‎Marcel Duchamp‎
‎DUCHAMP‎

‎Marcel Duchamp. Libro-Maleta‎

‎ México, Ediciones Era, 1968. 31 x 21 cm pour le porte-folio toilé à compartiments, avec son étui, contenant un volume relié 17,5 x 20 cm, un volume broché 12,5 x 19,5 cm, une reproduction du Grand verre (La Mariée mise à nu par ses célibataires, même) sur papier transparent 30 x 20 cm, trois planches libres de reproductions en couleurs, une enveloppe 12,5 x 18,5 cm contenant 10 cartes reproduisant des œuvres (1 en double), un album de photographies trois volets 30 x 20 cm avec deux feuillets autographes en fac-simile et une notice biographique, et un « portrait-souvenir » de Marcel Duchamp en papier cartonné avec un rabat arrière permettant de tenir comme un cadre. Édition originale de ce livre d’artiste, bien complet de tous les éléments, dont l’essai d’Octavio Paz Marcel Duchamp o el castillo de la pureza, le recueil de textes de Duchamp sélectionnés par Paz, la reproduction du Grand verre en couleurs, les trois planches en couleurs reproduisant des œuvres de la collection Louise et Walter Arensberg, l’enveloppe avec neuf cartes (l’une en double), l’album de photographies et le portrait de Duchamp. La conception graphique est de Vicente Rojo. Bel état. ‎

‎DUCHAMP DU SIGNE: Écrits‎

‎FLAMMARION 1976 2x21x15cm. 1976. Broché. 318 pages. Très bon état‎

‎Duchamp du signe‎

‎Flammarion 1994 11x19x2cm. 1994. Poche. 314 pages. Très bon état‎

‎DUCHAMP'S ENDGAME D rer, da Vinci, Poussin and Ingres‎

‎, Mercatorfonds, 2024 HB, 250 x 190 mm, 192 p, 200 illustrations, ENG edition. ISBN 9789462303737.‎

‎In 1912 was Marcel Duchamp ontgoocheld in de Franse kunstscene. Daarom verliet hij Parijs en bracht hij drie maanden in M nchen door. Hij beschrijft deze periode als de plaats van zijn 'complete bevrijding' en ze zette de toon voor de rest van zijn leven. Het was in M nchen dat hij besloot om te stoppen met schilderen en in plaats daarvan readymades te maken. De hele loop van de 20ste-eeuwse kunstgeschiedenis veranderde als direct gevolg van deze 'complete bevrijding' en toch weten we niet wat er toen gebeurd is, behalve dat Duchamp twee kleine schilderijen en enkele tekeningen maakte. Honderd jaar later was de Zuid-Afrikaanse kunstenaar Kendell Geers in M nchen om een retrospectieve tentoonstelling op te stellen in het Haus der Kunst, en hij kwam in een depressie terecht door zijn eigen ontgoocheling in de kunstscene. 'Duchamp's Endgame' is een persoonlijk boek over een kunstenaar die naar het werk van een andere kunstenaar kijkt en probeert om een honderd jaar oud enigma te doorgronden, te doorgronden wat het betekent o"Duchamp's Endgame" answers the century old question, what did Marcel Duchamp do in Munich in 1912 and why did he stop painting ? The book follows a visual logic driven by the question of how artists construct their imagery. In 1912 Marcel Duchamp was disillusioned with the French art scene, so leaves Paris and spent 3 months in Munich. He describes this period as the scene of his "complete liberation" and it set the tone for the rest of his life. It was in Munich that he decided to stop painting and instead create readymade works of art. The entire course of twentieth century art history changes as a direct result of this "complete liberation" and yet we know absolutely nothing about what happened, except that Duchamp created 2 small paintings and a few drawings. One hundred years later, South African artist Kendell Geers was in Munich to install a retrospective at the Haus der Kunst, and fell into a depression on account of his own disillusionment with the art scene. "Duchamp's Endgame" is a personal book about one artist looking at the work of another artist, trying to make sense of a century old enigma, trying to make sense of what it means to be an artist. Geers offers a unique reading of Duchamp that takes the reader on a labyrinthine journey through art history, revealing how one generation of artists secretly looked at another generation artists, all the way back to Leonardo da Vinci via Cranach, Poussin, Ingres and Durer. "Duchamp's Endgame" is a passionate story about art and the real life art historical version of the "Da Vinci Code" written by a contemporary artist with his tongue firmly in our cheek. A century after Duchamp declared painting is dead, nobody has yet offered any evidence beyond conjecture what he meant by that statement. Kendell Geers uses the works of art themselves as visual evidence to explain what Duchamp was looking at and researching during his 3 month stay in Munich. The book follows the links between works of art created by 5 generations of artists, explored through the eyes of the artists themselves. "Duchamp's Endgame" is entirely divergent from the official art historical canon on Marcel Duchamp in arguing that he was the last of a long line of classical European painters and not the American iconoclast of his reputation. The book focuses on the way artists think about other artists and argues that art historians have paid more attention to quoting each other, rather than taking the time to look at the actual works of art. Kendell Geers has published in numerous art historical journals as well as contributed to books and conferences. In 2022 he presented a paper on African Art at a conference in Harvard University and in 2023 published an essay in Gavin Jantjes' retrospective catalogue for The Africa Institute and Sharjah Art Foundation. The book draws upon statements and quotes from Marcel Duchamp, but is entirely the author's own theory. The publication accompanies a solo exhibition at Wilde Gallery in Basel presented during the Basel Art Fair. ‎

