CULTURE ET RACINES EDITIONS
Reference : SVBLIVCN-9782491861452
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782491861452
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M. Alexandre Bachmann
Passage du Rond Point 4
1205 Genève
Switzerland
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1844-1845 Librairie Ecclésiastique, Classique, Élémentaire de Edouard Tetu et Cie - 1844 et 1845 - Troisième édition, revue, modifiée et augmentée d'après les observations que M. le Ministre de l'Instruction Publique a bien voulu communiquer à l'auteur (I) et quatrième édition avec planche, revue et modifiée (II) - In-12, demi basane marron, plats marbrés, reliure modeste de deux ouvrages en un seul volume - 96 p. - Trois planches dépliantes en N&B hors-texte
Bon état - Auréole de mouillure sur la reliure - Légers frottements sur le dos - Intérieur très propre avec de rares rousseurs - Dernière planche illustrée réparée proprement au scotch
[Imprimerie de J.-A. Quillot] - Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD
Reference : 33946
(1848)
1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
A Rouen, chez la Veuve de Pierre du Mesnil, imprimeurs-Libraire, 1788, 3 volumes in-12 de 190x120 mm environ, Tome I : titre, faux-titre, xxiij-560 pages, Tome II : titre, faux-titre, 552 pages, - Tome III : titre+page de faux titre, xvj-720 pages, avec 2 planches dépliantes en fin de volume, pleine basane marbrée fauve, dos à 5 nerfs portant titres et tomaisons dorés, ornés de fleurons et motifs dorés, coupes dorées, gardes marbrées, tranches jaspées. Petits trous de ver et frottements sur le cuir, petites déchirures sur les coiffes, dorures effacées par endroits, tome II avec premier plat voilé et mouillures à l'intérieur, quelques rousseurs, sinon bon état.
Tomes I & II : Dictionnaire Portatif de Santé, sixième édition, revue et corrigée par Charles-Augustin Vandermonde. - Tome III : Dictionnaire Portatif de Chirurgie, par M. Sue le jeune, troisième édition revue et corrigée.Charles-Augustin Vandermonde, né à Macao (Chine) le 18 juin 1727 et mort à Paris le 28 mai 1762, est un médecin français, théoricien de l'hygiénisme et de l'eugénisme, et l'un des pères du journalisme médical. Pierre Sue, né le 28 décembre 1739 à Paris et mort le 28 mars 1816 à Paris, est un médecin et chirurgien français. Il est le fils de Jean Sue (1699-1762), également chirurgien. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Bayard Presse. 24 mars 2005. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 100 pages. Nombreuses illustrations en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION
Classification Dewey : 200-RELIGION