‎Drouet, Juliette‎
‎'Mon grand petit homme...'‎

‎Gallimard (1/2002)‎

Reference : SVALIVCN-9782070763719


‎LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782070763719‎

€32.57 (€32.57 )
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M. Alexandre Bachmann
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‎[Imprimerie Emile Flouret] - ‎ ‎DE LA BATUT, Jeanne et Pierre‎

Reference : 44471

(1900)

‎Carnet Manuscrit de "Souvenirs et anecdotes de Tante Lair", Angèle Lair, fille du peintre Alexandre-Gabriel Decamps, vraisemblablement notés par sa nièce Jeanne Dentu Epouse De La Batut puis son petit neveu Pierre de La Batut.[ Anecdotes sur Decamps, Gambetta, Emile Gaboriau, etc. ] : [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎

‎1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎


‎Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR180.00 (€180.00 )

‎BALZAC Petites misères de la Vie conjugale illustrée par Bertall Chlendowski‎

Reference : 4896

‎"BALZAC Honoré de Petites misères de la Vie conjugale illustrée par Bertall Paris, Chez Chlendowski, s.d. (1845), superbe reliure de l'époque, demi-maroquin à grains longs à coins, tranches dorées (bien réglées), intérieur frais, grand in-8°, II & 392 pp. Magnifique ouvrage publié en 50 livraisons, contenant 50 gravures hors-texte et 310 dessins sur bois dans le texte d'après les dessins de Bertall. Edition originale. ''Il n'a eu qu'une seule édition qui est fort rare.'' Ce livre est très recherché en belle condition d'époque (in Carteret), ce qui est le cas de notre exemplaire. ""Livre illustré avec esprit par Bertall, dont les compositions complètent à merveille un texte plein d'humour. Il n'y a eu qu'une seule édition qui est fort rare."" (Carteret III, 48). ""Un jour le maître vint me trouver. - Mon cher petit, me dit-il, je fais un livre pour vous. J'en ai publié un volume chez Hetzel, et je le complète maintenant à votre intention. Cela s'appelera les Petites Misères de la vie conjugale. J'ai déniché un éditeur superbe, um comte polonais qui vaut beaucoup mieux qu'Hetzel. Il a de l'argent, lui, il s'appelle Kleudowski (Chlendowski), et possède un femme extraordinaire qui fume comme un Suisse, et parle comme George Sand. Je lui ai parlé de vous; il est enchanté. Je veux que vous mettiez là-dedans des dessins, énormément de dessins. Cela vous va-t-il? -Si cela me va, cher et excellent maître, mais vous ne savez pas à quel point je suis heureux. -Eh bien, c'est convenu, j'arrangerai tout. Ainsi fut dit, ainsi fut fait"" (in Bertall, Souvenirs intimes, paru dans Figaro, supplément littéraire du dimanche, 1881). Les Petites misères de la vie conjugale sont composées de divers morceaux dont certains avaient déjà été composés en 1830. Il fut publié presque en même temps dans La Presse ou il provoqua de nombreuses réclamations de lectrices scandalisées par les propos du romancier. Vicaire I, 223 ; Clouzot, 25 ; Carteret III, 48 ; Berès, Expo Balzac. ''Livre qui doit être recherché par les amateurs d'illustrés ainsi que par les amateurs d'originales car c'est sous cette forme que parut pour la première fois ce texte''. (in Clouzot). ''Livre illustré avec esprit par Bertall, dont les compositions complètent à merveille un texte plein d'humour''. (in Carteret). ''Dessinateur et caricaturiste, Bertall a un crayon pétillant de gaieté malicieuse et de piquante originalité''. (in Carteret). ''Bertall est l'un de ces hommes précieux qui a eu le rare privilège de distraire et d'amuser ses contemporains. Ce dont il faut lui être bien reconnaissant : il y en a tant qui les ennuient''. (Béraldi). ''Les Petites Misères constituent une critique féroce des convenances et de l'hypocrisie conjugale. Balzac, presque en vacances, se promène en observateur amusé dans l'intimité des couples : dans cette suite de saynètes sur la vie conjugale, comparables aux caricatures de Daumier, il porte à son apogée le genre des « physiologies ». L'essentiel pour Balzac est de saisir sur le vif quelque chose de pittoresque, qui montre les petites mesquineries et les grandes déceptions du mariage bourgeois - tout en gardant toujours un rire généreux. C'est ainsi que Balzac met en scène deux types humains : d'un côté, Adolphe, l'homme bourgeois, se signale par une aridité mentale désespérante ; de l'autre, la femme (Caroline) est réduite à être l'un des « plus jolis joujoux que l'industrie sociale ait inventés ». Ensemble, les jeunes époux vont suivre pas à pas le chemin qui mène de la promesse de bonheur. aux « misères » du mariage. Car entre eux, les époux ne cessent jamais de faire l'expérience de l'incompréhension. Balzac, lui, se contente de les trahir à chaque page, et l'équivoque du narrateur (à défaut d'impartialité) lui permet de pouvoir délicieusement compter les points dans la guerre des sexes.'' Clouzot, Guide du bibliophile français, p. 17 - Carteret III, Le Trésor du blibliophile romantique et moderne, p. 48 - Vicaire I, Manuel de l'amateur de livres du X"‎


Phone number : 06 82 53 12 00

EUR624.00 (€624.00 )

‎GIRARDIN J.‎

Reference : RO30089720

(1904)

‎LE FILS DE L'ECLUSIER - UN BRAVE PETIT HOMME, UNE BELLE SURPRISE, HISTOIRE DE VRILLON, LE LEGS DE MON GRAND-ONCLE, HEUREUSE FAMILLE, LE MOT DECISIF‎

‎LIBRAIRIE HACHETTE ET CIE - 4° EDITION. 1904. In-12. Broché. Etat passable, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 94 pages. Tampon en page de titre.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎


‎Bibliothèque des écoles et des familles. Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎GIRARDIN J.‎

Reference : R150151875

(1923)

‎LE FILS DE L ECLUSIER. UN BRAVE PETIT HOMME, UNE BELLE SURPRISE, HISTOIRE DE VRILLON, LE LEGS DE MON GRAND ONCLE, HEUREUSE FAMILLE, LE MOT DECISIF.‎

‎HACHETTE. 1923. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos abîmé, Intérieur acceptable. 94 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans le texte et hors texte. Manque le premier plat de couverture. Le second plat est débroché.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎


‎ Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎

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EUR10.95 (€10.95 )

‎GIRARDIN J.‎

Reference : R200052840

‎LE FILS DE L ECLUSIER- UN BRAVE PETIT HOMME- UNE BELLE SURPRISE- HISTOIRE DE VRILLON- LE LEGS DE MON GRAND ONCLE- HEUREUSE FAMILLE- LE MOT DECISIF‎

‎HACHETTE. NON DATE. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos abîmé, Papier jauni. 94 pages- quelques illustrations en noir et blanc dans le texte. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎


‎ Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎

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