Dialogue accompagné de dix-huit images photographiques Bordeaux, Rousseaux Frères Éditeurs, 1943.305x240mm, en feuilles sous portefeuille muet et emboîtage de l'éditeur, titre en relief sur le plat. 32 pages de texte imprimé en rouge et noir, et dix-huit tirages photographiques originaux réalisés par le procédé Fresson sur vergé d'Arches chacun précédé d'une page de titre. Tirage total: - cinquante exemplaires numérotés de 1 à 50 - dix exemplaires marqués HC -trente exemplaires du texte seul numérotés de I à XXX. Un des dix hors commerce marqué HC avec toutes les planches signées par Laure Albin-Guillot.Loose as issued in a paper folder and clamshell box with embossed title.The 32 pages of text by Paul Valéry are printed in black and red, accompanied by 18 Fresson prints on Vergé d’Arches by Laure Albin Guillot, each preceded by a title page. Printing: - 50 copies numbered 1 to 50- 10 unnumbered copies stamped HC. This copy HC with all the plates signed.(101017)
Reference : 101017
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Précieux exemplaire relié à l’époque en maroquin rouge aux armes de Charles-Alexandre de Lorraine (1712-1780). Paris, L. F. Delatour, 1773.In-8 de (1) f. de frontispice, 60 pp., 5 planches dépliantes hors texte.Maroquin rouge, plats richement ornés d’une large dentelle dorée, grandes armes frappées or au centre, dos lisse orné de fleurons dorés, roulette intérieure dorée, filet doré sur les coupes, doublure de papier moiré bleu, tranches dorées. Reliure de l’époque.165 x 94 mm.
Édition originale de ce traité consacré à la taille des arbres fruitiers.Barbier, II, 246 ; Janson, 398 ; Conlon 73 : 1120 ; inconnu de Nissen et de Pritzel.Cet intéressant manuel décrit la méthode mise au point par Pelletier de Frépillon pour tailler les arbres fruitiers en se basant sur des règles géométriques : « D’après les observations que nous avons faites sur les effets de la Nature, nous avons cru pouvoir assujettir aux regles de la Géométrie, la Taille des Arbres fruitiers ; & nous avons imaginé, pour la rendre plus intelligible, de réduire en plan géométrique la forme que doit avoir l’Arbre perfectionné par l’Art ».« Etienne Pelletier De Frepillon est probablement fermier ou seigneur censier de Frépillon, sous la houlette de l’abbesse de Maubuisson. Fourrier de la cour jusqu’en 1773 (ou 1775), il se retire définitivement à Frépillon, où il a sans doute, pendant ses heures de loisirs, ou avec l’aide d’un jardinier, expérimenté dans son jardin une nouvelle méthode pour tailler les arbres fruitiers, en particulier les pêchers.Les premières recherches de Le Pelletier semblent rencontrer un certain succès : en 1785, on trouve dans une brochure de conseils pratiques l’annotation suivante : ‘Pêchers. M. Pelletier de Frépillon demeurant à la Vallée de Montmorency, près Paris, a imaginé une nouvelle manière de tailler les pêchers, elle leur fait rapporter un plus grand nombré de fruits qu'ils n'ont habitude de donner’ ».« En 1773, parut un petit ouvrage dans lequel on proposoit de fortes modifications dans la méthode de Montreuil. C'est dans ‘L'essai sur la Taille des Arbres fruitiers’ par une Société d'Amateurs. Cette société se réduisoit à un seul particulier, nommé Le Pelletier, qui avoit été fourrier de la Cour. Il se retira dans un petit domaine, à Frépillon, près Saint-Leu, dans la vallée de Montmorency. Et là, il chercha à diriger des espaliers avec une précision géométrique : les figures qu'il en publia sont effectivement très régulières. Mais les Amateurs de culture qui, sur son invitation, furent examiner ses travaux, trouvèrent que la Nature, suivant son génie, n'avoit pu se plier à des formes aussi exactes, et que souvent, pour déguiser ses caprices, Le Pelletier avoit employé l'art de la greffe.» (Aubert-Aubert Dupetit-Thouars, Recueil de rapports et de mémoires sur la culture des arbres fruitiers, 1815, p. 67).En 1843, la société académique d’Agriculture de l’Aube émettait un avis assez proche :« (Ce) petit traité, format in-12, … est assez estimé. Les meilleurs principes y sont enseignés. Il est fort court et très-clair. Il y est souvent question du pêcher en espalier. Mais l'auteur parut alors, et longtemps depuis, avoir trop insisté sur certaine forme, la forme carrée à donner aux arbres. On ne regarda pas cette forme comme devant contribuer beaucoup, ni autant que celles adoptées jusque-là, à leur produit, ni même plus qu'elles à leur conservation ».L’illustration du plus haut intérêt se compose