ARBRE VENGEUR EDITIONS -L'-
Reference : SVBLIVCN-9782379412042
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782379412042
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M. Alexandre Bachmann
Passage du Rond Point 4
1205 Genève
Switzerland
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Catalogue présenté à l'Albertina de Vienne (Autriche), en janvier et février 1978 - avant-propos de Peter Weiermair - un volume 15x21 cm sous couverture toilée imprimée, (27) pages de textes et 75 planches hors texte en noir et en couleurs de dessins et gravures réalisés entre 1959 et 1977 -
Hauteville House 11 et 13 mai 1856, 14x21,5cm, une feuille.
Lettre autographe signée de Victor Hugo datée du 13 mai 1856 à la suited'une lettre inédite de Madame Victor Hugo à Madame David d'Angersdatée du 11 mai. 4 pages sur un feuillet remplié à filigrane "Barbet Smith Street Guernesey". Publiée dans Correspondance de Victor Hugo, Paris, année 1856, p. 246 Dans cette lettreimprégnée des apparitions et spectres qui hantent lesContemplationsrécemment publiées, Victor Hugo s'adresse à la veuve de son grand ami le sculpteur David d'Angers, fervent républicain et artiste particulièrement admiré des romantiques. En pleine crise mystique, Hugo parle à l'ombre du sculpteur à qui il dédia de sublimes poèmes dansLes feuilles d'automneainsi queLes rayons et les ombres et réclame auprès de sa veuve son portrait favori, un buste en marbre jadis sculpté par David d'Angers. Après l'expulsion des proscrits de l'île de Jersey,VictorHugo fait l'achat d'Hauteville House grâce au succès desContemplationset apprend avec tristesse la disparition d'un ami cher.Il écrit à la veuve du sculpteur sur le même feuillet que sa femme Adèle, également liée avec la famille de David d'Angers, créateur d'un médaillon à son effigie : «Vous êtes la veuve de notregrand David d'Angers, et vous êtes sa digne veuve comme vous avez été sa digne femme». Le sculpteur de renom s'était déjà lié au premier salon romantique de Nodier à l'Arsenal et fréquentait presque quotidiennement Hugo à la fin des années 1820 dans l'ambiance bonapartiste et bon enfant de la rue Notre-Dame des Champs, en compagnie des frères Devéria, Sainte-Beuve, Balzac, Nanteuil et Delacroix. En 1828, l'écrivain avait posé avec bonheur dans l'atelier de David d'Angers rue de Fleurus, pour un médaillon puis un buste qui avaient été suivis de deux sublimes poèmes célébrant le talent du sculpteur dansLes Feuilles d'Automne etLes rayons et les ombres.De tous ses portraits pourtant nombreux, il chérissait plus que tout autre son buste de marbre signé David d'Angers et n'hésite pas à le réclamer à sa veuve : «Avant peu, peut-être, madame, ma famille vous demandera de lui rendre ce buste qui est ma figure, ce qui est peu de chose, mais qui est un chef-d'uvre de David, ce qui est tout. C'est lui encore plus que moi, et c'est pour cela que nous voulons l'avoir parmi nous». De ces séances de pose avec le sculpteur naquirent de fructueuses conversations esthétiques et politiques où s'était affirmée leur aversion commune pour la peine de mort. Ils assistèrent au ferrement des galériens qui rejoignaient Toulon depuis Paris, décrit par Hugo dans deux chapitres duDernier jour d'un condamné. Victime de l'exil comme Hugo, David d'Angers était rentré à Paris avant de rejoindre le monde des morts: «Mon exil est comme voisin de son tombeau, et je vois distinctement sa grande âme hors de ce monde, comme je vois sa grande vie dans l'histoire sévère de notre temps». La «grande vie» de David d'Angers fut consacrée à façonner les effigies des hommes illustres, par un subtil équilibre de ressemblance et d'idéalisation. Le sculpteur prend finalement place dans le panthéon personnel de Victor Hugo, lui qui avait orné le fronton du véritable Panthéon des grands hommes où repose aujourd'hui l'écrivain: «David est aujourd'hui une figure de mémoire, une renommée de marbre, un habitant du piédestal après en avoir été l'ouvrier. Aujourd'hui, la mort a sacré l'homme et le statuaire est statue. L'ombre qu'il jette sur vous, madame, donne à votre vie la forme de la gloire». C'était en effet à l'ombre des grands hommes qu'Hugo vécut son exil à Jersey, loin