LA MARTINIERE BEAUX LIVRES
Reference : SVBLIVCN-9782732461847
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782732461847
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M. Alexandre Bachmann
Passage du Rond Point 4
1205 Genève
Switzerland
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Aux bureaux du Musée des familles, rue Saint Georges N°11. janvier 1837. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages environ, illustrées de gravures noir et blanc dans le texte. Paginées de 113 à 128. Deux livraisons.. . . . Classification Dewey : 70.4415-La famille / Semaine et musée des familles
Quelques détails sur la ville d'Ispahan - détails historiques illustré d'une gravure dans le texte de la place principale d'Ispahan - Situation d'ISpahan - édifices - habitants - commerces et manufactures. Magasine - de quelques diamants - Des monnaies en France illustré de gravures dnas le texte de pièces de monnaie (bourgeois, denier tournois, gros à la queue, double parisis, etc... Des épreuves au Moyen âge. Classification Dewey : 70.4415-La famille / Semaine et musée des familles
Au centre d’un cirque de montagnes, Ispahan surgit de l’aride plateau iranien. Une oasis d’où émergent des dômes étincelants, les hautes tourelles des minarets et la rumeur d’une cité caravanière. Depuis le xviiesiècle, tous les voyageurs gardent un souvenir inoubliable de cette cité merveilleuse, alliant les atours d’une capitale d’Empire et les aménités les plus inattendues d’un carrefour commercial. Œuvre d’art totale, ce joyau préservé de Shah Abbas Ier (1588-1629) unit urbanisme, architecture et ornement. Autour d’un axe principal — le Chahār Bāgh —, s’articulent une myriade de palais conviviaux, de pavillons aux chatoyantes teintes, tandis que places, canaux et jardins dessinent des ambiances chaleureuses structurées par l’eau et le végétal.<br data-mce-fragment="1"> L’architecte Philippe Revault nous fait découvrir toutes les facettes visibles de cette ville-jardin (formes urbaines, habitat, rapport au climat, à l’eau) pour comprendre comment s’est formée l’idée même de cette ville. Une idée que Seyyed Mohsen Habibi et Negar Habibi, dans leur importante contribution, mettent en relation avec la renaissance philosophique et théologique du chiisme duodécimain et «l’école d’Ispahan».<br data-mce-fragment="1"> Jean-Claude Golvin, architecte et archéologue, qui dirige la collection «L’Esprit des lieux», donne ici une restitution originale d’Ispahan, à découvrir. Paris, 2022 CNRS éditions 320 p., nombreuses illustrations couleur, broché. 17 x 23
Neuf
illustré de 40 planches photographiques hors texte, titre manuscrit. Préface " Un voyage! il ne faudrait l’écrire que pour soi. Le voyage donne à l’homme une des plus belles ivresses qu’il puisse éprouver. Découvrir des paysages nouveaux dans une succession rapide, traverser des villes jadis prospères aujourd’hui mortes, courir aux temples dont en pensée on habita les portiques et ne voir que des pierres éparses, trouver le désert et la solitude là où vécurent des peuples puissants, aller plus loin, toujours plus loin, être celui qui ne s’arrête pas, qui passe parmi les vivants et au milieu des ruines, sentir qu’à peine vous les avez possédés ces paysages meurent pour vous, que vous ne les reverrez jamais,—quelle joie et quelle angoisse passionnée! " Table; le départ, la Bessarabic - la Crimée - Le Caucase - L'arrivée en Perse - De Resht à Téhéran, ou premières expérience sur route Persane - Huit jours à Téhéran - De Téhéran à Ispahan ou la diligence Persane - Une semaine à Ispahan - De Tiflis à Tabriz et Zendjan ou aventures héroïques de Léonida et d'une mercédes dans les montagnes de la Perse - La dernière étape vol, grand in4, 315x230, couverture toilée, recouverte plastifiée ( petit accrocs), tranche de tête dorée, très bel état int., bien frais, 317pp, rare Paris, Félix Juven, 1902
A Amsterdam, 1735. 4to. 3 cont.full mottled calf. Raised bands, richly gilt backs. Extremities with small traces of use, slight weakening to parts of hinge, top of spine on vol. II with loss of leather ca 1x2 cm. Internally fine on good paper. 2 engr.frontisp. (with portraits), 3 engr.titlevign., 3 large engr. textvignettes. (12),390,(4),359,(4),437 pp. and 78 mostly large folded engraved plates (maps,plans,views etc.). - To this second edition was published a 4th volume which contains the author's previously published work ""Couronnement de Soliman III"" and extracts from the author's manuscript, this supplementary volume is not present here, but the 3 volumes contain the whole travel and all the plates belonging to these 3 volumes.
