First éditions (7/2024)
Reference : SVALIVCN-9782412095164
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782412095164
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M. Alexandre Bachmann
Passage du Rond Point 4
1205 Genève
Switzerland
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Caen, Jean-Claude Pyron, 1760. Placard (36 x 50 cm) imprimé sur trois colonnes, orné de deux grands blasons gravés sur bois.
Palinod du lauréat Jean-Jacques-François Deshayes pour l'année 1760 présenté à l'académie ou Puy de Caen, orné des armoiries gravées des deux restaurateurs du prix au XVIIe siècle, Jacques Le Maître de Savigny chanoine d'Avranches et Pierre Le Marchand, conseiller et secrétaire du roi, trésorier général de France à Caen.« Tous les ans, poètes latins ou français sont invités à créer des textes littéraires (poésie, épigramme, chants, ballade, etc.) en l’honneur de l’Immaculée Conception de la Vierge. Le jury se réunit à l'Université de Caen le jour de la fête du Puy de l'Immaculé conception de la Très sacrée Vierge Marie Mère de Dieu, c'est-à-dire le 8 décembre. Le Puy a été fondé grâce à une rente d'Etienne du Val, sieur de Mondrainville, en 1557. Délaissé par manque d'argent, le Puy est rétabli en 1624 par la donation perpétuelle de cent livres de rente faite par Jacques Le Maistre, chanoine de la cathédrale d'Avranches, principal du collège du Bois » (Archives du Calvados).Pâles mouillures. Frère, II, pp. 379-382.
Non renseigné. Non daté. In-8. Relié plein cuir. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Coiffe en tête abîmée, Quelques rousseurs. 525 pages. Tranches poivrées roses. Quelques traces de mouillures sans conséquences sur la lecture. Page de titre manquante. Non daté, vers 1669. Dos à 5 nerfs, titre, caissons et motifs dorés. Dos plié, mors légèrement fendus, coiffes abîmées. 3 photos disponibles.. . . . Classification Dewey : 840.04-XVII ème siècle
Table : Premier semon pour le jour de l'immaculée conception de la vierge - Second sermon pour le jour de l'immaculée conception de la vierge - Premier sermon pour le jour de la natiuité de la vierge - Second sermon pour le jour de la natiuité de la vierge - Sermon pour le jour de l'annonciation de la vierge - Premier sermon pour le jour de la purification de la vierge - Second sermon pour le jour de la purification de la vierge - Trosième sermon pour le jour de la purification de la vierge - Sermon pour le jour de la visitation de la vierge - Premier sermon pour le jour de l'assomption de la vierge - Sermon de Nostre-Dame des Agonisans au jour de l'Assomption - Premier semon pour l'octave de l'Assomption de la vierge - Second Sermon pour l'octave de l'Assomption de la vierge - Semon pour le jour de la présentation de la vierge - Sermon de Nostre-Dame de la paix Classification Dewey : 840.04-XVII ème siècle
Limoges, Barbou Frères, s.d. (1869), 2 vol. in-8°, ix-731 et 677 pp, reliures demi-chagrin carmin, dos à 4 nerfs pointillés à froid, titre, tomaisons et caissons dorés (rel. de l'époque), plats du tome 2 lég. salis, bon état. Peu courant
"Fille d'un conseiller au Parlement de Toulouse qui fut exécuté lors de la Grande Terreur et nièce d'un chanoine qui administra clandestinement le diocèse de Toulouse et plusieurs diocèses voisins pendant la Révolution et qui, après le Concordat, devint évêque de Limoges, Joséphine du Bourg suivit son oncle dans cette dernière ville et entra d'abord chez les hospitalières de Saint-Alexis qui en desservaient l'hôpital. Chargée par la suite, en 1827, de fonder à Évaux une maison de l'ordre du Verbe Incarné qui venait d'être reconstitué à Azerables, au diocèse de Limoges, et vers lequel elle