Gallimard (10/2017)
Reference : SVALIVCN-9782070118205
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782070118205
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M. Alexandre Bachmann
Passage du Rond Point 4
1205 Genève
Switzerland
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, Brepols, 2020 Hardback, viii + 735 pages, Size:156 x 234 mm, Illustrations:23 b/w, 12 col., 2 maps b/w, Languages: French, Latin. ISBN 9782503587806.
Summary Pierre des Noyers (1607-1693) fut le secr taire et le confident de la princesse Marie de Gonzague-Nevers (1618-1667), mari e Ladislas IV de Pologne. En accompagnant la Reine en Pologne, il rencontre l'astronome Hevelius Dantzig. S'ensuit une longue correspondance (1646-1686) qui ne prend fin qu' la mort d'Hevelius en janvier 1687. El ve de Roberval, connu de Mersenne et de Jean-Baptiste Morin, des Noyers est un homme de science qui introduit en Pologne les machines calcul de Pascal, scrute les astres la lunette, suit la querelle du vide (1647) et s'applique faire de l'astrologie une science exacte. Sans croire celle-ci, Hevelius partage son souci de la pr cision. Leur correspondance est tr s riche d'informations sur la circulation des d couvertes, des observations et des ouvrages. Pierre des Noyers est aussi un ami tr s utile pour Hevelius de par sa proximit avec la cour de Pologne et ses liens avec les nombreux Italiens qui la fr quentent, notamment l'ing nieur Tito Livio Burattini, mais aussi de par ses changes hebdomadaires avec Isma l Boulliau. Savant de l' ge baroque aux curiosit s multiples, son monde est celui de la cour savante de Varsovie, fascin e par l'astrologie, la m decine chimique, les savoirs occultes. Jans niste de conviction, il introduit en Pologne les Provinciales de Pascal et fait conna tre en France les vampires. Avec les thermom tres de Florence, il r alise les premiers relev s m t orologiques syst matiques en Pologne. Il y a aussi patiemment construit un 'parti fran ais' et l'on sait qu'Hevelius, pensionn par Louis XIV, a repr sent les int r ts de la France Dantzig o il a occup des fonctions consulaires. Cette correspondance permet de d couvrir le quotidien d'Hevelius?: soucis d'argent, probl mes avec l'acheminement du courrier, jalousies et rivalit s acad miques, difficult s de se tenir inform . Ami fid le et d vou , Pierre des Noyers a aid Hevelius au lendemain de l'incendie qui a d truit son observatoire (1679). TABLE OF CONTENTS Introduction 1 : Vue d'ensemble 2 : Pierre des Noyers, ses amis et ses r seaux 3 : Les changes scientifiques 4 : Le cr puscule et la fin 5 : Les principes de l' dition 6 : Pi ces annexes Correspondance d'Hevelius avec Pierre des Noyers Supplementa 1 : La carri re politique de Pierre des Noyers [D.M.] 2 : Les affaires de Pologne, 1648-1699 [D.M.] 3 : Chronologie g n rale de la correspondance Hevelius-Des Noyers 4 : Bibliographie 5 : Conspectus rerum notabilium
L’ensemble unique de la correspondance manuscrite, en grande partie inédite, d’Antoine Guillemet à Émile Zola, écrite entre 1867 et 1901. 1867-1901. 121 lettres manuscrites autographes, la plupart en cahiers de 4 pages, soit 334 pages au total. Écrites à l’encre marron ou noir.
