‎RACHILDE [EYMERY (Marguerite) pseudo.]‎
‎Le Mordu‎

‎ Paris, Félix Brossier, 1889. In-12, 336 pp., demi-chagrin brun, double filet doré sur les plats, dos à nerfs orné de filets à froid et de fleurons dorés, tranches mouchetées, premier plat de couverture conservé (quelques petites épidermures, quelques petites rousseurs). ‎

Reference : 17756


‎Troisième édition de ce roman de Rachilde. L'ouvrage est précédé d'un plat de couverture illustrée par Binet provenant de l'édition par Léon Genonceaux. Voir photographie(s) / See picture(s) * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve. ‎

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Reference : 400096690

(1991)

‎Terre Sauvage n54 Septembre 1991 Je suis un mordu de loups‎

‎ 1991 1991. Terre Sauvage N°54 - Septembre 1991 : Je suis un mordu de loups‎


‎Bon état‎

Démons et Merveilles - Joinville

Phone number : 07 54 32 44 40

EUR4.00 (€4.00 )

‎BRETON André (APOLLINAIRE Guillaume)‎

Reference : 64269

(1917)

‎"Décembre" : poème autographe de jeunesse dédié à Guillaume Apollinaire « J'aurai mordu la vie à tes seins d'ange piètre »‎

