‎VIKTOROVITCH/BARBET‎
‎ART DE NE PAS DIRE -L'-‎

‎SEUIL‎

Reference : SVBLIVCN-9782021566000


‎LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782021566000‎

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M. Alexandre Bachmann
Passage du Rond Point 4
1205 Genève
Switzerland

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‎ELLENBERG JORDAN‎

Reference : SVBLIVCN-9782842252502

‎ART DE NE PAS DIRE N'IMPORTE QUOI -L-‎

‎VUIBERT EDITEUR‎


‎LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782842252502‎

Bookit! - Genève
EUR38.87 (€38.87 )

‎PERRIN, Emile‎

Reference : 44449

(1860)

‎Chronique Musicale. [ Manuscrit autographe signé de 12 pp. in-8, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860 ] "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎

‎Manuscrit signé de 12 feuillets in-8 oblong rédigés au recto, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860, tome IX, pp. 409-413 : Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et de sa réception en France sont très informées. "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎


‎Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et la présentation de sa réception en France sont celles d'un critique très informé. Manuscrit provenant du fonds Dentu (l'éditeur Edouard Dentu prit la direction de la Revue Européenne de 1859 à 1862).‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR390.00 (€390.00 )

‎HENNER Jean Jacques‎

Reference : 85070

(1894)

‎Lettre autographe signée adressée à son ami l'influent critique d'art Emile Durand-Gréville : "Exposer pour m'entendre dire c'est toujours la même chose ce n'est pas la peine et je voudrais tant faire un pas non tant pour les autres mais pour moi."‎

‎S.n., s.l. s.d. (26 Mars1894), 10,5x17cm, quatre pages sur un double feuillet.‎


‎Lettre autographe signée de Jean-Jacques Henner à son ami Emile Durand-Gréville, 49 lignes à l'encre noire, quatre pages sur un double feuillet. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli. Une précision manuscrite concernant le nom du destinataire et la date de la missive en tête du premier feuillet. "Mon cher ami, vous avez eu tort de ne pas emporter cette feuille. Elle est à nous ainsi que tout ce qui peut nous faire plaisir. Ce ne sera jamais en d'aussi bonnes mains. Je voulais aller voir madame Madame Durand Gréville hier après midi mais je me suis laissé aller à travailler chez moi. Je suis bien découragé et bien troublé en ce moment et je ne sais plus où j'ai la tête. Exposer pour m'entendre dire c'est toujours la même chose ce n'est pas la peine et je voudrais tant faire un pas non tant pour les autres mais pour moi. Venez donc quand vous voudrez vous emporterez votre feuille de croquis. A j'en serai bien heureux c'est par hasard que je ne l'ai pas jeté comme tant d'autres. Tou à vous deux de tout coeur comme vous le savez. Traducteur en français d'Ivan Tourguéniev, grand ami de Jean-Jacques Henner, Emile Durand-Gréville devient un critique d'art important et reconnu,menant de nombreuses études au sein des musées et galeries. Il s'intéresse également à la météorologie encore naisssante. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR200.00 (€200.00 )

‎Collectif‎

Reference : R110523965

(1964)

‎Le Pèlerin n° 4265 - Je n'aime pas ceux qui trichent, Le secret des étiquettes, S 15 B ? C'est a dire ?, Voir Naples et ne pas mourir, Au Mont-Dore : Geo Cavin l'homme orchestre, Le manoir de Placy : un écrin digne des joyaux de l'art normand, Comme sable‎

‎Bureau de de la revue. 9 aout 1964. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 51 pages. Quelques illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION‎


‎Sommaire : Je n'aime pas ceux qui trichent, Le secret des étiquettes, S 15 B ? C'est a dire ?, Voir Naples et ne pas mourir, Au Mont-Dore : Geo Cavin l'homme orchestre, Le manoir de Placy : un écrin digne des joyaux de l'art normand, Comme sable sur le rivage n°14 par Marialix Naud, Le colonel réalise le crime parfait n°7 par Jean Roc Classification Dewey : 200-RELIGION‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎Nicolas Machiavel‎

Reference : 47518

(2004)

‎Discours sur la première décade de Tite-Live - Trad. de l'italien par Alessandro Fontana et Xavier Tabet - Préface d'Alessandro Fontana - Notes d'Alessandro Fontana avec la collaboration de Xavier TabetConçus sous la forme d'un commentaire des dix premiers livres de l'Histoire de Tite-Live, les Discours représentent l'achèvement de la pensée machiavélienne, à mi-chemin entre Le Prince (1513), l'Art de la guerre (1519-1521) et les Histoires florentines (1520-1525). Ils marquent la naissance, au moment du déclin de la Respublica Christiana et du Sacrum Romanum Imperium, d'une nouvelle théorie et pratique de la «politique», à l'écart des idées antiques sur le meilleur gouvernement, des conceptions éthico-juridiques médiévales, et des modèles humanistes des «miroires des princes».Il est essentiellement question dans les Discours de la sécurité et de la puissance des États, sur fond de cet état de guerre qui va désormais constituer la trame de leurs rapports. Apparaît ainsi ce qui jusque-là n'avait pas encore été pensé, la «politique étrangère», domaine pour la première fois «problématisé» par Machiavel.La politique nouvelle se déploie sur le plan d'une historicité radicale où la vertu, c'est-à-dire la liberté des choix et des décisions, se subordonne à la fortune, à savoir aux nécessités de l'histoire. Face à cette historicité, se sont défaites aussi bien la métaphysique chrétienne du salut que la métaphysique platonicienne des formes idéales et intemporelles.576 pages, 140 x 225 mm ‎

‎ 2004 PARIS, Collection Bibliothèque de Philosophie, Gallimard - 2004 - In-8 - Mention "Epreuvezs non corrigées - mise en vente Octobre 2004" - 573 pages - pliure au 1 er plat, sinon exemplaire comme neuf‎


‎Conçus sous la forme d'un commentaire des dix premiers livres de l'Histoire de Tite-Live, les Discours représentent l'achèvement de la pensée machiavélienne, à mi-chemin entre Le Prince (1513), l'Art de la guerre (1519-1521) et les Histoires florentines (1520-1525). Ils marquent la naissance, au moment du déclin de la Respublica Christiana et du Sacrum Romanum Imperium, d'une nouvelle théorie et pratique de la «politique», à l'écart des idées antiques sur le meilleur gouvernement, des conceptions éthico-juridiques médiévales, et des modèles humanistes des «miroires des princes».Il est essentiellement question dans les Discours de la sécurité et de la puissance des États, sur fond de cet état de guerre qui va désormais constituer la trame de leurs rapports. Apparaît ainsi ce qui jusque-là n'avait pas encore été pensé, la «politique étrangère», domaine pour la première fois «problématisé» par Machiavel.La politique nouvelle se déploie sur le plan d'une historicité radicale où la vertu, c'est-à-dire la liberté des choix et des décisions, se subordonne à la fortune, à savoir aux nécessités de l'histoire. Face à cette historicité, se sont défaites aussi bien la métaphysique chrétienne du salut que la métaphysique platonicienne des formes idéales et intemporelles. - Livraison a domicile (La Poste) ou sur simple demande en Mondial Relay.- ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le surcoût du au nopmbre de livres achetés ou du poids de ceux-ci. - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148 ‎

A l's.p.rance - Brest

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