Rare second edition of Chardin's travels, regarded as being one of the finest works of early Western scholarship on Persia and the Near East in general. ""Thought to have been read by writers such as Montesquieu and Rousseau, Chardin's account stands apart from those of other travellers to the region (Caucasus) at this time through its awareness of cultural difference and relativity and in its desire to place accuracy above romanticism."" (Speake, The Literature of Travel and Exploration, 1).Chardin set out from Paris for Persia and India. He reached Ispahan 1673, spent four years in Persia, visited India and returned by the Good Hope in 1677. The first volume contains the trip from Paris to Isfahan, the second contains a particular description of Isfahan and the relation of the author's two voyages, from Ispahan to Bander-Abassi, the third contains a general description of the Persian empire and the particular descriptions of the sciences and arts which are in use therein, of political, military, and civil government.Born in Paris in a Hugenot (Protestant) family, Jean Chardin (1643-1713) undertook his travels to Persia because of his father's position as a jeweler and shareholder in the French East India Company. The younger Chardin set out in 1664, traveling through Turkey, the Black Sea, Georgia and Armenia. Soon after his arrival in Persia, he received a commission to create jewelry for Shah Abbas II, who died in 1666 and was succeeded by Shah Safi. After witnessing the latter's coronation, Chardin went on India and finally returned to Paris in 1670. In 1671, he published an account of the coronation and in the same year set off for Persia again, arriving in Isfahan in 1673 and remaining there for several years, before once more visiting India and returning home in 1677. With the persecution of the Hugenots in France, he moved to England in 1680""Travel restarted with 17th-century missionaries, whose medical and pedagogical expertise helped counterbalance Orthodox (or pagan) reservations. Dominican Prefects Dortelli D'Ascoli and Giovanni da Lucca (1630s) extended Giorgio Interiano's description of Circassia (and Abkhazia). Theatine proselytisers targeted Mingrelia/western Georgia (Capuchins the eastern provinces) - the Vatican's Fide Press further contributed by printing the first Georgian books (Chikobava/Vateishvili). Many, including mission-head Don Pietro Avitabile (1626-1638), recounted their experiences. Prefect to Mingrelia, Joseph Marie Zampi, a 23-year denizen from approximately 1645, contributed a third significant source in his description of Mingrelian religious practice. This he handed to Jean Chardin (1643-1713) in 1672. A French traveller who became English(!) ambassador in Holland, Chardin translated and incorporated it as a substantial part of his own description of a sometimes perilous journey through Transcaucasia (1672-3), which reflects Ottoman and Persian influence in western and eastern parts, respectively - a Turkish organized slave-trade flourished from various Mingrelian ports. Linguistically, Zampi revealingly observed that the ecclesiastical language, Georgian, was as difficult for even the Mingrelian priesthood to understand as Latin was for Italian peasants!"" (Speake, The Literature of Travel and Exploration, 1, 199-202).Brunet 1802Graesse II, P. 121
Ispahan 22 novembre 1974, 14,9x10,2cm, une carte postale.
Carte postale autographe signée de Maurice Béjart adressée à André-Philippe Hersin, au verso d'une reproduction photographique représentant lesminarets tremblants d'Ispahan. Le chorégraphe adresse cette carte postale depuis l'Iran, où il créa en 1971 sous le patronage de l'impératriceFarah Pahlavi son balletGolestan(La roseraie), eten 1974 au festival de Shiraz son balletMallarmé III,sur une musique de Pierre Boulez. Ce serait également à cette période que Béjart se serait converti à l'Islam après la rencontre de Dariouche Safvate, éminent musicien soufi kurde. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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