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Reference : SVBLIVCN-9782130821762
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782130821762
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M. Alexandre Bachmann
Passage du Rond Point 4
1205 Genève
Switzerland
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LIBRAIRIE POLYTECHNIQUE CH. BERANGER. 1926. In-12. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 1440 pages / nombreux dessins techniques en noir et blanc dans le texte / nombreuses formules de calcul/. tranches rouges / 2 photos dont une des shémas. . . . Classification Dewey : 620-Art de l'ingénieur et activités connexes
traduit sur la 24eme edition allemande / SOMMAIRE:SCIENCE DES MESURES - STATIQUE DES CONSTRUCTIONS - FONDATIONS - CONSTRUCTIONS EN BETON ARME - CONSTRUCTIONS - VENTILATION ET CHAUFFAGE - INSTALLATION DES USINES - MACHINES UTILISEES DANS LA CONSTRUCTION - CONSTRUCTIONS HYDROLIQUES - INSTALLATIONS DE FORCE MOTRICE HYDRAULIQUE - BARRAGE DES VALLEES - CONSTRUCTION DES ROUTES - CONSTRUCTION DES VILLES - DISTRIBUTION DE L'EAU - DRAINAGE DES VILLES - TECHNOLOGIE DES CHEMINS DE FER - CONSTRUCTION DES PONTS Classification Dewey : 620-Art de l'ingénieur et activités connexes
Pellerin, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort.Bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Pellerin, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Bel état, couleurs très bien conservées.Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Traité de stabilité des constructions, Leçons professées au conservatoire national des arts et métiers a l'école spéciale d'architecture de Jules Pillet chez Dépôt des cours techniques, Cours techniques de l'architecte et du constructeur en 1895. Le livre est illustré de 515 figures. Le livre mesure 26x32 cm et pèse 3,200 kg (c) pour 477 + LVI pages. Reliure d'époque cartonnée. Le livre est en état d’usage, très bon, bords coins frottés.
Cet ouvrage s'adresse surtout aux personnes, Architectes, Ingénieurs et Constructeurs, qui désirent étudier les questions de résistance des matériaux et de stabilité des constructions sans avoir recours au calcul infinitésimal. C'est à la mécanique la plus élémentaire, ainsi qu'à la géométrie, que, sous forme d'épures de Statique graphique, j'emprunte les solutions de toutes les questions, même de celles qui sont les plus ardues, telles que le calcul des poutres continues, le calcul des arcs et la détermination de la poussée des terres. Un coup d'œil jeté sur la table des matières suffira pour faire comprendre le plan de cet ouvrage. En réalité il est le développement du cours de Stabilité des constructions que, depuis 1878, mon maître et ami M. Emile Trélat m'a fait l'honneur de me confier à l’école spéciale d'Architecture en remplacement du regretté de Dion. Il reproduit aussi les leçons sur le même sujet que, à titre de suppléant de M. Trélat et, ensuite, comme titulaire du cours de constructions civiles, j'ai faites à plusieurs reprises au Conservatoire des Arts et Métiers. Si j'insiste sur les origines de cet ouvrage c'est pour convaincre celui qui tentera de le lire qu'il aura sous les yeux un livre élémentaire dans sa forme quoique assez complet dans ses développements, un livre qui n'aura été publié qu'après avoir, auprès de nombreux élèves, subi la sanction de l'enseignement et avoir, comme conséquence de ces épreuves répétées, éprouvé des modifications et, surtout, des simplifications nombreuses. Il est sans doute bien prétentieux à moi de faire paraître un traité de Stabilité des Constructions alors qu'il existe déjà les ouvrages de Bresse, de Collignon, de Rouché, de Koklin, de Brune et de tant d'autres Ingénieurs, alors que M. Maurice Lévy a fait bénéficier les constructeurs de son admirable traité de Statique graphique, véritable monument dans lequel on trouve tout ce qui a été dit aussi bien que tout ce qui sera dit, pendant longtemps encore, sur cette...