‎circa 1917-1918, 22,3x27,6, une feuille sous chemise et étui.‎


‎Remarquable poème de jeunesse autographe d'André Breton dédié à Guillaume Apollinaire, intitulé "Décembre", 20 vers à l'encre noire sur papier vergé d'Arches, composé en décembre 1915. Notre manuscrit fut rédigé entre mars 1917 et le début de l'année 1918. Notre poème est présenté sous chemise et étui aux plats de papier à motifs abstraits, dos de la chemise de maroquin vert olive, gardes et contreplats de daim crème, feuille de plexiglas souple protégeant le poème, étui bordé de maroquin vert olive, étiquette de papier olive portant la mention "poème autographe" appliquée en pied du premier plat de l'étui, ensemble signé de Thomas Boichot. Poème essentiel de la période pré-dadaïste de l'auteur, il fait partie d'un ensemble cohérent de sept poèmes manuscrits de Breton (désigné sous le nom de coll.X. dans les uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1071). Ces poèmes, de sa graphie de jeunesse, sont soigneusement calligraphiés à l'encre noire sur papier vergé filigrané. Cet ensemble a étéadressé à son cercle d'amis et d'écrivains, où figurent notamment Valéry, Apollinaire, Théodore Fraenkel, et son frère d'armes André Paris. Il fut par la suite publié dans son premier recueil, Mont de piété, qui parut en juin 1919 à la maison d'édition Au sans Pareil, nouvellement fondée par son ami René Hilsum. La datation précise de cet ensemble de poèmes autographes est déterminée par l'écriture du dernier poème de la collection («André Derain»),composé le 24 mars 1917, qui offre un terminus post quem absolu. En outre, une version plus ancienne du poème «Age», dédié à Léon-Paul Fargue, figure dans notre collection sous son nom originel «Poème». Daté par l'auteur du 19 février 1916 - le jour de ses vingt ans - et créé 10 jours plus tôt selon sa correspondance, il ne fut rebaptisé et remanié que pour sa publication en juillet 1918 dans Les Trois Roses. Selon toute vraisemblance antérieurs à la parution de ce dernier poème, les sept poèmes autographes furent probablement rédigés courant 1917 ou au début de l'année 1918, alors que Breton poursuit son internat au Val-de-Grâce et fait la rencontre décisive de Louis Aragon. Les poèmes qui constitueront Mont de piété représentent un rare et précieux témoignage de ses influences de jeunesse, à l'aube de son adhésion au mouvement Dada et sa découverte de l'écriture automatique. Assez brefs et parfois sibyllins, on y sent poindre des accents symbolistes empruntés à Mallarmé, qu'il redécouvre lors de matinées poétiques au théâtre Antoine, au Vieux-Colombier, en compagnie de son camarade de lycée Théodore Fraenkel. Durant le premier mois de la guerre, Breton se consacre également à Rimbaud, et se plonge dans Les Illuminations, seul ouvrage emporté dans la confusion et la hâte qui suivit la déclaration de guerre. De ses lectures rimbaldiennes naquirent les poèmes «Décembre», «Age», et «André Derain», tandis qu'il emprunte à Apollinaire sa muse Marie Laurencin à qui il dédie «L'an suave». Par ailleurs, l'héritage poétique de l'auteur sera particulièrement marqué par la figure de Paul Valéry, avec qui il entre en correspondance dès 1914. Valéry joue dans l'écriture des poèmes de Mont de Piété un rôle considérable par l'attention et les conseils qu'il prodigue au jeune poète. Admiratif de l'audace de son disciple, qui lui adressa chacun de ses poèmes, il apprécie le poème «Facon» (1916) en ces termes: «Thème, langage, visée, métrique, tout est neuf, mode future, façon» (Lettre de juin 1916,uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1072). Ces fleurons incontournables de la jeunesse de Breton furent composés entre sa dix-septième et vingt-troisième année. Surpris à Lorient par la déclaration de guerre, il devient infirmier militaire, puis officie dans plusieurs hôpitaux et sur le front pendant l'offensive de la Meuse. Il fait à Nantes la connaissance de Jacques Vaché, qui lui inspire un projet d'écriture collective, ainsi que l'illustration du futur recueil Mont de Piété, finalement réalisée par André Derain. La fréquentation de ce «dandy révolté contre l'art et la guerre», qui partage son admiration pour Jarry, et le contact des aliénés du centre neuro-psychiatrique de Saint-Dizier marquent une étape décisive dans la genèse du surréalisme. Affecté au Val-de-Grâce à partir de 1917, Breton trouve à Paris l'effervescence littéraire nécessaire à sa quête poétique et récite Rimbaud en compagnie d'Aragon. C'est par l'entremise d'Apollinaire qu'il se lie d'amitié avec Soupault, futur co-auteur des Champs magnétiques, et Reverdy, fondateur de la revue Nord-Sud, qui publiera des poèmes de Mont de piété. Les sept poèmes de la collection seront par la suite publiés dans des revues littéraires d'avant-garde (Les Trois Roses, Solstices, Nord-Sud) entre 1917 et le début de l'année 1919. Quatre des sept poèmes furent dédiés aux maîtres et amis de l'auteur: Léon-Paul Fargue, et surtout Apollinaire, à qui Breton avait consacré une étude dans l'Eventail. L'auteur rend également hommage à Marie Laurencin et André Derain, créateurs "d'oeuvres plastiques encore toutes neuves, en butte à un décri et une intolérance presque unanimes", chères à Breton tout au long de sa vie (XXe siècle, n°3, juin 1952). Il multiplie avec ces dédicaces les allusions croisées, dédiant à l'un un poème inspiré par l'autre, à l'exemple du poème « Age », dédié à Léon-Paul Fargue, qui fait écho à Rimbaud et son poème «Aube» (Les Illuminations, 1895). La correspondance et l'amitié des deux poètes débute avec l'envoi de ce poème, que Breton compose en décembre 1915. Apollinaire reconnaît immédiatement dans les vers que Breton lui a confiés « un talent frappant » (lettre du 21 décembre 1915). Toujours sous le charme de Rimbaud et du symbolisme finissant de Valéry à l'écriture de ce poème, Breton découvre chez Apollinaire une nouvelle orientation poétique, et lui déclarera un an plus tard : « J'ai confessé sans défiance l'attrait que vous exercez sur moi. La séduction est si impérieuse que j'en renonce momentanément à écrire ». La structure brisée de «Décembre» témoigne déjà du changement qui s'opère progressivement dans l'écriture du jeune poète, alors âgé de 21 ans. Les alexandrins chutent sur des vers de quelques syllabes qui démantèlent la strophe: «Au 25 est l'auberge et son bouchon de gui. J'esquive la frayée injuste, ô blanche terre! Coucou - l'Europe à feu de l'an prochain languit. La chanson des fenouils - et de voilà! Nous taire» Breton adresse également le poème à Valéry le 14 décembre, qui remarque sa facture nouvelle: «Quant aux vers bien curieux dans leurs brisures singulières, leur allure rompue et illuminée par sursaut de soliloques au coin du feu, je les trouve une intéressante étude d'autre chose, un essai nouveau de vous-même». Le poème se situe un25 décembre, étrange Noël peuplé de «missels en fleurs», de «Mages» et de «cloches gâles». Breton y glisse une dédicace supplémentaire à son modèle («le bouchon de gui»), rappelant le surnom d'Apollinaire «Gui», qui figure dans ses poèmes et ses lettres. «Décembre» est également le premier poème de Breton à évoquer directement la guerre, et s'achève par une vision morbide: «Fantassin Là-bas, conscrit du sol et de la hampe, y être! Et mes bras, leur liane chaude qui t'a ceint? - J'aurai mordu la vie à tes seins d'ange piètre.» Cette marque de l'admiration de Breton sera suivie d'une étude consacrée à l'uvre du poète, peu après la publication de «Décembre» dans L'Éventail du 15 février 1919. Outre son influence en tant que poète et critique d'art, Apollinaire contribua largement après sa mort à la création des avant-gardes d'après-guerre; car si Breton fut par la suite le théoricien du surréalisme, il faut cependant attribuer à Apollinaire l'invention du terme ainsi que la rencontre de Soupault et Breton. Rarissime et fascinant manuscrit de la jeunesse d'André Breton, dédié à Apollinaire, premier des surréalistes et guide de la nouvelle génération de poètes d'après-guerre. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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EUR6,000.00 (€6,000.00 )