[playlist type="video" ids="16286"] Ensemble unique regroupant les 121 lettres manuscrites autographes envoyées par Antoine Guillemet à Emile Zola entre 1867 et 1901, dont 111 sont encore inédites. « C’est par l’intermédiaire de Paul Cézanne que Zola fit la connaissance de Guillemet le 7 mai 1866. Une amitié qui ne devait s’achever qu’avec la mort de Zola en 1902, commençait… Zola possédait plusieurs toiles de Guillemet : ‘Marine, Temps gris’ de 1872 et la ‘Campagne d’Aix’ (1866) dédicacée à Zola… Dès ses premières lettres à Zola, Guillemet déborde d’enthousiasme pour les jeunes artistes de la nouvelle école. Il admire Cézanne et présente avec bonheur la mise en œuvre de tableaux restés célèbres… Guillemet évoque Pissarro, Cézanne, Baille, Marion dans la première lettre (2 novembre 1866) si intéressante pour la biographie de jeunes hommes qui étaient inconnus à l’époque et qui sont devenus de nos jours des hommes célèbres… Evidemment, Guillemet, peintre paysagiste, voyage à la recherche éternelle du motif inspirateur. Isolé, il réclame des nouvelles de ses amis à Zola… Il arrive souvent que Guillemet exprime son enthousiasme pour les romans de Zola, en particulier pour ‘Madeleine Férat’… La plupart du temps, Zola et Guillemet, séparés pendant les mois d’été, ne s’écrivent que pendant cette saison… Qu’il est regrettable que les lettres de Zola à Guillemet écrites à cette époque aient été perdues. Les dernières lettres de 1869-1870 sont datées de Saint-Raphaël. On sent Guillemet proche de l’impressionnisme dans son admiration des belles couleurs méditerranéennes : il fait des études, des ébauches. Il ne quitte pas de vue les œuvres de ses amis Pissarro, Manet, Monet, Cézanne… En bref, Guillemet s’est ému pour les gens de cette époque, narguant des célèbres et aimant des obscurs qui ne le restèrent pas indéfiniment. Il y apporta parfois une discrimination pas toujours heureuse, mais, avec beaucoup d’esprit, il sut déguiser les sentiments que lui inspirait l’infériorité de son art, ou plus exactement une certaine impuissance créatrice… N’empêche que, jusqu’en 1870, sa correspondance avec Zola nous révèle le caractère spontané d’un homme de goût. » (Renée Baligand) Paul Alexis, ami intime d’émile Zola rappelle le contexte de cette rencontre : ”Une belle année d'ailleurs, pour Zola, que cette année 1866-67. De la jeunesse, de l'enthousiasme, et les premières douceurs du succès ! Toutes les difficultés d'une vie jusque-là si difficile, subitement aplanies ! De la liberté, plus de travail de bureau le tenant à l'attache ! Et, avec cela, de l'argent plus qu'il n'en avait jamais eu ! L'été venu, il put s'offrir une débauche de verdure, aux bords de la Seine, à Bennecourt. Là, pendant quelques semaines, les amis de Provence, Baille, Cézanne, Marius Roux, Valabrègue, vinrent tour à tour ; et je vous laisse à deviner les parties de canot, coupées de discussions artistiques qui faisaient soudain s'envoler les martinets de la berge. A Paris, tout en restant beaucoup chez lui et en noircissant déjà pas mal de papier, Zola avait fait de nouvelles connaissances, surtout dans le monde des peintres. Avec Cézanne, qui venait alors de rencontrer Guillemet, il fit le tour des ateliers, surtout des ateliers de l'école dite « des Batignolles, » qui fut le berceau des impressionnistes d'aujourd'hui.” La carrière de Guillemet débute en 1859, lorsqu'on lui passe commande d'une copie de la