Anvers, Guy Schraenen éditeur, 1977. In-8 (14 / 33 cm), 54 feuillets non paginés. Séries de compositions graphiques réalisées sur machine à écrire (inspirées par des exercices pour le piano). Un des 180 ex. numérotés et signés. Bon état.
Reference : AWD-89
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M. Daniel Azoulay
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2 vol. in-4 reliure demi cuir, dos à 4 nerfs dorés, Juillet 1970, XIV-221 pp.et Septembre 1968, IX-65 pp.Rappel du titre complet : Etude théorique de la Substitution électrophile des polymethylnaphtalènes par la théorie des orbitales moléculaires. Thèse présentée à l'Ecole des Gradués de l'Université Laval pour l'obtention du grade de Docteur ès Sciences [ on joint :] Etudes théoriques de la décomposition monomoléculaire des Radicaux monochloroethyle chimiquement actives. Thèse présentée à l'Ecole des Gradués de l'Université Laval pour l'obtention du grade de Maître ès Sciences.
Bel ensemble en très bon état. Travail effectué au Département de Chimie de l'Université Laval sous la direction du Professeur Wendell Forst.
P., Daragon, 1907, in-12, 242 pp, un frontispice gravé et un fac-similé d'écriture hors texte, index, broché, 2e plat lég. sali, bon état (Coll. Les énigmes de l'Histoire). Edition originale, tirage limité à 755 exemplaires justifiés à la plume par l'éditeur, le notre n° 383, imprimé sur papier d'Ecosse
Où l'auteur prouve que Louis-Philippe n'était pas le fils du geôlier italien Chiappini et que Maria-Stella Chiappini, femme de lord Newborough, puis du baron d'Lïngern-Sternberg, n'était pas fille du duc et de la duchesse de Chartres. — "Ce pauvre Louis-Philippe eut encore, par-dessus le marché, maille à partir, après sa mort, avec les Naundorffistes, qui, s’ils ont octroyé à Naundorff le droit de porter le nom de Bourbon, ont refusé au fils de Philippe-Égalité le droit de porter le nom d’Orléans. Celui-ci ne serait autre que le fils d’un certain Chiappini, geôlier italien. Substitution d’enfants. Ce que c’est tout de même ! Le duc de Chartres (plus tard Philippe-Égalité) et la duchesse, voulant absolument un héritier mâle, auraient fait le troc d’une fille, au jour de la naissance, contre un autre enfant, un garçon, le fils du Chiappini en question, né vers le même temps. Cette fille, baptisée Marie-Stella Chiappini et devenue lady Newborough, aurait découvert le faux, et elle prétendit effectivement, – munie d’un jugement qui mentionnait bien le fait d’une substitution d’enfants, lequel semble avéré, mais sans nommer le moins du monde le duc de Chartres (et pour cause) comme le complice de Chiappini dans cette substitution, – elle prétendit, disons-nous, prendre, dans la maison d’Orléans, le rang que Louis-Philippe, vulgaire Chiappini (!), y usurpait. (...) M. Duquesne, parent des Naundorff, a publié, sous le pseudonyme de Paul Dumont, un ouvrage destiné à prouver le bon droit de Lady Newborough. C’est cet ouvrage que réfute M. Vitrac, en établissant, d’une part, qu’à la date de la substitution Chiappini, en Italie, le duc et la duchesse de Chartres se trouvaient en France, et, d’autre part, que le complice de Chiappini était un certain comte Battaglini." (Edmond Barthèlemy, Mercure de France, 1907)
[REMPLACEMENT MILITAIRE] DE CELLES Philippe, Maitre des requetes, Préfet du département de loire-inférieure
Reference : 21600
(1809)
