‎[Normand Fils] - ‎ ‎Griveau Anne Marie Julien ( 1780-1844)‎
‎Description De l'Hôtel Royal Des Invalides‎

‎Paris Le Normant 1823 218x137mm Description de l'hôtel royal des Invalides, précédée de quelques réflexions historiques sur ce monument, publiée avec l'autorisation de S. Ex. le ministre de la Guerre. Paris, Le Normant, 1823, in-8, 218 x 137 mm) de 93 pp., 2 planches hors texte et une vignette, broché sous couverture imprimée. Édition originale de cette monographie dont l'auteur fut l'archiviste de l'Hôtel des Invalides de 1811 à 1823. Avec trois vues des Invalides, sur deux planches hors-texte gravées au trait par Normant fils. Quelques rousseurs. Barbier, I, 893.(100561) ‎

Reference : 100561


‎‎

€80.00 (€80.00 )
Bookseller's contact details

Librairie Chloé et Denis Ozanne Déesse sarl
M. Denis Ozanne
21 rue Monge
75005 Paris
France

info@ozanne-rarebooks.com

+33 1 48 01 02 37

Contact bookseller

Payment mode
Cheque
Transfer
Sale conditions

Conforme aux usages de la librairie ancienne et moderne, tous les ouvrages présentés sont complets et en bon état, sauf indication contraire. L'exécution des commandes téléphonées est garantie mais sans règle absolue, la disponibilité des livres n'étant pas toujours vérifiable lors de l'appel. Les frais de port sont à la charge du destinataire. Les livres sont payables à la commande. Nous acceptons les règlements par chèque bancaire ou postal, mandat postal ou international, carte bancaire, Visa, Eurocard, MasterCard et virements bancaires dans certaines conditions.

Contact bookseller about this book

Enter these characters to validate your form.
*
Send

5 book(s) with the same title

‎Griveau Anne-Marie Julien‎

Reference : 15686

‎Description de l'hôtel royal des Invalides précédée de quelques réflexions historiques sur ce monument, depuis sa fondation jusqu'à nos jours et orné de trois gravures. Publiée avec l'autorisation de S. Ex. Le ministre de la guerre‎

‎Le Normant, Imprimeur-libraire "Paris, 1823, in-12 broché, couverture muette de l'époque. 93pp. Trois gravures au trait sur deux planches hors)texte : Grande façade de l'hotel royal des Invalides / Une perspective de la cour royale des Invalides / Vue du dome de l'église royale des Invalides. Barbier I-893 ""par Riveau, ex-secréraire archiviste de l'hôtel des Invalides"". Ce Riveau n'existe pas. Il s'agit d'Anne-Marie Julien Griveau (1780-1844), ancien comis de bureau du ministère de la guerre qui fut institué secrétaire du conseil d’administration par décret du 25 mars 1811. Il reçut le titre de secrétaire général archiviste à compter du 21 février 1816. Edition originale en couverture d'attente. Bon exemplaire. (tâches sur les bords des plats de couverture.e Puiseau"‎


EUR50.00 (€50.00 )

‎RIVEAU.‎

Reference : 10003

(1823)

‎Description de l'hôtel royal des Invalides, précédée de réflexions historiques sur ce monument, depuis la fondation jusqu'à nos jours, et orné de trois gravures. Publiée avec l'autorisation de S. Exc. le Ministre de la Guerre. ‎

‎Paris, Le Normant Père, 1823. In-8 broché de 93 pp., couverture imprimée, non coupé. ‎


‎L'auteur fut secrétaire-archiviste de l'hôtel des Invalides. Orné de 2 planches gravées : Grande façade de l'hôtel royal des Invalides - Vue perpective de la cour royale des Invalides ; Vue du dôme de l'église royale des Invalides. Petit manque angulaire de papier à la couverture. Barbier, I, 893. ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 33 01 46 33 57 22

EUR80.00 (€80.00 )

‎[GRIVEAU]‎

Reference : 11039

(1823)

‎Description de l'Hôtel Royal des Invalides, précédée de quelques réflexions historiques sur ce monument … deuxième édition.‎

‎ 1823 br. in-8, 96pp., 3 gravures en 2 planches h.t., P. Le Normant Père, 1823,‎


‎Organisation et mode de vie des vieux militaires aux Invalides. ‎

Phone number : 33 (0)6 77 77 12 33

EUR90.00 (€90.00 )

‎PERAU, l'abbé.‎

Reference : LCS-18496

‎Description historique de l'Hôtel royal des Invalides. Le célèbre et magnifique exemplaire royal offert par le roi Louis XV à l’Impératrice de Russie Élisabeth 1ère (6 décembre 1741- 5 janvier 1762).‎

