Delcourt (6/2022)
Reference : SVALIVCN-9782413043614
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782413043614
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M. Alexandre Bachmann
Passage du Rond Point 4
1205 Genève
Switzerland
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Divers éditeurs, 1814 1815 In-8, demi-basane brune, dos lisse, filets et roulettes dorés, 580 pp. Menus frottemenst, rares rousseurs.
Précieux recueil de ces 9 libelles antibonapartistes, sous l’intitulé ironique du collecteur : Coups de pieds d’ânes, 1814. Bon état d’occasion
1 placard in-4 format 26x 20 cm, s.l.n.d. [ 1815 ] : Buonaparte au 4 mai 1815. "Le système des journaux de Buonaparte n'est pas changé quant au fond ; c'est toujours le même esprit de mensonge, d'impudence et de perfidie, mais dans la vue d'un résultat différent [... ] Vous êtes Français, soldats, et la trahison vous indigne. Une noble rougeur couvre vos fronts au nom d'Elchinger et de La Bédoyère. J'ai vu de saintes larmes rouler dans vos yeux au souvenir du Roi. Vous justifierez l'armée française devant l'histoire qui l'attend. Disons en peu de mots quelle est la situation actuelle de la France entière à l'égard de Buonaparte : Les royalistes n'en voudront jamais ; Les républicains n'en veulent plus ; L'armée regrette d'en avoir voulu ; Les buonapartistes n'osent plus avouer qu'ils en veulent".
Rare placard publié pendant les Cent Jours, et s'opposant au retour de Napoléon revenu de l'île d'Elbe. Bon état (feuillet plié en quatre). Nous disposons d'un autre exemplaire intitulé "Bonaparte au 4 mai 1815".
1 placard in-4 format 26x 20 cm, s.l.n.d. [ 1815 ] : Bonaparte au 4 mai 1815. "Le système des journaux de Buonaparte n'est pas changé quant au fond ; c'est toujours le même esprit de mensonge, d'impudence et de perfidie, mais dans la vue d'un résultat différent [... ] Vous êtes Français, soldats, et la trahison vous indigne. Une noble rougeur couvre vos fronts au nom d'Elchinger et de La Bédoyère. J'ai vu de saintes larmes rouler dans vos yeux au souvenir du Roi. Vous justifierez l'armée française devant l'histoire qui l'attend. Disons en peu de mots quelle est la situation actuelle de la France entière à l'égard de Buonaparte : Les royalistes n'en voudront jamais ; Les républicains n'en veulent plus ; L'armée regrette d'en avoir voulu ; Les buonapartistes n'osent plus avouer qu'ils en veulent".
Rare placard publié pendant les Cent Jours, et s'opposant au retour de Napoléon revenu de l'île d'Elbe. Bon état (petite brunissure en pliure centrale). Nous disposons d'un autre exemplaire intitulé "Buonaparte au 4 mai 1815".
2 placards format 25,5 x 21, De l'Imprimerie de Cherche, A Amiens, et format 26 x 20 cm, s.d. [ 1815 ]. Rappel du titre complet : [Lot de 2 placards : ] Déclaration de la Garde Nationale d'Amiens, affichée à Amiens, Beauvais et autres villes de Picardie "Buonaparte dit que les Bourbons amènent les étrangers en France. Eh ! s'il n'étoit venu venu souiller notre sol, nous serions en paix avec l'Europe. Sébastiani est venu pour nous faire prendre les armes. Nous jurons tous que, si ce vil satellite de Buonaparte vient dans nos murs avec l'intention et les pouvois proconsulaires [ ... ] il y trouvera le châtiment de ses crimes [... ] [On joint : ] Lettre des sous-officiers et soldats en congés limité et illimité de la ville d'Amiens, à son Excellence le Ministre de la Guerre. " Monseigneur, La fausse interprétation de nos sentimens dans l'appel que vous venez de nous faire, exige de nous une réponse qui confonde notre imposture. Quel délire a pu vos faire dire que nous avons désiré le retour de Napoléon, lorsque, rentrés dans nos foyers par la clémence d'un bon Roi, nous n'avions d'autre but que d'y rester ? Nous sommes tous au milieude ce que nous avons de plus cher ; nous ne nous en séparerons que pour frapper, terrasser les traîtres, qui ont osé favoriser le retour du tyran usurpateur. Malheur aux vils satellites, qui oseroient porter les mains sur nous ou sur nos parens, pour les priver de la liberté ! Nous ne voulons point obéir à l'appel qui nous est fait : nous ne reconnoissons que celui du Roi, en date du 9 mars dernier ; et c'est pour sa défense que nous prendrons les armes. Dans quel avilissement les autorités sont tombées ! Naguère les premiers magistrats de cette ville nous engagoient à repousser et à anéantir le Corse, qui vient encore désoler nos familles, et apporter parmi nous tous les fléaux [... ] Braves camarades, gardons-nous de méconnoitre notre Roi légitime ; rallions-nous, et ne souffrons pas que qui que ce soit porte une main téméraire sur un seul d'entre nous, pour nous forcer de servir une cause que nous abhorrons ! (Copié sur un exemplaire envoyé par un des officiers d'Amiens à sa famille, à Paris,...... dans une lettre par la Poste) "
Rare réunion de 2 placards royalistes publiés à Amiens pendant les Cent Jours, et s'opposant au retour de Napoléon revenu de l'île d'Elbe.
1 feuillet in-8, s.d. [ 1815 ] Aux Gardes Nationaux de France [ Edition originale ] "Nous, Charles-Philippe de France, Comte d'Artois, Colonel général de la Garde Nationale, instruit que Napoléon Buonaparte, en se donnant la qualité de de souverain légitime du Royaume, et voulant, d'après ce titre usurpé par la fraude et la trahison mobiliser la Garde Nationale de France, afin de concourir avec la troupe de ligne à la défense de l'état qu'il annonce être attaqué, protestant contre tous les actes donnés à cet effet et émanés de Napoléon Buonaparte ; Mandons et ordonnons aux commandans des Gardes nationaux du Royaume de se refuser à obtempérer aux ordres du prétendu souverain légitime [... ]"
Bon état pour ce document publié par le frère de Louis XVIII et futur Charles X.