbonne,, 1998. In-8 br., 119 pp.
Les dix articles présentés dans cet ouvrage (dont sept en français et trois en anglais) représentent le fruit du travail de l'équipe de recherche du Centre d'Etudes Médiévales Anglaises de l'Université de Paris IV. La majorité des auteurs s'intéresse à l'époque moyen-anglaise, celle du bas Moyen Age, qui s'étend de l'an 1100 à l'an 1500 environ, siècles durant lesquels l'influence française en Grande-Bretagne, à tous les niveaux de la société et en tous les domaines, était marquante. Mais quatre des communications concernent, en tout ou en partie, la période précédente, celle du vieil-anglais, appellation de la langue des Anglo-Saxons avant la mutation qu'a entraînée l'invasion normande de 1066. Les sujets ainsi abordés vont de la dénomination des saisons aux activités maritimes, de la guerre de Cent Ans aux chevaliers de la Table Ronde, de la musique à la mélancolie, et de la poésie ancienne au cinéma le plus actuel, en passant par les plaisirs de la table médiévale. Comme neuf - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Bruxelles, Les Cahiers du Journal des Poètes, Série Poétique, 1938. In-8, broché, 59 p. Edition originale au tirage limité à 600 exemplaires, numérotés ou pas. Bel exemplaire non coupé.
Bruxelles, Tircher 1861 144pp., 2e éd.revue
1796 Paris: De l'imprimerie de P. Didot l'aîné, l'an IV de la République, 1796. In-fol.: 25 x 34 cm, 2 ff. n. chiff. [faux-titre, titre], xxiv pp. [discours préliminaire], 406 pp., [Les saisons suivies des Pièces fugitives, Contes, et Fables Orientales], 1 f. n. chiff. [tables] + 4 pl. grav. col. Luxueuse édition de Didot l'aîné illustrée de 4 figures de Chaudet gravées par Morel et entièrement rehaussées en couleurs de l'époque. (Cohen, col. 927). Reliure de l'époque en demi-maroquin rouge à très petits coins. Dos à cinq nerfs incrustés de bandes de maroquin vert ornées de roulettes géométriques, auteur, titre et éditeur en capitales dorées, caissons richement ornées de fers à motifs, deux trophées de chasses et deux couronnes de lauriers sur piédestal. Gardes recouvertes de papier marbré. Ex-libris: "Bibliothèque de Monsieur Jacques Laffitte". De Jacques Laffitte (1767-1844), homme d'affaire et banquier né à Bayonne, plusieurs fois député entre 1816 et 1844, ministre des finances en 1830. Ex-libris: "André Gutzwiller". Banquier et bibliophile bâlois. Rousseaux principalement marginales. Bel exemplaire en grand papier non ébarbé. très grande de marge, particulièrement désirable pour ses gravures rehaussées et sa reliure de style directoire. "Les Saisonsde Jean-François de Saint-Lambert nont pas seulement imposé le genre de la poésie descriptive, elles constituent un précieux document sur les préoccupations philosophiques des Lumières". (Présentation Classique Garnier, 2014)
Paris Dufart 1840 In-8° (214x139 mm), VII pp. - [1] p. - 640 pp., veau rouge, dos lisse orné, décor doré au fer et à froid à la plaque sur les plats, roulette sur les coupes, tranches marbrées multicolore (reliure de l'époque)
Édition originale de cet ouvrage qui traite de l'action pathologique des climats polaires, tempérés et équatoriaux Édition originale en pleine reliure romantique (chose fort peu courante pour le présent domaine qu'est la médecine) de cet ouvrage au mérite reconnu dont l'auteur définit ainsi le sujet comme : « encore neuf : personne ne s'est occupé des maladies de la France ; personne n'a considéré ces maladies dans leurs rapports avec les saisons. Mais il s'agit entre nous de quelque chose de plus que d'une application nouvelle de principes déjà connus ; il s'agit, avant tout, de la recherche de ces principes. Comment agissent les saisons ; déterminer les maladies en correspondance avec leur action ? Voilà d'abord le problème. L'histoire des saisons et des maladies de la France suivra et doit suivre la solution de ces deux questions. » Il est divisé en deux parties : De l'action pathologique des saisons et des états morbides correspondants et Des saisons et des affections correspondantes dans les principaux climats, polaires, tempérés et équatoriaux. Fuster est porté à croire que le secret des épidémies pourrait bien être dans une combinaison de causes cosmiques et d'influences morales et politiques. La perturbation de l'ordre moral et la coïncidence des crises avec celle-ci n'a jamais été d'après lui mis en défaut depuis la peste d'Athènes jusqu'au Choléra de notre temps. Quant à la filiation entre grandes épidémies et ce qu'il appelle les influences cosmiques extraordinaires, il conclut que l'apparition des épidémies est aussi subordonnée à l'agitation désordonnée des éléments tels que : éruptions volcaniques, tremblements de terre, comètes, météores ignés, chaleurs et froids excessifs, pluies et sécheresses insolites, tempêtes, apparitions de sauterelles, disettes, famines, etc. Joseph Jean Nicholas Fuster (1801-1876), médecin et journaliste, fut reçu docteur en médecine à Montpellier en 1826. Agrégé en 1829, il s'établit à Paris et devient rédacteur de la Gazette médicale et du Bulletin général de thérapeutique. En 1831, il est nommé médecin des dispensaires de la Ville de Paris, puis il occupe, en 1848, la chaire de clinique médicale de la faculté de Montpellier. Il était saint-simonien. PROVENANCE : Dr Eugène Cazalis (1808-1883), avec son nom et son titre poussés en pied de dos : « CAZALIS D. M. ». Interne en 1830, Cazalis a appartenu, dès la seconde année de son internat, à la Société anatomique comme membre adjoint en 1831, trésorier de 1835 à 1839, membre du comité de 1835 à 1840, titulaire en 1838, membre honoraire en 1847. Il fut nommé au bureau central des hôpitaux en 1847, médecin des hôpitaux en 1851. Il est resté pendant une dizaine d'années, comme médecin-chef de la Salpêtrière, dans le service de médecine générale dénommé depuis 1837 Hospice de la Vieillesse-Femmes, où il avait été précédé par Cruveilher, et où M. Charcot, son élève, lui succéda en 1861. C'est suite aux observations cliniques faites dans ce service qu'en 1853, Charcot rédigera sa thèse dans laquelle il établira la différence entre la goutte et le rhumatisme articulaire chronique, marquant ainsi l'histoire de la gériatrie. De la Salpêtrière, Cazalis passa à la Maison de Santé, où il est resté jusqu'en 1873, époque où il atteignit la limite d'âge comme médecin des hôpitaux. Cazalis alliait à la connaissance étendue de la médecine traditionnelle celle de l'anatomie pathologique macroscopique qu'il devait surtout à la pratique des autopsies à laquelle il s'était formé en autodidacte et qu'il appréhendait d'une manière très personnelle. Il était une personnalité médicale, ses internes ne juraient que par lui. Bulletins de la société anatomique de Paris, 59e année, 4e série, tome 4 p. 34-35 ; frottements, mouillure en partie basse sur le plat inférieur, quelques rousseurs, plus présentes sur certains feuillets, notamment en début et fin de volume.