se sentait depuis longtemps attirée, elle finit par créer une branche active, hospitalière et enseignante, de cet ordre qui était essentiellement contemplatif. Les circonstances séparèrent bientôt les deux communautés et la nouvelle devint une congrégation distincte, dite du Sauveur et de la Sainte Vierge, qui établit son centre à La Souterraine (Creuse) vers 1835. La Mère du Bourg présida à ses premiers développements, jusqu'à sa mort en 1862. Elle a laissé la réputation d'une grande mystique et sa cause de béatification a été introduite à Rome. Plusieurs de ses écrits, notamment des lettres, ont été publiés. Il en reste d'inédits qui mériteraient d'être connus, comme sa correspondance avec Mgr Gay." (R. Limouzin-Lamothe, Revue d'histoire de l'Église de France)
Nantes, , 1696. Grand in-folio manuscrit (56 x 37 cm) de (2)-220-(6) pp. sur parchemin, index, 8 portées par page à l’encre rouge soulignées par le texte latin à l’encre brune, nombreuses initiales peintes à l’encre rouge, bleue ou dorée, 5 lettrines enluminées, veau brun sur ais de bois, dos à sept nerfs, deux cabochons au centre et quatre pièces d’angle de cuivre, ornés, ciselés et cloués sur chaque plat, traces de fermoirs (reliure de l’époque).
Graduel sur parchemin avec notation musicale grégorienne carrée établi à la fin du XVIIe siècle pour la chapelle Notre-Dame-de-Bonsecours à Nantes.« À Nantes ce présent livre dit Graduel a été fait par les soins de Messieurs Michel Thevenin et Julien Renard, étant alors Prévosts de la Vénérable Confrérie de Notre Dame de Bon Secours sur les Ponts. Escrit et notté par Estienne Sallé voiturier par eau d’Orléans 1696 ».Livre de choeur qui rend hommage à Notre Dame de Bonsecours vénérée à Nantes depuis le XVème siècle, qui comprend outre les graduels, des chants liturgiques destinés à la messe, tels les introïts et communions ; les fines lettrines peintes marquent le début des textes pour les célébrations importantes du calendrier liturgique (fêtes du Christ, de la Vierge et des Apôtres) - la principale fête à Notre-Dame de Bonsecours consistant en une neuvaine qui se terminait le 21 novembre. Deux titres encadrés à l’encre bleue, rouge et dorée dont le second en latin : « Graduale Pro Omnibus Festivitatibus Beatae Mariae Virginis ad usum Sacelli Beatae Mariae Auxiliatricis. A Nantes, Ce présent livre a été donné par les Sieurs Prevosts de la Vénérable Confrérie de Nostre Dame de Bon Secours en l’an de grâce 1696. Ex scripturaire Stephani Sallé Nature Aurelianensis ». Le livre en entier fut écrit et noté par le scribe professionnel Étienne Sallé «voiturier par eau d'Orléans», mentionné au titre et dans la dédicace en vers placée en fin d’ouvrage « Aux serviteurs et servantes de la S.V. Nôtre D.e de bon Secours. Chrétiens qui admirez par vos regards dévots / Ce livre fait par les soins de Messieurs les Prévôts / De cette Confrérie de Bon Secours la Dame / Vous la prierez pour eux par un zèle de flamme (…) / Qu’elle conserve leurs biens, leurs garçons et leurs filles / Tous Voituriers par eau de Nantes et d’Orléans / Vous prierez Notre Dame de Bon Secours séans / POUR ÉTIENNE SALLÉ QUI A ÉCRIT CE LIVRE (…) 1696.» Charpentier à bateaux d'Orléans et homme pieux, Étienne Sallé est connu des historiens pour son journal manuscrit enluminé où, en 1710, il reporta prières et hymnes religieux et dans lequel il expliqua qu'il fut marchand voiturier par eau avant « ses disgrâces » ; son journal ne fut pas publié avant 1898 quand il apparut sous le titre «Livre de Sallé, charpentier en bateaux et voiturier par eau» dans les "Mémoires de la société d’agriculture, sciences, belles-lettres et arts d’Orléans", tome 36, 1898, pp. 203-208 (Bourgeois André, VIII, 7864).