du tumulte de la capitale et dans le silence ponctué par les embruns frappant les carreaux. Hugo s'était plongé dans l'occulte et parlait aux disparus :«David est une des ombres auxquelles je parle le plus souvent, ombre moi-même», déclare-t-il, rappelant le poème final desContemplations, «Ce que dit la bouche d'ombre», dicté au poète grâce au procédé spirite des «tables tournantes». Alors au sommet de leur popularité, les tables se pratiquaient dans tous les salons de Paris, jusque chez l'empereur aux Tuileries et à Compiègne. Trois ans auparavant, il s'était ému de pouvoir converser avec sa fille disparue, Léopoldine, et lui avait érigé un monument poétique, lesContemplations, dont les Hugo profitaient du triomphe : «Je suis heureux que le livre desContemplationsait été lu par vous. Vous y avez retrouvé nos chers souvenirs et nos aspirations communes. L'exil a cela de bon, qu'il met le sceau sur l'homme et qu'il conserve l'âme telle qu'elle est». Ses conversations nocturnes s'étendirent bientôt à une cohorte d'illustres personnages, qui communiquaient avec la famille Hugo par les craquements d'un guéridon. Lors de séances quasi-quotidiennes, Hugo avait invoqué l'âme de Chateaubriand, Dante, Racine, Annibal, André Chénier, Shakespeare, Molière, Aristote, Lord Byron, Louis XVI, Napoléon 1er, ou encore Jésus-Christ: «c'est seulement vers les ombres que je me tourne, car c'est là qu'est la gloire, la fierté, la grandeur des âmes, la lumière; et il y a maintenant plus de vie dans les morts que dans les vivants» confie-t-il à la veuve du sculpteur. David d'Angers avait atteint l'éternité à laquelle ils aspiraient tous deux à travers les mots et la matière, demeurant à jamais présent dans ses souvenirs et les portraits marmoréens qu'il sculpta pour lui. Au travers des lignes, se dévoile le poète desContemplations, l'homme endeuillé et toujours meurtri par la disparition de sa fille Léopoldine et de son cher ami.Hugo se livre ici à un magnifique mouvement de lyrisme épistolaire, le sculpteur angevin ayant laissé à la postérité les plus beaux portraits de l'écrivain. Bien des années plus tard,Victor Hugo lui-même fut placé en grande pompe au Panthéon des grands hommes, dont son ami David d'Angers avait orné le fronton. "Guernesey, 13 mai [1856]. Je ne veux pas, madame, que cette lettre parte sans vous porter mon remerciement, mon respect et mon souvenir. Vous êtes la veuve de notregrand David d'Angers, et vous êtes sa digne veuve comme vous avez été sa digne femme. À cette heure, toutes les fois que je me tourne vers la patrie, c'est seulement vers les ombres que je me tourne, car c'est là qu'est la gloire, la fierté, la grandeur des âmes, la lumière; et il y a maintenant plus de vie dans les morts que dans les vivants. David est une des ombres auxquelles je parle le plus souvent, ombre moi-même. Mon exil est comme voisin de son tombeau, et je vois distinctement sa grande âme hors de ce monde, comme je vois sa grande vie dans l'histoire sévère de notre temps. Soyez fière, madame, du nom grave et illustre que vous portez. David est aujourd'hui une figure de mémoire, une renommée de marbre, un habitant du piédestal après en avoir été l'ouvrier. Aujourd'hui, la mort a sacré l'homme et le statuaire est statue. L'ombre qu'il jette sur vous, madame, donne à votre vie la forme de la gloire. Je suis heureux que le livre desContemplationsait été lu par vous. Vous y avez retrouvé nos chers souvenirs et nos aspirations communes. L'exil a cela de bon, qu'il met le sceau sur l'homme et qu'il conserve l'âme telle qu'elle est. Avant peu, peut-être, madame, ma famille vous demandera de lui rendre ce buste qui est ma figure, ce qui est peu de chose, mais qui est un chef-d'uvre de David, ce qui est tout. C'est lui encore plus que moi, et c'est pour cela que nous voulons l'avoir parmi nous. Je mets à vos pieds ma tendre et respectueuse amitié. post scriptum inédit :est-ce que vous seriez être assez bonne pour faire jeter cette lettre à la poste. Mille remerciements, espérons, Madame. V.H." - Photos sur www.Edition-originale.com -
, Brepols, 2021 Hardback, 2 vols, 756 pages, Size:225 x 300 mm, Illustrations:1265 col., Language: English. ISBN 9782503597270.
