Paris, Imprimerie nationale et Devambez, 1917. In-4, 244 pp., demi-maroquin à coins rubis, filet doré sur les plats, dos à nerfs orné de filets pointillés dorés et mosaïqué d'un profil de soldat dans un cercle estampé à froid, tête dorée, couverture conservée (très légère insolation du dos, deux ou trois petites taches).
Reference : 17285
Édition illustrée de 16 compositions en couleurs de Jean Lefort, reproduites en fac-similés et contrecollées. Un des exemplaires sur B.F.K. Rives, troisième papier, non numéroté. L'originale a paru deux ans plus tôt, en 1915. Ce roman réunit les histoires et souvenirs de la guerre de l'auteur René Benjamin. Gravement blessé à Verdun en 1914, il mit à profit sa convalescence pour le rédiger. C'est un succès et un prix Goncourt pour son auteur en 1915. Voir photographie(s) / See picture(s) * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
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Editions Seghers , Savants du Monde Entier Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1965 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche et noir, titre en carmin, illustrée d'un portrait de Monge de profil en noir et blanc In-8 1 vol. - 191 pages
8 planches hors-texte d'illustrations en noir et blanc, portraits, fac-similés (complet) et une planche dans le texte (fac-similé de la page de titre de la Décade égyptienne) 1ere édition, 1965 Contents, Chapitres : 1. Arago : Gaspard Monge - Biographie de Gaspard Monge (161 pages) - Fac-similé de la page de titres de la Décade Egyptienne - 2. Essai historique sur les services et les travaux scientifiques de Gaspard Monge par Charles Dupin (EXTRAITS) - 3. Bibliographie détaillée des travaux de Monge, quelques travaux sur Monge également. - Gaspard Monge, comte de Péluse, né le 9 mai 1746 à Beaune et mort le 28 juillet 1818 à Paris (ancien 10e arrondissement), est un mathématicien et homme politique français. Son uvre considérable mêle géométrie descriptive, analyse infinitésimale et géométrie analytique. En parallèle à ses travaux de recherche, il enseigne une grande partie de sa vie et a comme élèves beaucoup des futurs grands mathématiciens français du XIXe siècle. Il joue un grand rôle dans la Révolution française, tant du point de vue politique que du point de vue de l'instauration d'un nouveau système éducatif : il participe à la création de l'École normale de l'an III et de l'École polytechnique (en 1794), deux écoles où il enseigne la géométrie. Il concourt également avec Berthollet, Chaptal et Laplace à la création de l'École d'arts et métiers. Il est également membre de la commission des sciences et des arts lors de la campagne d'Italie (17961797), et chargé de mission dans l'expédition d'Égypte (17981799). - Il s'agit bien du texte publié par François Arago, Biographie de Gaspard Monge, ancien membre de l'Académie des sciences, lue à la séance publique du 11 mai 1846, dans Mémoires de l'Académie des sciences de l'Institut de France, Gauthier-Villars, Paris, 1854, tome 24, p. I-CLVII (sauf erreur, c'est le texte complet) - François Arago Écouter est un astronome, physicien et homme d'État français, né le 26 février 1786 à Estagel (Roussillon) et mort le 2 octobre 1853 à Paris. (source : Wikipedia) couverture à peine jaunie avec un numéro au coin supérieur gauche du plat inférieur, intérieur propre, papier legerement jauni, cela reste un bon exemplaire du texte de François Arago publié en 1846 dans les Mémoires de l'Académie des Sciences, auquel on a ajouté quelques illustrations et des extraits du texte de Charles Dupin sur les travaux de Monge, ainsi qu'une bibliographie. (Bien complet des 8 planches hors-texte).
Paris, Ambroise Vollard, 1904. Un vol. au format pt in-4 (254 x 188 mm) de xxiii - 310 pp., en feuilles, sous couverture titrée.