‎Les exemplaires en maroquin sont particulièrement rares puisque RBH, ABPC et le fichier Berès ne recensent en maroquin que l'exemplaire Jacques Bemberg. Paris, Guillaume Desprez, 1756. In-folio de (2) ff., 1 frontispice gravé, xii pp., 103 pp., 107 planches gravées dont 31 sur double page. Maroquin rouge, triple filet doré autour des plats, fleurs de lys dorées aux angles, grandes armoiries impériales russe au centre, dos à nerfs orné de six grandes fleurs de lys, filets or sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées, doublures et gardes de moire bleue. Reliure parisienne de l’époque. 420 x 280 mm.‎


‎L’exemplaire offert par le roi Louis XV à l’Impératrice de Russie Élisabeth 1ère (1741‑1762). Titre imprimé en rouge et noir, fleurons, vignettes, culs-de-lampe et lettres ornées, gravés par Cochin. Illustration : frontispice avec un portrait de Louis XIV d'après Cazes gravé par Cochin et 107 planches dont 31 imprimées à double page. Elles sont gravées par Cochin, Lucas et Hérissent et d'autres d'après les dessins de Mansart, Pierre Dulin, Robert de Cotte, Maler, Charles de La Fosse, B. Boulogne, Louis de Boullongne, Jean Jouvenet, Nicolas Coypel et divers autres artistes. En 1670, Louis XIV désigna Louvois (1641-1691), Secrétaire d'État à la Guerre depuis 1656, pour la mise à exécution de l'un de ses plus grands projets : la construction d'un hôpital destiné aux blessés de guerre. Le Roi réconcilierait ainsi d'un même geste la France, le peuple démuni des très nombreux blessés et l'armée, ouvrant ainsi la voie à des projets de conquêtes grandioses par un État-nation unifié. Louvois avait réorganisé les armées et les contrôlait d'une main de fer. L'architecte en chef du projet, Libéral Bruant (1635-1697), choisi par Louis XIV et Colbert parmi huit projets, propose pour l'Hôtel des Invalides un plan quadrillé sur le modèle de l'Escurial, motif sur lequel il avait déjà travaillé au cours d'un autre chantier : l'hôpital de la Salpêtrière. Les vocations de ces deux institutions se rejoignent. Elles doivent offrir la charité aux délaissés, supprimer la mendicité et masquer les soldats mutilés de la funeste Guerre de Trente ans que l'on voyait traîner dans Paris. Tandis que le cardinal Mazarin avait souhaité réunir les misérables à la Salpêtrière, les vétérans, auparavant livrés à leur propre sort, seront dorénavant nourris et logés aux Invalides. Depuis l'entrée principale située au nord, on accède à la cour royale. Les bâtiments qui encadrent cette grande place abritent au rez-de-chaussée les réfectoires, tandis qu'au troisième on trouve les manufactures et les ateliers occupent les pensionnaires : une cordonnerie, une tapisserie, mais aussi un atelier de calligraphie et d'enluminure qui se rendra célèbre bientôt. L'ordre s'imposait : tous les invalides devaient participer à la vie de l'institution. Les chambres des soldats, des officiers et des moines étaient réparties dans différents bâtiments. Les plus faibles trouvaient quelques soins et repos dans les infirmeries placées à l'est de la chapelle royale et organisées selon un plan en croix. Des jardins sont plantés de l'autre côté, à l'ouest. Symboliquement, l'église des soldats et la chapelle royale se situent au centre de la composition. Dès 1674, ce gigantesque ensemble occupe, sur la plaine de Grenelle, une superficie de plus de treize hectares. Il comprend une caserne, un couvent, un hôpital, une manufacture, un hospice, une église, une chapelle, et même une boulangerie. À la fin du XVIIe siècle, environ quatre mille personnes vivent à l'hôtel des Invalides. La mort de Colbert permet à Louvois d'écarter le Libéral Bruant et de confier le chantier à son protégé Jules Hardouin-Mansart. Il crée la célèbre chapelle royale et son dôme fameux. Elle forme l'un des édifices les plus complexes et le plus richement décoré du XVIIe siècle français, qui abrite aujourd'hui le tombeau de Napoléon. À l'origine réservée à l'usage exclusif de la famille royale, elle communiquait avec l'église des soldats au nord par le chœur où les offices étaient célébrés. Louis XIV ordonne un programme décoratif tout entier tourné vers la gloire de la nation, de l'armée, de l'Église catholique et de lui-même. L'entrée nord, par exemple, est traitée comme un arc de triomphe, où l'on retrouve en haut la figure du Roi Soleil et Louis XIV prenant les traits d'un empereur sur sa monture. Le plan de la chapelle est