d’un frontispice gravé et de 5 planches dépliantes présentant la méthode de taille proposée par l’auteur.Précieux exemplaire relié à l’époque en maroquin rouge aux armes de Charles-Alexandre de Lorraine (1712-1780).Charles-Alexandre de Lorraine (1712 - 1780) fut gouverneur général des Pays-Bas autrichiens (1741-1780), grand maître de l’ordre Teutonique (1761-1780) et chevalier de l'Ordre de la Toison d'or. Il était le douzième enfant de Léopold Ier, duc de Lorraine et de Bar, et d'Élisabeth Charlotte d'Orléans. Il était également le beau-frère de l'impératrice Marie-Thérèse. Il fut fait maréchal d'Autriche en 1740. En avril 1741, il fut désigné comme successeur aux Pays-Bas de la gouvernante générale, l'archiduchesse Marie-Élisabeth.Pendant la Guerre de Succession d'Autriche, il fut l'un des principaux commandants autrichiens. Il fit son entrée à Bruxelles, en compagnie de son épouse, l'archiduchesse Marie-Anne d'Autriche, le 26 mars de cette année. Deux mois plus tard, il reprenait le commandement des armées du Rhin, laissant son épouse seule aux Pays-Bas. Après le décès de celle-ci des suites de ses couches en décembre 1744, l'invasion, puis l'occupation française (1745-1748) empêchèrent son retour aux Pays-Bas. Ce n'est que le 24 avril 1749 qu'il put réellement entamer son gouvernorat.Il fut certainement le plus populaire des gouverneurs généraux des Pays-Bas autrichiens. En témoignage de cela, une statue à son effigie fut élevée en 1775 à Bruxelles sur la toute nouvelle place de Lorraine, devenue depuis place Royale. Sans trahir les intérêts de la couronne impériale, il parvint à défendre ceux des Pays-Bas, et à en faire respecter les privilèges. Il encouragea simultanément le progrès des Lumières et le développement économique, patronnant des entreprises telles que la création de l'Académie thérésienne de Bruxelles (1772), la réalisation par le Comte Josef de Ferraris d’une carte très précise du territoire (1770-1778), ou encore diverses expériences techniques et industrielles dans son château de Tervuren.
Edition originale ornée de 50 planches gravées hors-texte du premier grand ouvrage de Duhamel du Monceau (1700-1782), célèbre botaniste et agronome français. A Paris, Chez H.L. Guérin & L.F Delatour, rue Saint Jacques, à Saint Thomas d'Aquin, 1758. Avec approbation et privilège du Roi. 2 volumes in-4: I/ (3) ff., lxviii pp., 307 pp., 28 planches ; II/ (2) ff., iii pp., 432 pp., 22 planches dépliantes. Plein veau fauve marbré, dos à nerfs richement ornés, pièces de titre et de tomaison en maroquin rouge, filet or sur les coupes, tranches mouchetées rouges. Reliure de l'époque. 255 x 194 mm.
Edition originale ornée de 50 planches gravées hors-texte du premier grand ouvrage de Duhamel du Monceau (1700-1782), célèbre botaniste et agronome français. « Se logeant près du Jardin des Plantes, il suivit les leçons de Dufay et de Bernard de Jussieu. Comme il était riche, il put cultiver aisément ses deux sciences favorites, la botanique et l'arboriculture, soit à Paris, soit dans sa terre du Gâtinais. « En sa qualité d'inspecteur de la marine, Duhamel avait été amené à rechercher tout ce qui concernait la culture et la conservation des bois propres aux constructions navales. Il en était ensuite venu à s'occuper des plantes et des arbustes qui pouvaient supporter le climat de la France. C'est ainsi qu'il fit connaître en Europe un grand nombre d'espèces américaines. Les espèces et les variétés énumérées par Duhamel, au nombre de plus de 1 000, sont rangées par ordre alphabétique, suivant leur nom latin générique. L'auteur prit pour base de son ouvrage la nomenclature de Tournefort. On doit regretter qu'il n'ait pas adopté la nomenclature de Linné, dont le Species Plantarum avait paru 2 ans auparavant ; mais peut-être Duhamel n'était-il pas assez classificateur pour comprendre le mérite transcendant de ce dernier ouvrage. De la physique des arbres ; 1758, 2 volumes in-4 est le chef-d'oeuvre de Duhamel ; il y a réuni tout ce qu'avaient dit avant lui sur cette matière Malphighi, Grew, Hales et Bonnet, ainsi que ses observations et ses remarques particulières. Le grand mérite de cet ouvrage consiste dans des détails concernant la structure, l'anatomie et la physiologie des plantes. » Le premier volume traite de l'Anatomie des Arbres, des Boutons, Fleurs et Fruits, des Semences, de l'accroissement des arbres, des maladies des Arbres, etc... Très bel exemplaire conservé dans ses belles reliures de l’époque en veau fauve marbré.