célèbre toile de Géricault, Le Radeau de la Méduse. En 1861, le jeune Guillemet est présenté à Jean-Baptiste Camille Corot par Berthe Morisot. Cette rencontre lui fournit l'occasion de côtoyer de nombreux peintres de l'avant-garde, tels qu'Édouard Manet, Camille Pissarro, Claude Monet et Gustave Courbet. Impressionniste, il est tenté, à partir de 1872, par le naturalisme influencé en cela par sa longue amitié avec Zola, qui espérait en lui « le génie attendu ». L'écrivain s'en inspire pour écrire L'Œuvre. Il va d’ailleurs demander à Guillemet de le documenter sur la peinture en 1885. Ce dernier devient une source essentielle de renseignements, d’anecdotes sur le jury des Salons et ses intrigues. Critique d’art et amateur de peinture paysagiste, Zola exprime en ces termes son intérêt pour Guillemet à l’occasion du Salon de 1875: “Un autre élève de Corot, Guillemet, se distingue par une remarquable élégance… Il aime les larges horizons et les rend avec un luxe de détails qui ne nuit pas à la splendeur de l’ensemble”. A l’occasion du Salon de 1876, Zola écrivait encore à propos de son ami : « Au nombre des jeunes paysagistes en passe de devenir à leur tour des maîtres, je nommerai Guillemet, dont les toiles furent très remarquées lors du dernier Salon. Cette année son tableau appelé ‘Villerville’ m’a paru encore meilleur. C’est tout simplement un rivage de mer à marée basse, des éboulis et des falaises à droite, la mer à gauche, une ligne verte à l’horizon. Cela donne une pression sombre et sublime : une brise saline venant de la mer vous souffle au visage ; le soleil se couche, l’ombre approche des immensités lointaines. Ce qui constitue l’originalité de Guillemet, c’est qu’il garde un pinceau vigoureux tout en poussant à l’extrême l’étude des détails. Il appartenait autrefois à un groupe de jeunes artistes révolutionnaires qui se piquaient de n’exécuter que des esquisses ; plus le côté technique était maladroit et plus bruyamment on vantait le tableau. Guillemet a eu le bon sens de se séparer du groupe et il lui a suffi de soigner davantage ses toiles pour connaitre le succès. Il est devenu peu à peu un personnage connu, tout en gardant, je l’espère, ses convictions premières. Sa technique s’est perfectionnée et son amour de la vérité est resté le même ». Toutes ces lettres sont écrites et envoyées par Guillemet depuis les divers endroits dans lesquels il réside à la recherche de l’inspiration : Aix-en-Provence, Paris, Bennecourt, Saint-Raphaël, Jersey, Villerville, les Sablons, … Parmi les 121 lettres manuscrites de cette correspondance, la seconde, datée du 2 novembre 1867 comporte en plus du message de Guillemet toute une page autographe de la main de Cézanne également adressée à Zola, alors que les deux amis peintres passent quelques semaines à peindre à Aix-en-Provence. Ces 121 lettres adressées par le peintre à l’écrivain entre 1867 et 1901 constituent un témoignage unique et extrêmement précieux sur cette époque. Description des us et coutumes du milieu artistique, anecdotes concernant des peintres depuis devenus incontournables, peinture des paysages français de l’époque, ces lettres sont surtout riches des échanges d’idées entre les deux hommes et la preuve d’une sincère et fidèle amitié mêlée d’une admiration réciproque.
, Brepols, 2021 Paperback, 696 pages, Size:156 x 234 mm, Illustrations:6 tables b/w., Language(s):French, Latin, Greek. ISBN 9782503591551.