Summary This book is the first comprehensive publication on Scottish portraiture from the period 1644 to 1714, with an emphasis on the painters David Scougall (1625-1685), and his son John Scougall (1657-1737). It is based on in-depth art historical and archival research. As such, it is an important academic contribution to this thus far little-researched field. Virtually nothing was known about the Scougall portraitists, who also include the somewhat obscure George Scougall (active c. 1690-1737). Thorough archival research has provided substantial biographical information. It has yielded life dates and data on family relations and, also, it has become clear that David Scougall had two parallel careers, as a portrait painter and as a writer (solicitor). The legal community in which the Scougalls were embedded has been defined, as well as an extended group of sitters and their social, economic, and family networks. The book includes a catalogue raisonn of the oeuvre of David Scougall. The most important contemporaries of the Scougalls were the portraitist L. Sch neman (active c. 1655/60-1667 or slightly later), his successor James Carrudus (active c. 1668-1683 or later), whose work is identified for the first time in this book, David Paton (c. 1650-in or after 1708), Jacob Jacobsz. de Wet (1641/42-1697) and Sir John Baptist Medina (1659-1710). Their lives and work are discussed. An extensive survey of Scottish portraits, with an emphasis on the work of the Scougall painters, is presented for the period 1644 to 1714. Numerous attributions to various artists and sitter identifications have been established or revised. An overview of the next generation is provided, in which the oeuvres and biographical details are highlighted of the principal portrait painters, such as William Aikman (1682-1731), Richard Waitt (1684-1733) and John Alexander (1686-1767). Countless paintings have been photographed anew or for the first time, and have been compared in detail, which had hardly been done before, while information is also included on technical aspects and (original) frames. The resulting data have been complemented by analysing the social and (art-) historical context in which the portraits were made. The works of the portrait painters in Scotland from this period, as this book shows, now form a solid bridge between the portraits painted prior to George Jamesone's death in 1644, and those by the renowned Scottish painters of the eighteenth century. TABLE OF CONTENTS VOLUME I Abbreviations - Foreword - Acknowledgements Introduction Current State of Published Research on the Scougalls and Their Circle and the Appreciation of Their Work Through the Centuries The Elder Scougall/Old Scougall and the Younger Scougall Dates and Scarcity of Known Archival Material Artistic Context: Painting in Scotland, the Start of a Portrait Tradition, c. 1575-1660 David Scougall (Edinburgh, 1625-1685), His Life and Career Emerging from the Shadows Father and Son, John (d. after 13 October 1627) and David (1625-1685) Writer and Painter Family Patrons The Outset of a Career Father and Son, David (1625-1685) and John (1657-1737) The Advocate's Close The Profession of a Writer or Clerk in the Time of David Scougall The Profession of a Painter in the Time of David Scougall Possible Teachers and Family Creativity Decline and Death Skougall or Scougall Personal Network, Legal Community and Further Family Relations John Scougall (Edinburgh, 1657-1737), His Life and Career A Long and Prosperous Life Becoming a Limner Family Patrons Increased Prosperity Lack of Competition 1694: A Year of Important Changes Decline in Skill and Death David Scougall: The Oeuvre, Characteristics, Development and Sources of Inspiration The Outset of a Career Core Works, the Basis for a Compilation of the Oeuvre Associated Works Miniatures or Pocket Pictures Stylistic Features and Motifs Consistency in Style Late Works, 1675-1685 Technical Aspects of David Scougall's Paintings Technical Research and Painting Technique Painting Materials David Scougall as a Copyist Costumes and Jewellery Use of Motifs from Portraits by Other Painters No Inventor, but Painting Real People Production Studio Practice and Legal Community John Scougall: The Oeuvre, Characteristics, Development and Sources of Inspiration The Early Years Indisputable Works Associated Works Use of Motifs from Portraits by Other Painters Stylistic Features and Motifs Technical Aspects of John Scougall's Paintings Technical Research and Painting Technique John Scougall as a Copyist Production Mending and Washing Studio Practice and Apprentices George Scougall (b. 1670?, active c. 1690- c. 1737) Lack of Biographical Data In the Studio of John Scougall Inadequate Traces of Work Clients/Sitters Nobility and Clergy Clients and Religious Beliefs Loyal Patrons Bonding Portraits Competition from Abroad Ladies and Gentlemen Portraying Children Problems in Sitter Identification Known Sitter, but Problem in Period and Handling Portraits Telling