A Rouen, Chez Jacques Herault, 1661. Petit in-12 de : titre, épître dédicatoire (3ff.), préface ( 21 ff.) et 234 pages. Nouvelle édition. Le troisième feuillet de la préface est endommagé sur 7 lignes et rousseurs en marge sur le recto, le verso est bien lisible, quelques rousseurs. Ex-libris manuscrit: Jean de Cairon à Sainct Vigor (Calvados) et Pierre Sedille (XIX ème). Plein veau d'époque, dos à nerfs orné de fleurons dorés. Coiffe supérieure arrachée, ainsi qu'n pied avec manque de cuir et coins très usés.
Deuxième édition de cet ouvrage devenu peu courant. La première datant de 1652. Antoine Le Gendre, conseiller, aumônier du Roi, contrôleur des jardins fruitiers de S.M. et curé d'Hénouville est né au Vaudreuil en 1612 et mort en 1687 à Hénouville où il fut inhumé dans le coeur de l'église. Autre version quant à l'auteur: Jean de La Quintinye dans la préface de son Instruction pour les Jardins, nous apprend que c'est Arnaud d'Andilly qui, sous le nom et sur les mémoires du fameux curé d'Hénonville, a si poliment écrit sur la culture des arbres fruitiers. Frère.
Paris, chez H.L. Guerin & L.F. Delatour, 1760. In-4 de (2)ff., LXXX-384 pp., 27 pp. (d'additions placées après la préface), illustré de 17 belles planches dépliantes gravées en taille-douce non signées, d'une vignette en-tête. Ex-libris manuscrit au faux-titre. Marques de pliures angulaires à quelques feuillets dont 2 avec manque de papier, sans perte de texte, quelques rousseurs éparses sans gravité, petites galeries de vers marginales à 4 ff. Manque la 2nde partie d'Addition (10 pp.) en fin d'ouvrage. Veau marbré, dos à nerfs orné de caissons et fleurons dorés, pièce de titre de maroquin rouge, triple filet doré d'encadrement sur les plats, armes dorées aux centres, tranches marbrées. Reliure de l'époque. Minime accroc à la coiffe inf., coins usés dont 2 choqués, frottements.
Oeuvre appartenant à la série des Traité complet des bois & des forêts (composé de 5 volumes). Henri-Louis Duhamel du Monceau, membre de lAcadémie des Sciences depuis 1738, est un physicien, botaniste et agronome français. Il a été sollicité par Machault dArnouville, secrétaire dEtat à la Marine, préoccupé par la production de bois pour la construction navale. C'est de cette démarche que cette oeuvre fut créée. Par la variété de ses centres dintérêts et le grand nombre de ses publications, Duhamel du Monceau participe à l'inventaire du monde. Provenance : Aux armes de Benoist de Gentissart. C'est une famille subsistante de la noblesse belge et de la noblesse française, anoblie en 1778. Elle a formé deux branches, la branche ainée de Benoist et la branche cadette de Benoist de Gentissart. (pas dans O.H.R) Bel exemplaire de la première édition en reliure d'époque armoriée, condition rare.
Dunod Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1972 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur rouge et grise, illustrée d'une figure grand In-8 1 vol. - 164 pages
très nombreuses figures dans le texte en noir et blanc 5eme édition, 1972 Contents, Chapitres : Table, vi, Texte, 158 pages - Introduction - 1. Arbres : Corps de l'arbre - Tourillons et pivots - Calcul des arbres - 2. Organes d'appui et de guidage des arbres : Généralités - Paliers horizontaux à charge radiale - Paliers verticaux à charge radiale - Paliers horizontaux à charge axiale - Paliers verticaux à charge axiale - 3. Organes d'appui et de guidage des arbres : Généralités - Formes de roulements - Choix d'un roulement - Conditions de montage - Graissage, protection, entretien des roulements - Roulements à aiguilles - Butées à aiguilles - 4. Accouplements d'arbres - 5. Embrayages à entrainement instantané, à entrainement progressif - Bibliographie - Normes couverture à peine jaunie sinon en bon état, intérieur frais et propre, papier à peine jauni - Tome 3 de cette série, complet en lui-même sur les arbres, paliers, accouplements, embrayages