« La Vénérable Confrérie de Notre Dame de Bon Secours sur les Ponts » fait référence à la confrérie nantaise de l’aumônerie de Toussaints située sur les bords de la «boire de Toussaints» (bras de la Loire) du XIVe au XVIIe siècle, fondée par Charles de Blois afin d'y édifier un établissement destinée à soigner les malades et héberger les voyageurs pauvres. La confrérie de Notre-Dame-de-Bon-Secours disparut en 1768 tandis que l’aumônerie qui dépendait alors de la paroisse de l'église Sainte-Croix, fut vendue en 1790, avant d'être désaffectée, puis démolie en 1846.« La chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours de Nantes fut construite en 1443-1444 par les pêcheurs de l’île de la Saulzaie, qui n’avaient pas de lieu de culte à proximité de leur travail. La chapelle dépendait de la paroisse Sainte-Croix, dépendant elle-même de l’abbaye de Marmoutiers (Tours) depuis le XIIe siècle. À partir du XVIIe siècle, elle fut desservie par des prêtres irlandais en exil. Elle a été intégralement reconstruite dans le style classique entre 1776 et 1780. Confisquée comme bien national en 1796, elle n’est plus affectée au culte catholique. Les prêtres irlandais (non obligés d’être assermentés) purent y réciter l’office jusqu’à cette date. Malgré ses réaffectations, l’édifice présente encore des traces de son architecture originelle. Même si la fabrique de l’ancienne chapelle a conservé peu d’archives, la fin de l’Ancien Régime semble avoir vu un culte très dynamique. Les membres de la confrérie Sainte-Anne reçurent l’indulgence plénière (1664), et les rois de France, de Louis XIII à Louis XVI, favorisèrent le sanctuaire, notamment par l’entretien ou la restauration de la statue de Notre-Dame-de-Bon-Secours. Celle-ci fut d’ailleurs refaite dans la première moitié du XVIIIe siècle. Une « foule extraordinaire » fut mentionnée dans un rapport au roi en 1721, et la chapelle fut entièrement reconstruite en 1776-1780. Une quinzaine d’années plus tard, elle fut vendue comme bien national. Le culte de Notre-Dame de Bon-Secours fut alors déplacé dans l’église Sainte-Croix. » (Inventaire des Sanctuaires et Lieux de Pèlerinage Chrétiens en France, Maxime Bolard, Notre-Dame de Bon-secours, n°1).Ex-libris manuscrits anciens "R.J. Uriner chapelain de Notre Dame, de Bon Secours de la Ville de Nantes et Ch[anoi]ne de l’église Royale et Collégiale de Notre Dame de Nantes, 1788" (premier contreplat) ; "Guillaume Boleyn" (?) en regard du titre ; "François Pépin" et "Mathurin de la Valade" (colophon). Mors fendus, coiffes manquantes, quelques pâles mouillures et salissures marginales.Exceptionnel graduel manuscrit XVIIe conservé dans sa première reliure ornée, archive rare et précieuse pour l’histoire de Nantes.
Hachette, 1947, in-8°, 315 pp, biblio, broché, un portrait en médaillon en couverture, bon état
"M. Léon Lemonnier, sans être un historien de métier, connaît merveilleusement l'Angleterre et ses grands hommes. Il vient de brosser, d'heureuse façon, le portrait d'Elisabeth d'Angleterre. La reine Vierge ? Sans doute on sent toujours le romancier dans la façon de présenter et aussi d'interpréter les événements. Il ne faut pas chercher de vues profondes sur l'économie de l'Angleterre au temps d'Elisabeth. Mais on est captivé, dès le début, par cette femme intelligente et non moins autoritaire qui incarna si bien le génie de l'Angleterre. On suit avec un intérêt, jamais décroissant, toutes les intrigues et toutes les luttes d'un règne qui dura près de cinquante années et fut certainement un des plus marquant sur les destinées de la nation anglaise." (Jacob Louis, Revue du Nord, 1947)