the Truth? Scougall's Clients, Where Were They Based, and the Painter's Studio Backs and Frames The Back of the Painting Period Frames Prices for Portraits and Frames Prices for Portraits by David Scougall 1664-1683 Prices for Portraits by John Scougall 1674-1728 Prices for Frames The Contemporaries of the Scougalls John Michael Wright (1617-1694) L. Sch neman (active c. 1655/60-1667 or shorty after) James Carrudus (active 1671 or earlier-1683 or later) David Paton (c. 1650-in or after 1708) Thomas Murray (1663-1735) Jacob Jacobsz. de Wet (1641/42-1697) Portraits, Painters Unknown Painters, Portraits Unknown Sir John Baptist Medina (1659-1710) The Next Generation William Aikman (1682-1731) Richard Waitt (1684-1733) John Alexander (1686-1767) John Smibert (1688-1751) And Beyond Summary and Conclusion Appendices Appendix I The Scougall Family, Reconstruction of the Family Tree Appendix II Transcriptions of Various Archival Documents Concerning the Scougall Painters Appendix III The Mysterious Portrait of 'John Scougall' Appendix IV Transcription of the Memoir by Sir John Clerk of Penicuik, 1st Baronet (1649-1722) of His Wife Elizabeth Henderson, Lady Clerk (1658-1683) ? VOLUME II Catalogue Raisonn of the Paintings by David Scougall (1625-1685) Introduction Glossary Catalogue A Authentic Works Catalogue AW Works Known Only from Written Sources Catalogue B Copies by David Scougall After Works by Others Catalogue C Doubtful Works Catalogue D Works Known Only Through Copies and Prints Catalogue E Rejected Works Concordance Notes Bibliography Websites Guides to Houses and Other Venues Exhibitions Inserted Details Index
Lot de 17 Revues, Magazines Photo N°35 48 62 67 71 74 77 81 91 106 113 116 126 135 146 161 194, David Hamilton d'un Collectif chez U.E.M. en Septembre 1971, Novembre 1972, Avril 1973, Août 1973, Novembre 1973, Février 1974, Juin 1974, Avril 1975, Juillet 1976, Février 1977, Mai 1977, Mars 1978, Décembre 1978, Novembre 1979, Février 1981, Novembre 1983. Le livres sont illustrées de nombreuses photos érotique de David Hamilton et autres. Les livres mesurent 22x28 cm et pèse 5,700 kg (c) pour 98 à 150 pages. Reliure d'éditeur souple. Les livre sont en très bon état dans l'ensemble, légèrement gauchi, traces d’humidité dans un coin sur le N°48 et 91, légère odeur d'humidité.
N°35 : vacances:photographiez les jolies filles comme David Hamilton !!!! le shopping dernière minute N°48 : 16 pages couleur: les belles adolescentes de David Hamilton, Au banc d'essai: le nouvel hasselblad!!, Filmez en marchant N°62 : Les nouvelles demoiselles de David Hamilton N°67 : Couverture d'Hamilton, Chez les hommes du Ku Klux Klan!!, Technique de la chasse photo!!, Jim Lee:des nus!!, Les Krims:des visions N°71 : Les nouveaux nus d'Hamilton, Pour réussir vos photos de vacances, Ferreri par Sieff N°74 : Couverture d'Hamilton, Gene Smith au Japon, Spécial Salon 1973, Jacques-Henri Lartigue N°77 : Couverture d'Hamilton, Hold-up à la banque: des photos accusent, Les auto-nus" de Sabine, 1974:Les zooms en flèche N°81 : David Hamilton : De Nouvelles audaces N°91 : Spécial nuits de la photo avec Cartier-Bresson, Pete Turner, Hamilton... N°106 : Spécial: Les maîtres de l’érotisme de Lewis Carroll à David Hamilton N°113 : L'album des stars de Hollywood, Concours : jouez les David Hamilton N°116 : Spécial Hamilton: Les gagnants du concours et l'album de "Bilitis" N°126 : Couleur: Maisel fou de Paris, Usa La foire au nu, Viseurs a l’épreuve de vérité N°135 : Spécial 10 ans de Hamilton N°146 : Inédit: Hamilton, Les ombres de l’été, Les beautés du "Crazy Horse", Le labo dans la valise N°161 : Hamilton: Premiers nus Polaroid, Texas: Un meurtre Par page, Hambourg: Shows très spéciaux N°194 : Hamilton: Son enfer pour la 1ère fois, Mesrine: La fin de l'ennemi public n°1
Imprimerie V. Delvaux, Namur, 1907. Un volume relié (24 x 32 cm) de 109 pages. Reliure demi chagrin bordeaux à coins, dos à nerfs orné, titre doré. Reliure légèrement usée et salie sinon bon exemplaire. Illustré de quatre photographies contrecollées et de deux planches de blasons. Exemplaire comportant quelques corrections manuscrites.
Alexandre-Joseph de Lossy (Tournai, le 18 octobre 1822 - 29 décembre 1864) épousa en 1805 Henriette de Ville (1781-1854), fille du baron Philippe de Ville, et de Caterine Cavendish, de la famille des baronets Cavendish. Ils eurent trois fils et une fille. Malgré cela, cette branche de la famille s'est éteinte dans le premier quart du XXe siècle.Une petite-fille d'Alexandre, Berthe de Lossy (1840-1928), a publié plusieurs ouvrages de souvenirs de famille. Elle s'est mariée au chevalier, Nicolas David (1830-1920), qui, en 1888, hérité du titre de noblesse des de Lossy, ainsi que du titre de chevalier transmissible à l'aîné. Il était un fils de député Pierre-Joseph David. En 1929, leur fils Fernand David put joindre le nom de Lossy au nom David et le transmettre à sa lignée, notamment les photographes Morgan David de Lossy, Ghislain David de Lossy, et Julie David de Lossy.