centré : une croix grecque s'inscrit dans un carré presque parfait. Tous ces éléments attirent le regard vers le haut pour admirer la coupole - ou dôme - qui coiffe la croisée (point de convergence des travées). Il s'agissait de la plus haute construction de Paris avant l'érection de la tour Eiffel en 1889. Au soir de sa vie, Louis XIV écrit dans son testament que l'hôtel des Invalides est l'œuvre la plus utile de son règne. Il est fier d'avoir réuni, sous un même toit, charité, assistance, gloire des armées et de la Nation : «Entre différents établissements que nous avons faits dans le cours de notre règne, il n'y en a point qui soit plus utile que celui de notre Hôtel royal des Invalides». Les Invalides furent loués dans tout le pays, et même au-delà. Le tsar Pierre le Grand ne manque pas de visiter l'ensemble en 1717 et s'attarde même à table avec les soldats. L'Europe entière construisit des ensembles similaires comme à Chelsea en 1682 (commandité par Charles II), à Pest en 1724, à Vienne en 1727, à Prague en 1728, à Berlin en 1748, à Ulriksdal en 1822, à Runa en 1827, ou encore à Madrid en 1837. L'immense programme décoratif des Invalides ne fut terminé qu'au milieu du XVIIIe siècle. L'hôpital et son église furent en effet ornés de peintures et de sculptures exécutées par les plus grands artistes du temps. C'est cette splendeur d'art que le talentueux graveur Cochin a voulu ici restituer. Gabriel-Louis Calabre Pérau (1700-1767) achève en effet avec sa Description historique de l'hôtel royal des Invalides (1756) les travaux d'édition effectués auparavant par Le Jeune de Boulencourt (Description générale de l'Hostel Royal des Invalides, 1683), Jean-François Félibien des Arvaux (Description de la nouvelle église de l'hostel royal des Invalides, 1706) et Jean-Joseph Granet (Histoire de l'hôtel royal des Invalides, 1736). Pérau écrit dans son Avant-propos : «On avait la vérité historique de l'établissement, la description et les plans tant généraux que particuliers. Mais lorsque la Peinture et la Sculpture eurent orné l'église du dôme de toutes leurs richesses, les amateurs parurent souhaiter que par le secours de la Gravure, on mit les Curieux en état de parcourir & d'examiner dans le silence du cabinet les différents chefs-d'œuvres que les Arts réunis ont répandu de toutes parts dans ce somptueux Monument». Les exemplaires en maroquin sont particulièrement rares puisque RBH, ABPC et le fichier Berès ne recensent en maroquin que l'exemplaire Jacques Bemberg. Le célèbre exemplaire offert par le roi Louis XV à Élisabeth 1ère Impératrice de Russie qui fait entreprendre la construction du palais d'Hiver et du couvent Smolny dans la capitale, qui comptait à l'époque 75 000 habitants et réaménage Peterhof et Tsarskoïé Selo. C'est le fameux style Élisabeth, magnifique et baroque, qui allait donner son empreinte à cette époque brillante. Les bals de la Cour sont renommés dans toute l'Europe. Son règne marque aussi le début de la francophilie et de l'usage de la langue française dans la noblesse qui allait durer jusqu'à la révolution de 1917. Le premier théâtre russe est fondé, beaucoup de pièces traduites du français sont jouées, comme celles de Molière. L’impératrice fait venir de Paris la compagnie dramatique de Charles Sérigny en 1742. Les acteurs français recevaient un contrat de deux à cinq ans. La compagnie demeura seize ans à Saint-Pétersbourg, tandis que d’autres s'installaient. Ce flot ininterrompu durera jusqu'en 1918, notamment au théâtre Michel. Élisabeth donne aussi l'impulsion au renouveau de la musique d'Église, mais pour le reste, il s'agit d'une culture massivement importée dont la greffe demandera encore du temps. L'image de la cour est brillante et francisée, mais il s'agit parfois d'une façade, car les courtisans - comme dans d'autres cours - ne sont pas tous cultivés et préfèrent rivaliser par le luxe de leurs dépenses. Certains possèdent leurs propres troupes de théâtre et leurs orchestres de chambre. D'autres possèdent des bibliothèques immenses et se font construire des palais néoclassiques par des architectes italiens. Les dames de la cour s'habillent comme à Versailles. Bibliographie: Katalog der Ornamentstichsammlung 2513; Millard I 385-387; Cohen de Ricci 788 (fausse collation).‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 42 84 16 68

EUR38,000.00 (€38,000.00 )

‎BOULENCOURT LE JEUNE, de.‎

Reference : 477

(1683)

