LITTLE VILLAGE EDITIONS
Reference : SVBLIVCN-9782371960084
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782371960084
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M. Alexandre Bachmann
Passage du Rond Point 4
1205 Genève
Switzerland
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" Aux Folies de l'Ymaigier " [Paris, chez Jean Lébédeff]. 1954. In-12 en feuilles sous chemise imprimée rempliée. 24 pages. Texte calligraphié. 8 bois gravés et coloriés, bandeaux, lettrines, vignettes, encadrements de Jean Lébédeff. Tiré à 325 exemplaires par Jean Lébédeff sur sa presse à bras. Justifié et signé par Jean Lébédeff. Très beau livre. En parfait état.
" [En 1954] Jean Lébédeff composa " Le Coq d'or " de Pouchkine, calligraphié, orné de compositions en couleur, chaque exemplaire colorié à la main, tiré sur presse à bras, numéroté et signé. Un admirable petit ouvrage qui pourrait être celui d'un orfèvre appartenant à une époque disparue. La précision du moindre trait de chaque caractère inspiré du vieux slavon est respectée. Poussée à un tel degré, la technique risquait d'exclure le charme. Il n'en est rien. Une fraîcheur d'une extrême jeunesse éclaire chaque volet. Pourtant, Jean Lébédeff commençait à perdre la vue. En parachevant " Le Coq d'or ", il fêtait son soixante-dixième anniversaire " (J.-C. Marcadé, " Jean Lébédeff, créateur d'images ").
1928 1 Affiche lithographiée en couleurs signée en bas à droite dans la planche, Paris, imprimerie Chachouin, 1928, 120 x 80 cm.
Très belle affiche de Georges Pogedaïeff (Pogedaïevka, Koursk 1897-1971 Paris) représentant les thèmes du théâtre russe : magiciens, danseuses, Raspoutines et babouchkas, cosaques, chevaux, fillettes et bien sûr, le coq d'or aux couleurs vives. Le théâtre du "Coq d'Or", dirigé et créé par Anatole Dolinoff (1869-1945), metteur en scène et acteur, présente des chants, ballets, tableaux vivants, théâtre d'art Russe.
NELSON C Le coq d’or. Traduction de l’anglais par I. RAFFEJEAUD. Petit in 8 cartonné, 215x175mm dos pincé, couverture illustrée en couleurs, titre illustré, 20 pages 10 illustrations en couleurs à pleine page, plus la couverture, et culs de lampe en noir, de Jean BUKAC. Color print sans date (vers 1940-1950),. rare, Proche de l’état de neuf.
Editiée par St. Eugenie Red Cross Society. 1916. Impression en lithographie. Dim: 14 x 9.1 cm
Une des plus célèbres illustration du peintre Ivan Bilibine pour le conte du Coq d'or.
Lucien Vogel éditeur, Paris Juillet 1914, 18x24cm, ballet russe, une feuille.
Estampe en noir et blanc rehaussée au palladium, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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