BUCHET CHASTEL EDITI
Reference : SVBLIVCN-9782283030387
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782283030387
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M. Alexandre Bachmann
Passage du Rond Point 4
1205 Genève
Switzerland
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Revue Thomiste. 1991. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 119 à 140 + paginé de 871 à 890 + paginé de 525 à 562 + paginé de 283 à 322.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Science et culture intelligence artificielle - place de l'homme dans la nature - science de foi conditions nouvelles du dialogue - chronique sciences cognitives neurosciences et âme humaine. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Manuscrit signé de 12 feuillets in-8 oblong rédigés au recto, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860, tome IX, pp. 409-413 : Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et de sa réception en France sont très informées. "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique."
Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et la présentation de sa réception en France sont celles d'un critique très informé. Manuscrit provenant du fonds Dentu (l'éditeur Edouard Dentu prit la direction de la Revue Européenne de 1859 à 1862).
Beaudot (Alain), ed. - Bernadette Grandcolas,J.P. Guilford, et E.P. Torrance, eds. - J.W. Getzels et P.W. Jackson - M.A. Wallach et N. Kogan - Brewster Ghiselin, Roger Rompel et Calvin M. Taylor - F. Barron - D.W. Mac Kinnon - L.S. Kubie - D.C. Mc Clelland - S.J. Parnes - P.S. Weisberg et K.J. Springer - D.C. Dauw - J.S. Bruner
Reference : Cyb-6960
(1973)
Dunod , Organisation et Sciences Humaines Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1973 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée à rabats éditeur, bleu, noir et blanc grand In-8 1 vol. - 300 pages
1ere traduction en français, 1973 Contents, Chapitres : Avant-propos, préface, table, xii, Texte, 288 pages - Introduction de J.P. Guilford : La créativité - 1. Identification de la créativité : J.W. Getzels et P.W. Jackson : L'adolescent créatif et l'adolescent intelligent - M.A. Wallach et N. Kogan : Nouvelle appréhension du problème de la distinction, intelligence-créativité - E.P. Torrance : La validité prédictive des tests de pensée créative - Brewster Ghiselin, Roger Rompel et Calvin M. Taylor : Check-list du processus créatif - 2. La personnalité créative : F. Barron : Disposition pour l'originalité - D.W. Mac Kinnon : Nature et culture du talent créatif - L.S. Kubie : Le préconscient et la créativité - D.C. Mc Clelland : Psychodynamique des physiciens créatifs - 3. Education et environnement : S.J. Parnes : Education et créativité - P.S. Weisberg et K.J. Springer : Le milieu familial dans la fonction créative - E.P. Torrance et D.C. Dauw : Rêves et aspîrations de trois groupes d'adolescents créatifs et d'un groupe témoin comparable - J.S. Bruner : Conditions de la créativité - J.P. Guilford : La créativité, rétrospective et prospective - Annexe : Le test de créativité de M.A. Wallach et N. Kogan - Bibliographie générale et index couverture à peine jaunie, sinon très bon état, intérieur frais et propre
Rotterdam, Chez Reinier Leers 1685, 160x100mm, reliure veau-marbré de l’époque avec piède de titre dorés au dos, fluerons dorés au dos à faux-nerfs. Cuir frotté. Intérieur propre.
3 ff. + 232 pages,
1812 1 vol in-8 broché - N° original 12 de décembre 1938 - 210 pages - Bureau d'Editions, 31, boulevard Magenta - Paris 10 -
petit accroc sans manque tranche latérale 1ère de couverture, assez bon état