Un des 100 exemplaires numérotés du tirage sur Chine (deuxième papier après les 20 de tête sur Japon) de cette ''in téressante publication''. (in Carteret). Il s'agrémente - ici en premier tirage - de délicates compositions par Armand Séguin (213 dessins gravés par Tony, Jacques et Camille Beltrand). ''Cet artiste, épigone de Gauguin, ne connut pas durant sa brève existence, le succès ou, tout du moins, l'attention des amateurs qu'il pouvait espérer. Son activité artistique s'accomplit surtout dans la région de Pont-Aven. Gauguin l'encouragea, allant jusqu'à écrire la préface de son exposition en 1895. Il participa à la fondation et aux premières manifestations du groupe des Nabis. Il illustra Gaspard de la nuit et Manfred de Byron''. (in Bénézit). Considéré comme l'inventeur du poème en prose, Gaspard de la nuit demeure l'oeuvre qui fit passer Bertrand à la postérité.Avec Sainte-Beuve, auteur d'une notice, David d'Angers se chargea de la publication de Gaspard de la nuit, qui aboutit enfin en novembre1842. Le 15janvier1843, la Revue des Deux Mondes fit paraître une critique de Paul de Molènes qui signalait un certain charme et de la nouveauté, mais laissait transparaître le scepticisme de son auteur, au contraire d'Émile Deschamps, qui, dans La France littéraire, évoqua l'ouvrage avec enthousiasme. Cependant, cette édition originale, établie à partir d'une copie plus ou moins fautive du manuscrit original déposé par Bertrand chez Renduel et réalisée par l'épouse du sculpteur, comportait de nombreuses erreurs. En 1925, une nouvelle édition, de Bertrand Guégan, établie sur une copie réalisée par ses soins sur un manuscrit original - peut-être celui qu'Élisabeth Bertrand vendit à Jules Claretie -, corrigea les erreurs les plus flagrantes. En 1980, Max Milner reprit le texte de l'édition Guéguan, enrichi de «pièces détachées», d'«appendices» et d'un solide appareil critique. Ce n'est qu'à partir de 1992, avec l'acquisition par la Bibliothèque nationale d'un manuscrit calligraphié par l'auteur, qu'il fut permis de publier un volume conforme aux vœux du poète, tant du point de vue de la mise en page que de l’illustration de l’œuvre, et, par ses variantes, qu'il s'agisse de ratures ou d'ajouts, d'apprécier son travail de création. «D'un caractère formel novateur, d'une esthétique remarquable, et d'une valeur littéraire inestimable, ce manuscrit peut être à juste titre considéré comme une véritable œuvre d'art, influencée par les motifs religieux du Moyen Âge et sa mystique». En 1862, Charles Baudelaire expliqua, dans sa lettre-dédicace à Arsène Houssaye du Spleen de Paris:«J'ai une petite confession à vous faire. C'est en feuilletant, pour la vingtième fois au moins, le fameux Gaspard de la Nuit, d'Aloysius Bertrand (un livre connu de vous, de moi et de quelques-uns de nos amis, n'a-t-il pas tous les droits à être appelé fameux?) que l'idée m'est venue de tenter quelque chose d'analogue, et d'appliquer à la description de la vie moderne, ou plutôt d'une vie moderne et plus abstraite, le procédé qu'il avait appliqué à la peinture de la vie ancienne, si étrangement pittoresque.» Par ces lignes, Baudelaire a contribué à attribuer la paternité du poème en prose à Bertrand, que d'autres auteurs donnent plutôt à Maurice de Guérin. C'est lui, de même, qui décida Charles Asselineau à réimprimer, avec Poulet-Malassis, Gaspard de la Nuit en 1868.Les Symbolistes achevèrent de faire passer Bertrand du statut de «petit romantique» à celui d'auteur culte: Auguste Villiers de l'Isle-Adam publia dès 1867 plusieurs pièces de Gaspard dans sa Revue des lettres et des arts ; Stéphane Mallarmé témoigna toute sa vie d'une grande révérence à l'égard de cet auteur, qu'il avait découvert à vingt ans; Jean Moréas poussa son admiration jusqu'à regretter que Verlaine ne l'ait pas inclus parmi ses «poètes maudits». Autre figure du monde poétique français de la seconde moitié du xixesiècle, Théodore de Banville cita, dans sa préface de La Lanterne magique (1883), Bertrand et Baudelaire comme ses modèles. Toutefois, la reconnaissance de son œuvre n'intervint qu'au xxesiècle. C'est Max Jacob qui, après Baudelaire, contribua le plus à attirer l'attention sur Bertrand, qu'il présenta comme l'inventeur du poème en prose. Par la suite, les surréalistes contribuèrent largement à la popularité de Bertrand, décrit comme un «poète cabalistique». André Breton le qualifia ainsi dans son Manifeste du Surréalisme (1924) de «surréaliste dans le passé».Maurice Ravel mit en musique, pour le piano, les poèmes Ondine, Le gibet et surtout Scarbo, pièce de virtuosité unique (Gaspard de la nuit, 1908). Carteret IV, Le Trésor du bibliophile / Illustrés modernes, p. 71 - Bénézit IX, Dictionnaire des peintres, p. 506 - Bailly-Herzberg, Dictionnaire de l'estampe en France, p. 297. Dos légerement ridé. Rousseurs sur les plats ; très rares dans le texte. Nonobstant, très belle condition. Exemplaire non coupé. Bulletin de souscription conservé.
