Paris, les éditions G. Crès et Cie, 1927. In-8, 110 pp. 15 pl., en feuilles, couverture originale rehaussée de gouache en couleurs (petits frottements, quelques petites taches éparses).
Reference : 19944
Première édition illustrée et comportant des remaniements par rapport à l'édition originale de 1911. Premier exemplaire sur Japon impérial (sur 10), imprimé spécialement pour Max Jacob, tirage de tête. Il est illustré de 15 planches, 1 vignette à la couverture, 1 au titre, toutes rehaussées en couleurs à la gouache. Cet exemplaire a été enrichi de plusieurs documents : un manuscrit autographe de méditation religieuse orné de 4 têtes humaines dessinées à l'encre (2 pp. in-8), et 5 dessins à la plume dont un signé par Max Jacob représentant des scènes bibliques ou des personnages. Exemplaire unique. Carteret, V, 109 : "Intéressante publication"; Linarès, "La Côte. Un livre pâle ?" in Les Cahiers Max Jacob, 20210, 20-21, p. 157-180. Voir photographie(s) / See picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
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Paris, éd. du Layeur, 2001, in-8 étroit, cartonnage souple à rabats, couv. ill. coul. sur fond jaune éd., 96 pp., papier glacé, texte d'introduction de Pierre Jakez Hélias, très nb. aquarelles coul. de Max Jacob, sommaire, "La Côte, recueil de chants celtiques, est une énigme. Lorsqu'il paraît en 1911, la bataille cubiste fait rage et on aurait pu penser que Max Jacob, engagé avec ses amis du bateau-lavoir, avait quelque peu oublié les bords de l'Odet de Quimper au profit de ceux de la Seine. Le recueil présente des poèmes et des contes que Max Jacob prétend avoir collectés auprès d'ouvriers brodeurs de son père, dans leur langue, le breton dont il reproduit les textes dans la première édition. Cannular, pastiche, l'affaire est loin d'être évidente si l'on tient compte de l'importance qu'accordait Max Jacob à ces textes dans sa correspondance avec Jean Grenier. " J'ai écrit La Côte au plus fort de la crise cubiste, alors qu'on attendait de moi que j'écrivisse Le Cornet à dés... La Côte est l'expression la plus pure de ma vérité intérieure... " Parodie, certainement, charge contre une prétendue érudition dans la présentation de la littérature populaire, sans aucun doute ; mais dans le même temps La Côte montre la grande connaissance qu'avait l'auteur de la littérature poétique bretonne, acquise par la fréquentation assidue des œuvres de Luzel et de la Villemarqué à la Bibliothèque de Quimper. Aujourd'hui il ne fait plus de doute que ces textes, loin d'un canular de jeunesse, sont de la meilleure veine Jacobienne, jouant de toutes les sources d'inspiration et de référence, révélant l'infinie complexité de l'auteur, le "Masque Jacob" selon l'expression de Charles le Roux. Ils révèlent aussi combien l'inspiration et l'imaginaire du poète devaient aux grands textes de la poésie orale bretonne et à sa Cornouaille natale". Très bon état, comme neuf
Paris Imprimerie Paul Birault 1911 In-8 Broché Edition originale
EDITION ORIGINALE parue sans nom d'éditeur. En frontispice, dessin de Max Jacob. Exemplaire sur vergé du tirage courant, enrichit d'un ENVOI autographe signé de Max Jacob : " Cher Georges [Hugnet] ce premier fruit de tant de douleurs avec ce fruit : mon cour douloureux Max Jacob le 30 octobre ou 1er novembre 1926 ". €€€ C'est par l'intermédiaire de Marcel Jouhandeau qui habitait le même immeuble, boulevard de Grenelle à Paris, que Georges Hugnet va faire la connaissance de Max Jacob. Ce dernier à qui le jeune homme montre ses premiers poèmes lui présente alors ses amis et l'introduit dans le milieu artistique parisien. Max Jacob sera également en 1928 le premier illustrateur de Georges Hugnet, lui donnant quatre dessins et deux lithographies pour ses 40 POESIES DE STANISLAS BOUTEMER publiées chez Briant. La dédicace que Max Jacob fait à Georges Hugnet en 1926 sur son recueil LA COTE témoigne par son intimité de cette amitié naissante qui liera les deux hommes durant toute leur vie. Très bon exemplaire 0
Jacob Max ; Hélias Pierre Jakez (introduction)
Reference : 15710
(2001)
ISBN : 291146866X
Du Layeur 2001 In-8 broché 24 cm sur 14. 95 pages. Illustrations en couleurs in-texte. Dos insolé sinon bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Reliure demi-maroquin havane à coins. Dos à nerfs avec date dorée en queue. Tête dorée. Couverture et dos conservés. Reliure signée ALIX. Frontispice dessiné par l'auteur. Manque la page de titre.
Paris Imprimerie Paul Birault 1911 139 pp. In-8. Relié. Bel état. 1 volume. ÉDITION ORIGINALE publiée à compte d'auteur chez Paul Birault, imprimeur de L'Enchanteur pourrissant de Guillaume Apollinaire. Celui-ci un des 30 exemplaires numérotés sur Hollande, seul grand papier. Celui-ci non justifié.Dans ce singulier recueil de poèmes adaptés du dialecte cornouaillais, Max Jacob s'amuse à restituer la savoureuse syntaxe des pêcheurs et des paysans de Quimper.
1911 1911 Paris. Paul Birault. 1911. 1 volume in-12, broché.139 pp., (1) f.
Edition originale publiée aux frais du poète, ornée d’un frontispice de sa main. L’ouvrage contient de nombreux textes bilingues français/breton. Exemplaire enrichi, au faux-titre, d’un bel envoi de l’auteur à Gina Sandri : « Qu’y a-t-il de plus délicieux que la compagnie d’une femme qui a plus d’esprit qu’un homme et plus de grâce que les autres femmes. Max Jacob. 22 juin 1912 ». Gina Sandri était poétesse ; elle publia le recueil Chant neptunien en 1930.Brochage légèrement empoussiéré, quelques défauts de papier.