‎Collectif‎

Reference : RO10042566

(1903)

‎Les nouvelles illustrées n° 67 - L'armée suisse, aux grandes manoeuvres : les aumoniers catholique et protestant défilant avec le drapeau, Le dimanche sportif, Comment l'anguille se vengea du Brochet qui lui avait mordu la queue, Une nouvelle attaque‎

‎E. Ousset.. 3 septembre 1903. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 289 à 320. Nombreuses gravures en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique‎


‎Sommaire : L'armée suisse, aux grandes manoeuvres : les aumoniers catholique et protestant défilant avec le drapeau, Le dimanche sportif, Comment l'anguille se vengea du Brochet qui lui avait mordu la queue, Une nouvelle attaque de pillards dans le Sud-Oranais, M. Gustave Larroumet, La villa de Lord Salisbury a Beaulieu, L'insurrection en Macédoine, Un cyclone a la Martinique, Le lancement du croiseur-cuirassé Jules Ferry, La dentelle et la dentellière du Puy en Velay Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique‎

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‎Collectif‎

Reference : R110630654

(1991)

‎Terre sauvage n° 54 - Flamant : un fakir au teint de rose par Philippe Tarnier, Je suis un mordu des loups par Gérard Ménatory, Les stratégies de la crevette : cache cache mortel par Guillaume Rondelet, Fleurs alpines : les frileuses qui ont conquis‎

‎Editions Nuit et jour. Septembre 1991. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 114 pages. Nombreuses photographies en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 500-SCIENCES DE LA NATURE ET MATHEMATIQUES‎


‎Sommaire : Flamant : un fakir au teint de rose par Philippe Tarnier, Je suis un mordu des loups par Gérard Ménatory, Les stratégies de la crevette : cache cache mortel par Guillaume Rondelet, Fleurs alpines : les frileuses qui ont conquis les rocheuses par Yves Paccalet, Mouffette : le parfum de la dame en noir par Luc Jean Malson Classification Dewey : 500-SCIENCES DE LA NATURE ET MATHEMATIQUES‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : R110089112

(1964)

‎LA VIE DU RAIL N° 947 - Le triage de la gare de Paris-Tolbiac, Train de chocolat a Maxéville, Un chemin de fer vraiment peu connu - Bomlitz-Cordingen, Premier grand portique a signaux a St Lazare, Charles Etienne Collignon, Le grand petit train d'un mordu‎

‎AU BUREAU DE LA REVUE. 17 MAI 1964. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 51 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Le triage de la gare de Paris-Tolbiac, Train de chocolat a Maxéville, Un chemin de fer vraiment peu connu - Bomlitz-Cordingen, Premier grand portique a signaux a St Lazare, Charles Etienne Collignon, Le grand petit train d'un mordu du rail et du football Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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