‎[Affiche] (Action) - UNE TRIPLETTE AUX PRISES AVEC UN SPECTRE.Selon ses dernières volontés / le corps de Marcel Duchamp / est inhumé au musée / de Philadelphie. Pennsylvanie. Usa. / Qu'Aillaud, Arroyo et Recalcati / viennent se présenter au mort.LE MORT / ... Et revendiquent toutes les conséquences de leur oeuvre. [et, en très petit corps : ] Paris, le 26 septembre 1965 / [signatures autographiées : ] Gilles Aillaud / Arroyo / Recalcati.‎

‎ 1 Sans lieu, impr. Média-Plan international ?, 1980, affiche sérigraphiée (60 x 80 cm) à fond vert et large encadrement jaune, portant en pied la mention "Affiche apposée à Paris le 14 2 80" ; à gauche de la triple signature, faux tampon rond à fond rose et impression blanche : profil de M.D. au cigare, dans une couronne de lauriers elle-même entourée du texte suivant : Duchamp 1976 Donneur / Intesat ou avec Test ? [en pied, en arrondi et sous un filet blanc, la sentence :] "La liberté est supérieure à la liberté". [Le mot] "Intestin" barre en biais le crâne de M.D. ‎

‎Bernard Marcadé : Marcel Duchamp : « En septembre 65, dans le cadre de lexposition "La Figuration narrative" dans lespace contemporain à la Galerie Raymond Creuze, trois jeunes peintres, Arroyo, Aillaud et Recalcati exposent une série de tableaux ayant pour titre : Vivre et laisser mourir ou La fin tragique de Marcel Duchamp. La pièce se présente comme une suite narrative de huit tableaux, mêlant à la fois des reproductions des uvres de M.D. (le Nu, Fresh widow, Fontaine, le Grand Verre) à des scènes daction (Duchamp montant un escalier, le « passage à tabac » de lartiste par les trois peintres, la condamnation de lartiste, lassassinat de Duchamp, mis à nu, puis précipité du haut de lescalier, les funérailles de M.D.) « Lallégorie est simple et évidente, cette peinture se veut une violente critique du rôle de Duchamp, implicitement accusé de faire le jeu de limpérialisme américain (nous sommes en pleine guerre du Viet-Nam), en dépit de la posture pseudo-révolutionnaire de son art. Le cercueil de Duchamp, entouré du drapeau américain, est porté en terre par Rauschenberg, Oldenburg, Raysse, Warhol, Restany et Arman en tenues de « Marines » américains. Lexposition est assortie dun manifeste stigmatisant le caractère éminemment « réactionnaire » de lart de Duchamp. « Au mois doctobre 1965, avant de repartir aux Etats-Unis, Duchamp visite donc lexposition de la Galerie Creuze. « Je vous avoue que cétait amusant à regarder. Cétait bêta comme peinture, mais cela ne fait rien ; ill fallait que ce soit comme cela pour ce quils voulaient prouver ; cétait peint bêtement, mais cétait très net. Ils sétaient donné un mal de chien. (...) » Duchamp dissuade Arturo Schwarz, André Breton, José Pierre de réagir : « La seule réfutation cest lindifférence. » Je n'ai trouvé nulle trace de la présente affiche dont laspect peut laisser supposer un affichage en plein air. Énigmatique. Bernard Marcadé : Marcel Duchamp. Paris, Flammarion, "Grandes biographies", pp. 486-487. ‎