Dessin original à l’encre de Chine sur feuille blanche avec ajouts au collage. Légendes éparses, signature en bas à droite, vers 1905 (31,5/43 cm). Après avoir travaillé pour différents journaux illustrés (Le Pèle-mèle, Polichinelle, Le Sourire, Le Frou-frou), Moriss (1874-1963) a abandonné le dessin pour se consacrer au music-hall à partir de 1940. (Dico-Solo).
Reference : AWD-910
Actualités
M. Daniel Azoulay
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75005 Paris
France
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1 vol. in-12° rel. demi-percaline bleue, pièce de titre maroquin marron, couvertures originales en couleurs conservées, 119 p., tirage limité à 550 exemplaires, un des 500 sur simili-japon teinté (paraphé par l'auteur). Très bon état.
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FEIJOO (Benito Jerónimo), ISLA (José Francisco de), LA CRUZ CANO Y OLMEDILLA (Ramon de), FERNANDEZ DE MORATIN (Leandro).
Reference : 20575
Lausanne, Editions Rencontre, "Sommets de la littérature espagnole", 1962 1 volume 12 x 17,7cm Cartonnage éditeur skivertex rouge; dos imitant une reliure ancienne, avec ornements dorés et 2 "bandes de titre" noires ("Le Siècle de Goya" et "Le Oui des jeunes filles"). 590p., 1 feuillet. Bon état.
11è des 12 volumes de la série, consacré au XVIIIè siècle et réunissant "Défense ou éloge des femmes" (traduction de "Defensa de la mujer" par Jean de FERRERAS), extrait du "Teatro critico universal, o discursos varios en todo genero de materias, para desengaño de errores communes" (1726-1741), recueil du bénédictin Benito Geronimo FEIJOO, essayiste et critique littéraire (1676-1764); "L'Enfance de frère Géronde de Campazas", traduction, par F. CARDINI, de la 1ère partie de la "Historia del famoso predicador Fray Gerundio de Campazas, alias Zotes", roman satirique du jésuite José Francisco de ISLA, théologien et philosophe (1703-1781) qui en publia en 1758 une 1re partie qui fut interdite par le Conseil de l'Inquisition, et une 2nde clandestinement en 1768; "La Vie de garçon" et 14 "autres saynètes" tirées du "Teatro o colección de los saynetes" de Ramón de LA CRUZ CANO Y OLMEDILLA (1731-1794), traduites par Antoine de LATOUR; "Le Oui des jeunes filles" (traduction de "El Sí de las niñas" par G.-A. MONTAGNE), comédie en 3 actes, en prose, composée en 1805 par le dramaturge Leandro FERNANDEZ DE MORATIN (1760-1828); textes précédés d'une présentation de Georges HALDAS (1917-2010) et José HERRERA PETERE (1909-1977). [Une préface générale de Jean Cassou annoncée ne figurait que dans le 1er volume).
1988 1988. Ann Rocard: Le chapeau-volant et autres saynètes/ Bibliothèque Rose 1988 . Ann Rocard: Le chapeau-volant et autres saynètes/ Bibliothèque Rose 1988
Bon état
Lausanne, La Concorde, 1931, gr. in-8°, 70 p., 3 brochures originales ensemble.
Phone number : 41 (0)26 3223808
P., Madame Charles-Béchet, Lecointe et Pougin, Werdet, 1832, in-8°, iv-437-(3) pp, reliure demi-chagrin bleu-nuit, dos à 5 nerfs pointillés, titres et monogramme dorés, tête pennée (rel. de l'époque), dos frotté, qqs très rares rousseurs, bon état. Édition originale, ornée d'une vignette romantique de Tony Johannot gravée sur bois par Porret sur la page de titre, de ce recueil de 5 pièces (Escoffier, p. 220). Un des romantiques les plus recherchés. Rare
Edition originale de ce recueil de petites pièces composée par le frère d'Adèle Foucher, épouse de Victor Hugo. Dès ses débuts, Foucher (1810-1875) s’annonça comme un dramaturge inspiré et prolifique, produisant dans une succession rapide, des Saynètes (1832), La Misère dans l'Amour (1832) et Les Passions dans le Monde (1833). Comme devait l’écrire à sa mort le New York Times : « Peu d’hommes de lettres ont été si actifs, ou fait un si bon usage de leur temps. » — « Théodore. — Il est mort !... Rapt, adultère, inceste, parricide, pour cette femme j'ai tout commis et inutilement... que devenir ?... Commettre tous les crimes !... Et pourtant je ne suis point un scélérat... mais je vais le devenir !... (Il jette son fusil.) La fatalité qui m'a fait subir la peine de mes actions ne m'empêchera pas d'en recueillir le prix. Léontine est une belle femme, et je veux la posséder... Où est-elle ?... Léontine ! // Madame d'Ofelly. — N'approche pas !... qui que tu sois... n'approche pas !... Vois-tu ? le tonnerre est tombé sur cet homme... Vois-tu ? C'est électrique... // Théodore. — Quels mots insensés ! // Madame d'Ofelly. — Oui, vois-tu ce sang rouge dans ses cheveux blancs ?... Tiens, regarde...! (Elle amène Théodore jusqu'au corps de M. d'Ofelly, puis s'enfuit avec des éclats de rire effrayants.) » (Fatalité, une des Saynètes de Paul Foucher)