Presses Universitaires de France - P.U.F. , Bibliothèque de Philosophie Contemporaine Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1951 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur, plastifiée fort et grand In-8 1 vol. - 441 pages
1ere édition chez l'éditeur, 1951 Contents, Chapitres : Introduction - La vie et la carrière scientifique de Monge - La géométrie descriptive - La géométrie analytique - La géométrie infinitésimale - Géométrie pure et géométrie moderne - L'analyse mathématique - Les autres travaux scientifiques - La personnalité de Monge et l'unité de son oeuvre - Tableau d'ensemble de l'oeuvre scientifique de Monge - Bibliographie générale (Pièces manuscrites - Monographies sur Monge, articles de dictionnaires et d'encyclopédie - Ouvrages et études de caractère historique - Ouvrages consacrés aux sciences ou à leur histoire) - Index des noms de personnes et table - Gaspard Monge, comte de Péluse, né le 9 mai 1746 à Beaune et mort le 28 juillet 1818 à Paris, est un mathématicien et homme politique français. Son oeuvre considérable mêle géométrie descriptive, analyse infinitésimale et géométrie analytique. Il concourt avec Berthollet, Chaptal et Laplace à la création de l'École d'arts et métiers. Il est, avec Jacques-Élie Lamblardie et Lazare Carnot, un des fondateurs de l'École polytechnique. Il est également membre de la commission des sciences et des arts lors de la campagne d'Italie (17961797), et chargé de mission dans l'expédition d'Égypte (17981799). - Gaspard Monge est l'inventeur de la géométrie descriptive, une forme contemporaine du dessin technique (ou dessin industriel). Il est l'auteur du traité Géométrie descriptive qui s'appuie sur les cours donnés à l'École normale au cours des années 1794 et 1795. La première section aborde la façon de traiter les surfaces, la deuxième les plans tangents aux surfaces courbes et normales, la troisième les intersections des surfaces courbes, la quatrième les autres problèmes géométriques. En 1820, l'ingénieur et mathématicien Barnabé Brisson, disciple de Monge qui participa à la quatrième édition, ajoute au texte d'origine la Théorie des ombres et de la perspective, compilation des cours donnés par son maître à l'École normale et à l'École polytechnique. Gaspard Monge a fait partie des scientifiques français qui ont poussé à l'instauration d'un système de poids et mesures fondé sur le système décimal. Monge a aussi donné son nom à un problème générique de la théorie du transport, connu sous le nom de problème de Monge-Kantorovitch (ou MKP, pour Monge-Kantorovich Problem), ce dernier ayant reçu le « prix Nobel » d'économie en 1975, et est connu pour avoir prouvé l'existence d'une solution optimale à ce problème en 1942. Monge a introduit ce problème dans son Mémoire sur la théorie des déblais et des remblais en 1781. (source : Wikipedia) "couverture plastifiée (transparente), elle est un peu brunie avec des traces de pliures au dos, intérieur sinon propre, papier un peu jauni, cela reste un bon exemplaire de la thèse de René Taton publié ici pour la première fois en 1951 et consacrée au ""père"" de la géométrie descriptive, Gaspard Monge, 1746-1818, l'un des savants français les plus influents de l'Empire"
[Librairie Académique Didier] - MICHAUD [ Louis-Gabriel, 1773-1858 ] et POUJOULAT [ Jean-Joseph François, 1808-1880 ] (notes) ; Gaspard et Guillaume de Saulx Tavannes ; Bertrand de Salignac ; Gaspard de Colligny ; de La Chastre ; Guillaume de Rochechouart ; Achille Gamon, Jean Philippi
Reference : 51428
(1866)
Nouvelle éd. ornée portraits gravés sur acier, 1 vol. in-4 br., Nouvelle collection des mémoires relatifs à l'Histoire de France, depuis le XIIIe siècle jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, Librairie Académique Didier et Cie, Libraires-éditeurs, Paris, 1866, 641 pp. Titre complet de la collection : Nouvelle collection des mémoires relatifs à l'Histoire de France, depuis le XIIIe siècle jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, précédés de notices biographiques et littéraires sur chaque auteur des mémoires et accompagnés d'éclaircissements historiques par MM. Michaud et Poujoulat. Rappel de la liste des mémoires contenus dans ce tome : Gaspard et Guillaume de Saulx Tavannes - Mémoires (1515-1595) ; Bertrand de Salignac - Le siège de Metz par l’Empereur Charles-Quint en 1552 ; Gaspar de Colligny - Discours où sont sommairement contenues les choses qui se sont passées durant le siège de Saint-Quentin en 1557 ; de La Chastre - Mémoire du voyage du duc de Guise en Italie, etc. (1556-1557) ; Guillaume de Rochechouart [ maître d'hôtel de Charles IX] - Mémoires (1497-1558) ; Achille Gamon, Jean Philippi - Mémoires.
Etat satisfaisant (des rousseurs, exempl. encore non-coupé) pour ce tome de la remarquable collection publiée par le libraire monarchiste Louis-Gabriel Michaud. Pour ce travail, publié initialement en 1836-1839 en 39 volume (chez l'Edit. du commentaire analytique du Code civil), il fut assisté par son collaborateur Joseph-François Michaud. Ce dernier, historien, journaliste au journal l'Union et homme politique légitimiste, fut député de son département de naissance, les Bouches-du-Rhône de 1848 à 1851.