‎CHOUGNET GARRIC‎
‎LIGNE ET L OMBRE -LA- DESSINS D ARCHITECTES XVIE - XIXE SIECLE‎

‎La ligne et l'ombre. Dessins d'architectes. XVIè - XIXè siècle.‎

‎<div class="panels-flexible-row panels-flexible-row-new-7 panels-flexible-row-first clearfix Titre"><div class="inside panels-flexible-row-inside panels-flexible-row-new-7-inside panels-flexible-row-inside-first clearfix"><div class="panels-flexible-region panels-flexible-region-new-titre panels-flexible-region-first panels-flexible-region-last"><div class="inside panels-flexible-region-inside panels-flexible-region-new-titre-inside panels-flexible-region-inside-first panels-flexible-region-inside-last"><div class="panel-pane pane-entity-field pane-node-field-produit-argumentaire"><div class="pane-content"><div class="field field-name-field-produit-argumentaire field-type-text-long field-label-hidden"><div class="field-items"><div class="field-item even"><p>Le dessin d’architecture constitue un domaine vaste et divers. Les architectes le pratiquent pour acquérir une connaissance intime des édifices et développer leur habileté à les imaginer ; ils l’utilisent comme le support de leurs échanges avec les différents métiers du bâtiment ; ils en font un moyen pour toucher le public et les décideurs, jusqu’à l’élever parfois au rang d’œuvre d’art.<br>Signés par les architectes dessinateurs les plus brillants – de Jacques Androuet du Cerceau à Etienne Louis Boullée, de Gilles Marie Oppenord à Jean Jacques Lequeu, deCharles Percier à Henri Labrouste, d’Eugène Viollet-le-Duc à Charles Garnier – les 160 dessins présentés dans cet ouvrage retracent une histoire de l’architecture française de la Renaissance au dernier XIX^e<span></span>siècle.<br>Dans un domaine où le défi majeur consiste à donner à voir un édifice par anticipation, ces dessins témoignent de l’ambition partagée par les architectes d’atteindre un idéal architectural et urbain. Comme le manuscrit de l’écrivain, ils éclairent un processus créatif, avec ses hésitations, ses corrections ou ses reprises. À la différence du texte, ils possèdent toutefois la force et l’autonomie des figures, qui « parlent » à l’œil de façon immédiate. Ils nous proposent ainsi une expérience à la fois sensible et intellectuelle en exprimant le rapport de leurs auteurs à l’espace, à la matière, à la couleur, à l’intelligence des structures.</p><p>Le<strong><span></span>Prix du livre d’art 2020</strong><span></span>a été décerné à Pauline Chougnet et Jean-Philippe Garric, pour cet ouvrage.</p></div></div></div></div></div></div></div></div></div> Paris, 2020 BNF 224 p., 160 ill., broché 24 x 28‎

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