‎Description générale de l'Hôtel royal des Invalides.‎

‎Paris, Le Jeune de Boulencourt, 1683. In-folio (429 x 289 mm). 4 ff. n. ch., 51 pp., 18 planches. Maroquin rouge, encadrement doré sur les plats composé d'une grecque et d'une roulette, dos à nerfs orné, pièce de titre en maroquin olive, double filet doré sur les coupes, roulette sur les chasses (reliure de l'époque).‎


‎Édition originale. L'ouvrage comprend 18 planches dépliantes (de 585 à 910 mm dépliées) montées sur onglets. Elles portent le nom du graveur. On dénombre également un frontispice, un en-tête, deux bandeaux, deux lettrines et une vignette de titre. La description de l'Hôtel des Invalides est précédée d'une Épître au roi par Le Jeune de Boulencourt, puis d'une adresse au lecteur, enfin d'une ode à la construction du monument. The plates of this splendid series of engravings were produced by Marot and his colleagues before his death in 1679. The illustrations are important not only for their superb design and execution, but also because they provide a record of lanning of the Invalides, a major late seventeenth century monument to the age of Louis XIV. They are, in effect, the official engravings of both Libéral Bruant's and Jules Hardouin Mansart's designs for the Invalides (M. J. Millard Architectural Collection, vol. 1, pp. 258-259, n°93). Les gravures sont remarquables à double titre: les nombreuses planches décrivent en détail le monument d'un point de vue architectonique; elles explicitent également le contexte d'édification du monument. On notera ainsi la planche B, aux armes de Louis XIV, il s'agit de la vue en perspective de l'Hôtel des Invalides tel qu'il doit être finalisé; la planche S, vue en perspective d'un réfectoire avec les peintures des conquêtes du roi en Franche-Comté qui ornent les murs encadrant la scène du repas servit aux invalides. Le Frontispice est une 'peinture' du vouloir du roi: au premier plan des soldats mutilés, au centre Louis XIV désignant le plan tenu par ses architectes, à ses côtés Louvois, à l'arrière-plan des mouvements de troupes, dans le fond sur la rive droite de la Seine, Paris et le Palais des Tuileries, l'église Notre-Dame de l'Assomption terminée en 1676 et la Porte de la Conférence qui marquait la limite ouest de Paris. La construction de l'Hôtel des Invalides s'inscrit dans le cadre de la politique de réformes générales entreprises par Louis XIV lors de son accession au trône: la suppression de la mendicité et la réorganisation de l'armée, la première d'Europe, l'unification des soldes, la réforme du recrutement, la création de l'Hôtel des Invalides. Après la guerre de dévolution et avant celle de Hollande, le roi, qui ambitionne de renforcer le pouvoir de la France dans le monde, va entreprendre les grandes guerres du règne; il juge alors nécessaire de lutter contre la désertion et d'améliorer la vie des militaires. En 1670, Louis XIV décide ainsi de faire construire un bâtiment susceptible d'abriter ses soldats invalides ou trop âgés pour servir. Il confie le projet à Louvois qui choisit Libéral Bruant comme maître d' uvre. Dès 1674, les premiers invalides s'installent. En 1676, Jules Hardouin-Mansart réalise l'Église Saint-Louis des Invalides, sur les plans de son grand-oncle François Mansart. Le décor est confié aux plus grands artistes du temps: Charles de la Fosse, Jouvenet et Girardon, qui travaillent aussi à Versailles. Elle est inaugurée par le roi en 1706. De la bibliothèque du comte de Lovelace avec son ex-libris. William King-Noel, 1er comte de Lovelace (21 février 1805-29 décembre 1893), noble et scientifique anglais connu sous le nom de William King jusqu'en 1833 et comme Lord King de 1833 à 1838. Très bel exemplaire en maroquin de l'époque. M. J. Millard Architectural Collection, vol. 1, pp. 258-259, n°93; T. Sarmant Les demeures du Soleil, Louis XIV, Louvois et la surintendance des Bâtiments du roi, 2003.‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : (0033) 143 674 644

EUR15,000.00 (€15,000.00 )
Get it on Google Play Get it on AppStore
The item was added to your cart
You have just added :

-

There are/is 0 item(s) in your cart.
Total : €0.00
(without shipping fees)
What can I do with a user account ?

What can I do with a user account ?

  • All your searches are memorised in your history which allows you to find and redo anterior searches.
  • You may manage a list of your favourite, regular searches.
  • Your preferences (language, search parameters, etc.) are memorised.
  • You may send your search results on your e-mail address without having to fill in each time you need it.
  • Get in touch with booksellers, order books and see previous orders.
  • Publish Events related to books.

And much more that you will discover browsing Livre Rare Book !