Summary Situ e au carrefour de la linguistique, de la litt rature antique, de la philosophie grecque et romaine ainsi que de l'histoire des id es Rome la fin de la R publique, cette tude cherche examiner comment le ?code-switching? (ou basculement d'une langue l'autre) r v le les origines, l' laboration et l' volution de la pens e philosophique de Cic ron dans un genre marginal, semi-priv et informel - la correspondance?- qui entretiens d' troites affinit s tant avec le bilinguisme qu'avec avec la philosophie. Apr s une d finition puis une triple analyse, formelle, culturelle et prosopographique, du corpus retenu, ce livre s'attache aux sources philosophiques du grec figurant dans les lettres cic roniennes en quatre tapes successives, incarn es respectivement par Platon, les Socratiques (X nophon et Antisth ne) et les Acad miciens (Arc silas, Carn ade, Philon), par Aristote et les P ripat ticiens (Th ophraste et Dic arque), par picure et les picuriens (Philod me de Gadara) et par les Sto ciens. Elle r v le la r currence, la pr cision, la subtilit des emprunts de Cic ron la philosophie classique et hell nistique, mais aussi la vari t de leurs emplois et de leurs fonctions. La correspondance constitue souvent un laboratoire de la pens e o la gen se de celle-ci est plus perceptible que dans les dialogues ou les trait s et une analyse syst matique du bilinguisme qui s'y manifeste constitue un angle d'approche in dit et f cond pour approfondir notre connaissance de la philosophie cic ronienne et hell nistique. TABLE OF CONTENTS Introduction Premi re partie. Le grec et la philosophie dans la correspondance de Cic ron : analyse formelle et?prosopographique du corpus Chapitre I?: D finition du corpus Chapitre II : Le grec et la philosophie : formes, fonctions, origines Chapitre III : Identit s, fonctions, langages Deuxi me partie. Les sources philosophiques du grec dans la correspondance de Cic ron Chapitre I : Platon, les Socratiques et les Acad miciens Chapitre II : Aristote et les P ripat ticiens Chapitre III : picure et les picuriens Chapitre IV : Les Sto ciens Conclusion Bibliographie Index locorum
Turnhout, Brepols, 2009 Hardback, XLV+641 p., 5 b/w ill. + 2 colour ill., 156 x 234 mm. ISBN 9782503511016.
L'idee d'une publication systematique de la volumineuse correspondance (essentiellement conservee au Haus-, Hof-, und Staatsarchiv a Vienne) echangee entre Charles Quint et ses frere et soeur, Ferdinand Ier et Marie de Hongrie, ne date pas d'hier, et est a mettre a l'actif d'historiens viennois. Mais, ceux-ci plus interesses par les territoires habsbourgeois d'Europe centrale que par les anciens Pays-Bas, centrerent leurs efforts sur la personne de Ferdinand, en ne prenant en compte, de ce fait, que deux pans de cette relation triangulaire: d'une part, la correspondance entre Ferdinand et Charles, et d'autre part, celle entre Ferdinand et Marie. Le chantier qui avait ete amorce au debut du 20e siecle, pour la periode 1514-1530, sommeilla ensuite longuement. Il ne reprit que beaucoup plus tard (1973) en envisageant successivement les annees 1531-1532 et 1533-1534. Cette edition de la correspondance entre Marie et Charles pour 1532, point de depart d'une intensification de leurs contacts epistolaires (pres de 300 textes), et les annees anterieures (une trentaine), ainsi que des lettres de Nicolas Perrenot de Granvelle a Marie (la correspondance de Marie a Granvelle est perdue), permettra enfin de completer le tableau pour la periode mentionnee, et d'accroitre par consequent l'interet qu'il y a a poursuivre la publication de ces documents emanant de princes qui etaient fort lies, tant intimement que politiquement. Languages : French, German.
Albert Messein Paris, Albert Messein, 1922. 2 volumes In-8 carrés reliés pleine basane à coins, dos à nerfs, titres dorés. Tranches dorées. Couvertures entièrement conservées. Reliure signée L Laballe. XVI + 335 pages et 361 pages pour le tome 2. Publiée Sur Les Manuscrits Originaux Avec une Préface et des Notes De AD. Van Bever. Tome 1 : Lettres à Edmond Lepelletier, Léon Valade, A Poulet-Malassis et Emile Blémont. Tome 2 : Lettres à Emile Blémont (Suite), Léon Vanier, Albert Savine et aux chères amies. 1 des 25 exemplaires sur Hollande van Gelder numérotés de 16 à 40 et portant le n°30 ; sur seulement 70 grands-papier. La reliure est frottée en dos avec marques au charnières. Intérieurs très propre pour ces 2 volumes sur 3 de cette correspondance. Exemplaire non rogné, très frais intérieurement.
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.