NANTES 1809 1 document, préimprimé et manuscrit à l'encre brune d'une page sur papier vergé bleuté ligné filigrané "Bureau", format 22 centimètres de large par 33,5 centimètres de haut, timbre fiscal "département de la loire-inférieure 1 F" en haut à droite en noir et cachet "Timbrer à l'extraordinaire" en haut à gauche en noir, papier à en-tête "DEPARTEMENT DE LA LOIRE INFERIEURE, 4ème ARRONDISSEMENT", ACTE DE SUBSTITUTION : ENTRE LE SIEUR PAUL BASCHER DE NANTES, CONSCRIT DE 1810 QUI VEUT SE FAIRE SUBSTITUER PAR MAURICE OLLIVIER, BOULANGER A VIGNEUX, Admis du consentement des parties, le remplacement du sieur pierre Paul Bascher, conscrit de l'an 1810 par le sieur Maurice ollivier, fait à Nantes, LE 3 FEVRIER 1809, signature Manuscrite du réfer DE CELLES,
La loi JOURDAN du 19 fructidor an 6 (1798, sous le Consulat) met en place la conception moderne du service militaire en établissant le système de la conscription. Les conscrits reconnus bons pour le service armé qui durait sept ans étaient tirés au sort, et, de plus, la loi Jourdan prévoyait des cas d'exemption ou de réforme. Cette étude n'est pas notre but aujourd'hui, car c'est le problème du remplacement qui nous retient, problème de l'achat d'un homme prêt à vivre ces sept années de service militaire à la place de celui qui a "tiré le mauvais numéro" et qui peut disposer des 1200 francs minimum indispensables à cet achat. Ce système de remplacement qui faisait retomber sur les plus démunis le poids de la conscription exista donc dès le Consulat, pour être remodelé par tout un ensemble de lois élaborées de 1818 à 1832.Jusqu'en 1855, le conscrit fournissait lui-même son remplaçant, soit par connaissance, soit en ayant recours aux services d'un "marchand d'hommes" dont la spécialisation lucrative fleurissait autour de ce genre de trafic. Il s'agissait alors non seulement de payer le prix du remplaçant, mais aussi le marchand d'hommes qui le fournissait, bien entendu. De 1855 à 1868, ce fut l'Etat lui-même qui se chargea de fournir au conscrit assez fortuné son remplaçant sur sa seule demande, puis, en 1868, on en revint au marchand d'hommes et au remplacement libre. Ce système rendu en grande partie responsable de la défaite française de 1870-71 devait être aboli en 1872. Ces remplacements étaient l'objet de véritables contrats passés devant notaire entre le conscrit et son "homme".....BEL ET TRES RARE EXEMPLAIRE.......en bon état (very good condition). en trés bon état
NON PRECISE. 17E SIECLE. In-8. En feuillets. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 359 à 394.. . . . Classification Dewey : 840.04-XVII ème siècle
SAVOIR SI LA SUBSTITUTION COMPENDIEUSE CONCEUE PER VERBUM QUANDO CUNQUE ESTOIT PERPETUELEMENT FIDEICOMMISSAIRE OU SI ELLE DEVOIT ESTRE CENCEE PUPILAIRE JUSQUES AU 14.AN : & SI APPRES 14 ANS ELLE ESTOIT FIDEICOMMISSAIRE . ITEN SI LA SUBSTITUTION PUPILAIRE FAICTE PAR LE PERE EN SES BIENS SEULEMENT S'ESTENDOIT AUX BIENS DE LA MERE & A TOUS AUTRES BIENS OBUENUS AUX ENFANS PREDECEDES . FINALEMENT SI LE PERE AVOIT PEU SUBSTITUER AUX LEGATS FAITS A SES FILLES CONCISTANS EN DENIERS SEULEMENT. Classification Dewey : 840.04-XVII ème siècle
Paris, Librairie de la Société du Recueil J.-B. Sirey et du Journal du Palais, L. Larose & L. Tenin, Directeurs, 1907. 1 volume in-8, 164 pp., non coupé, reliure moderne plein cuir, papier uniformément jauni, surtout aux extrémités des feuillets, bon état général.
Table des Matières: Introduction à l'étude des substitutions protéi-commissaires en droit annamite - Des biens cultuels familiaux - De l'ouverture de la Substitution - Effets du Fidei-Commis - De l'extinction de la substitution cultuelle.